Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Ce contre-champ est d'autant plus efficace qu'il ne se contente pas de décrire le parcours de jeunes engagés dans la lutte côté Viet-minh. La fiction prend en charge aussi la coupure interne du pays à l'époque, entre le Nord communiste et le Sud proaméricain, donc les tensions entre les Vietnamiens eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Mais malgré sa maladresse narrative, LA DANSE DE LA CIGOGNE délivre un message pacifiste émouvant et intemporel.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) un film au regard à la fois poignant et authentique sur ces heures tragiques.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par N. T. Binh
Bien que correctement réalisée, cette oeuvre de circonstance n'évite pas les stéréotypes du film de guerre, entre l'aventure humaine d'un groupe de soldats et le spectaculaire des combats. Du moins ceux-ci sont-ils reconstitués dans les extraordinaires paysages où ils ont vraiment eu lieu.
Aden
par Philippe Piazzo
Certes, comme le dit le narrateur, la guerre est atroce, elle tue et fait souffrir. Alors, pourquoi n'en montrer que cette image édulcorée ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-François Rauger
Construit à partir de témoignages, La Danse de la cigogne paraît moins embarrassé par le poids de l'idéologie que par sa platitude formelle et sa difficulté à tirer parti de la puissance romanesque de chacun des récits.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Las, ce film ne prend aucun risque et répète la version officielle avec une candeur d'un autre âge.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Peints au pastel romanesque, sans une ombre de critique sur le système qui allait s'installer au pouvoir, ces portraits sentimentaux flirtent avec l'archétype, l'image d'Epinal. On a, au final, la décevante impression de feuilleter un livre auquel il manquerait des chapitres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Ce contre-champ est d'autant plus efficace qu'il ne se contente pas de décrire le parcours de jeunes engagés dans la lutte côté Viet-minh. La fiction prend en charge aussi la coupure interne du pays à l'époque, entre le Nord communiste et le Sud proaméricain, donc les tensions entre les Vietnamiens eux-mêmes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
MCinéma.com
Mais malgré sa maladresse narrative, LA DANSE DE LA CIGOGNE délivre un message pacifiste émouvant et intemporel.
TéléCinéObs
(...) un film au regard à la fois poignant et authentique sur ces heures tragiques.
Zurban
Bien que correctement réalisée, cette oeuvre de circonstance n'évite pas les stéréotypes du film de guerre, entre l'aventure humaine d'un groupe de soldats et le spectaculaire des combats. Du moins ceux-ci sont-ils reconstitués dans les extraordinaires paysages où ils ont vraiment eu lieu.
Aden
Certes, comme le dit le narrateur, la guerre est atroce, elle tue et fait souffrir. Alors, pourquoi n'en montrer que cette image édulcorée ?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Construit à partir de témoignages, La Danse de la cigogne paraît moins embarrassé par le poids de l'idéologie que par sa platitude formelle et sa difficulté à tirer parti de la puissance romanesque de chacun des récits.
Première
Las, ce film ne prend aucun risque et répète la version officielle avec une candeur d'un autre âge.
Télérama
Peints au pastel romanesque, sans une ombre de critique sur le système qui allait s'installer au pouvoir, ces portraits sentimentaux flirtent avec l'archétype, l'image d'Epinal. On a, au final, la décevante impression de feuilleter un livre auquel il manquerait des chapitres.