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🎬 RENGER 📼
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1,0
Publiée le 3 février 2011
New York, 2 Heures du matin (1984) nous fait immédiatement penser à L'Ange de la vengeance (1982), pour cette représentation d'un New York sombre et loin d'être rassurant. Mise à part cette légère ressemblance, Abel Ferrara peine à nous convaincre avec son film, faute d'un scénario où l'absence d'originalité ne réussit pas à renouveler le genre. La mise en scène très amorphe et son casting peu attractif (Tom Berenger & Billy Dee Williams) ne parviendra jamais à combler les faiblesses de ce violent polar qui lorgne du côté de la Série B.
Un petit film noir pas désagréable à regarder, avec une interprétation solide (Tom Berenger, Billy Dee Williams) et une atmosphère new-yorkaise nocturne assez bien rendue dans le cadre d’une réalisation intéressante et parfois virtuose. Le problème vient d’une lenteur gênante et de notables insuffisances dans le scénario. Les personnages ne sont qu’esquissés et on ne sait pas grand-chose par exemple du tueur de strip-teaseuses ni de ses motivations. Certaines scènes (les combats au ralenti notamment) sont remplies d’une emphase frisant parfois le mauvais goût et la fin est un peu bâclée… Au total, ça ronronne gentiment mais ça ne décolle jamais vraiment. Un film inégal donc qui n’est sûrement pas le meilleur d’Abel Ferrara.
Pur produit des 80's, un polar honnête qui retranscrit à merveille le New York glauque de la grande époque, hanté par les fantômes du passé (on ne peut s'empêcher de penser aux tristement célèbres Zodiac et Fils de Sam) et contenant la plupart des thématiques chères au cinéaste.
Pas mal du tout ! J'ai aimé, un très bon film, de bons acteurs notamment Tom Berenger, une histoire un peu banale maintenant mais efficace, à voir il en vaut le coup d'oeil !
Bonjour Visiter New York, la nuit avec son coté sombre, inquiétant, ces perversions et ces meurtres, voici le programme du film de Ferrarra. Dans une ambiance pesante, Tom Berenger nous fait vivre une enquete dans les milieux de la nuit.; Trés belle distribution, des acteurs des années 80 A redécouvrir.... Bon film a vous
Dans les annèes 80(s) A.Ferrara réalise "Fear city", un film qui raconte la traque d'un tueur en série franchement sadique, en effet, le tueur s'en prend uniquement aux stripteaseuses (pour nettoyer la ville de ces tentatrices si l'on s'en réfère à la thématique dominante chez le cinéaste new-yorkais) et de manière assez cruel. Ferrara pour son 3eme ou 4eme film impose d'ores et déjà une ambiance trés urbaine avec des rues qui sentent mauvais, des neons clignotants, des camés et malfrats à la petite semaine. Il ballade sa caméra dans toute sorte de coin et avec un talent si caractéristique, parvient à glorifié quelques profanations (si l'on s'en tient aux textes bibliques). C'est toujours les petites gens qui l'intéresse, surtout ceux qui se cherchent une rédemption, içi Tom Berenger. Ancien boxeur, il se voit peu à peu obliger de retomber dans la violence pour retrouver la sérénité et en même temps régler les problèmes financiers de son club. On peut voir dans "Fear city", tout les prémices des sujets ferraresque mais le traitement n'est pas encore aboutit, ni la rigeur de l'histoire. Il fait preuve d'une simplicité malvenue pour nous conter la traque du tueur en multipliant les grosses ficelles. Mais le montage, les couleurs, et la complicité qu'il fait doucement passer entre ses personnages font leurs effets. Il prend une histoire de seconde zone pour mettre en valeur une ambiance et des esprits torturés.
Un nanar de seconde zone. Scénario éculé, mise en scène poussive et acteurs abominables (à part Mélanie Griffith, mais elle n'a pas grand chose à défendre). Ferrara est vraiment parti de très bas.
"Fear City" (ou "New York 2h du matin") est un polar nerveux, hommage inavoué au "M" de Lang, construit dans la même verve, le spectateur connait dès le début l'assassin mais l'intrigue joue sur le fait que "ça peut être n'importe qui dans cette putain de ville". Là, seule différence, les enfants de "M" sont remplacées par des stripteaseuses... Le film a ses qualités et ses défauts. Les qualités se retrouvent principalement dans l'originalité des scènes de meurtres, dans l'esthétisme du film, le traitement de la violence, l'ambiance glauque de cette "putain de ville". Les défauts sont majoritairement dans le casting, peu alléchant (malgré la modestie du projet), et dans les nombreuses maladresses dans la mise en scène. Au final, "Fear City" reste un polar eighties très correct qui gagne dans sa nervosité.
Un maniaque agresse et taillade des danseuses de cabaret des quartiers chauds et provoque une guerre de gangs parce que leurs leaders ne peuvent supposer qu’une cause financière. Western urbain, sombre, brutal, et composé d’une soupe d’ordures variées : boxeur meurtrier, stripteaseuse à la recherche d’identité sexuelle, flics violents, dealers, businessmen, psychopathes, toxicomanes, prostitués et autres ténébreux lurons qui composent l’aspect le plus sordide de New-York à une époque non moins glauque. A leur manière, chacun fera quand même preuve d’une relative grandeur, même le branque assassin en titre, lors de ses démonstrations chorégraphiques de combat oriental. On est heureux de revoir Tom Berenger en jeune beau gosse bestial et taciturne, et Mélanie Griffith à l’époque où elle honorait le rôle d’une splendide danseuse nue.
"Fear City" est le premier Ferrara que je vois et franchement je pense que ce n'était pas le meilleur film pour appréhender ce réalisateur car il est plutôt à ranger dans les polards de série B. En effet, dès les premières minutes ont fait une overdose de stripteaseuse (enfin c'est pour nous mettre en condition, Ferrara voudrait-il nous faire partager le dégoût de son tueur dégénéré ?). Ensuite on passe la série des lieux communs : les italiens, la guerre des gangs, le héros torturé qui semble une grosse brute mais qui cache au fond de lui des blessures et un coeur sensible, la femme qu'il aime qui pour relever le tout est bi et a un tatouage sur la fesse gauche et le must : le tueur qui connait l'anatomie humaine par coeur et qui évidemment s'entraine à ses mouvements de karaté nu après avoir écrit dans son journal intime que son but c'était de nettoyer la ville (quoi de mieux que couper les doigts des tripteaseuses ?). Bref, le tout est plus que prévisible, le combat final est tellement conventionnel qu'on en rit et Mélanie Griffith n'a jamais eu l'air aussi nunuche (disons qu'elle sait bien dégraffer sa robe à paillette). En clair, je déconseille fortement !
NEW-YORK 2H00 DU MATIN est la 1ère réalisation "conséquente" de son metteur en scène après des ouvrages "underground". Le pitch est ultra-basique : un psychopathe féru d'arts martiaux et d'armes blanches trucide des stripteaseuses dans le New-York by night. Les agents de celles-ci, la mafia locale et la police peinent à l'intercepter..... Les intérêts de revoir cette péloche de 35 ans sont multiples : avant tout, le film retranscrit très bien le New-York putride et glauque des années 80. Entre les public libidineux des clubs de striptease, les filles blasées de leur job et la drogue présente à chaque coin de rue, on sort des l'imagerie d'Epinal de la Grosse Pomme. Ensuite, parce que c'est surtout une très bonne série B respectueuse du genre. Tous les codes y sont respectés jusqu'à satisfaire les amateurs de combats avec un duel final boxe-kung fu ! Et finalement parce que le casting est impeccable avec un Tom Berenger tout jeune en tête de gondole. On y retrouve aussi Billy Dee Williams (Lando Calrissian dans Star Wars quand même....) et une toute jeune Melanie Griffith dont les effeuillages imposés par le script raviront les plus exigeants......hihihihi..... Donc, de la bonne, de la directe, de l'impeccable série B d'antan.....
Un Ferrera mineur, bien ancré dans son époque ce qui fait sa force (l'ambiance à nul autre pareil du New-York nocturne des 80's) et sa faiblesse (musique horripilante et sérieux goût de déjà-vu). Un polar urbain qui se laisse regarder mais qui a subit les effets du temps. A noter la très bonne interprétation du charismatique Tom Berenger
Une mise en scène un peu à la traine qui à sans doute mal vieillie mais quelques scènes pas inintéressantes qui font que ce thriller urbain tient finalement bien la route (replacé dans son époque).
Certainement un des film les plus holywoodien de Abel Ferarrra. Tout en gardant une patte new yorkaise. D'ailleurs ce fut une commande la century fox qui revendis le film a une société indépendante. L'histoire d'un employé de streap teaseuse enquaitant sur un apprentis romancier qui commet des agression pour ces livre. C'est sombre meme si l'image sonne très années 80. Mais cela opère une certaine nostalgie. C'est violent... Malheuresement quelques scèe qui sonne kitsh mais le film se laisse voire..