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Votre avis sur L'Apprenti Sorcier ?
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Un film familial, drôle, attachant avec beaucoup de rebondissements !! Jay Baruchel & Nicolas Cage l'ont rendu encore plus mémorable !!
« These are not the droids you’re looking for. »
Servi par des effets spéciaux assez ahurissants, ce film fantastique est globalement bien interprété mais, hélas, écrit et réalisé avec les pieds : le prétexte narratif n’a strictement aucun sens, les scènes s’enchaînent sans lien réel tout en étant prévisibles, l’humour est souvent ressassé, flétri, digne des comédies des années ’80 avec Michael J. Fox (à l’époque c’était drôle, 30 ans plus tard, comment dire?) malgré quelques références amusantes (à Fantasia, Walt Disney, 1940, sur une musique de Paul Dukas), et les mouvements de caméra, trop rapides et trop serrés, sont éculés.
On pourra se demander pourquoi les deux méchants (Alfred Molina assez convaincant et Toby Kebbell) affichent un abord anglais face aux deux gentils Américains (Nicolas Cage et Jay Baruchel). Au sein de ce quatuor de personnages stéréotypés, une potiche (Teresa Palmer qui aurait pu être beaucoup mieux exploitée parce qu’elle joue vraiment pas mal) et l’absence assez incompréhensible des sorcières (Alice Krige et Monica Bellucci) durant plus des trois quarts du film.
En résumé, on part d’une idée discutable pour en arriver à un film vu des dizaines de fois et sans aucune place réelle laissée aux actrices. Seuls les effets spéciaux et l’une ou l’autre référence valent finalement le détour. Malgré son âge encore récent, L’Apprenti Sorcier n’est qu’un vieux film avec quelques chouettes trucages.
Servi par des effets spéciaux assez ahurissants, ce film fantastique est globalement bien interprété mais, hélas, écrit et réalisé avec les pieds : le prétexte narratif n’a strictement aucun sens, les scènes s’enchaînent sans lien réel tout en étant prévisibles, l’humour est souvent ressassé, flétri, digne des comédies des années ’80 avec Michael J. Fox (à l’époque c’était drôle, 30 ans plus tard, comment dire?) malgré quelques références amusantes (à Fantasia, Walt Disney, 1940, sur une musique de Paul Dukas), et les mouvements de caméra, trop rapides et trop serrés, sont éculés.
On pourra se demander pourquoi les deux méchants (Alfred Molina assez convaincant et Toby Kebbell) affichent un abord anglais face aux deux gentils Américains (Nicolas Cage et Jay Baruchel). Au sein de ce quatuor de personnages stéréotypés, une potiche (Teresa Palmer qui aurait pu être beaucoup mieux exploitée parce qu’elle joue vraiment pas mal) et l’absence assez incompréhensible des sorcières (Alice Krige et Monica Bellucci) durant plus des trois quarts du film.
En résumé, on part d’une idée discutable pour en arriver à un film vu des dizaines de fois et sans aucune place réelle laissée aux actrices. Seuls les effets spéciaux et l’une ou l’autre référence valent finalement le détour. Malgré son âge encore récent, L’Apprenti Sorcier n’est qu’un vieux film avec quelques chouettes trucages.
Voici l'exemple des Blockbusters des années 2000 et 2010, qui se regardent bien, mais qu'on oubliera l'existence dans les prochains jours. Gros problème de rythme et l'intrigue principal se perd à cause d'une autre intrigue amoureuse très secondaire qui n'apporte rien à l'histoire.
Pourtant on passe un bon moment, mais le niveau est tellement moyen... Film à voir en famille à la limite
Pourtant on passe un bon moment, mais le niveau est tellement moyen... Film à voir en famille à la limite
Alors certes c'est pas un chef d'œuvre, c'est un film destiné en priorité à un public assez jeune et la grande quantité d'humour peut parfois déranger mais pour ma part c'est toujours un plaisir de revoir ce film des années plus tard ! Réunir 2 acteurs que j'apprécie énormément (Nicolas Cage et Alfred Molina) dans une aventure fantastique sur le thème des sorciers je dois dire que c'était vraiment un plaisir. Pour un film de 2010 les effets spéciaux sont étonnamment bons et l'histoire tient vraiment la route. Donc c'est une réussite pour moi même si on reste dans un film familial et simpliste. Cependant il nous offre ce qu'on attend à savoir du divertissement, un bon moment !
Un film produit par Disney et qui a le mérite d'être très distrayant.
Alors que la saga des Harry Potter touche à sa fin, le studio aux grandes oreilles vient nous compter une histoire magique de sorciers qui traverse les siècles sans vieillir pour combattre la fée Morgane, sorcière Maléfique.
Un film qui ne cache pas son ambition, nous divertir, et nous emmener dans l'univers très secret des sorciers, à une époque moderne.
Le film est rempli de belles scènes d'actions, de moment d'humour, de second degrés, de romance, toutes les cases sont cochées, et cela fonctionne assez bien. Les effets visuels sont bien réalisés, ce qui est tout de même un sacré atout pour la véracité de l'histoire. Nicolas Cage n'en déplaise à certains, est crédible, il en fait le minimum, le héros ce n'est pas lui, c'est son apprenti et son meilleur ennemi joué par Alfred Molina est tout aussi réussi.
Et il a le final, qui sans tomber dans le grand guignol, nous offre un florilège d'éclair, pas forcément de génie, mais qui ne s'éternise pas, ce qui aurait pu agacer; le juste milieu à été trouvé et ce n'est pas toujours évident dans ce genre de production.
Alors que la saga des Harry Potter touche à sa fin, le studio aux grandes oreilles vient nous compter une histoire magique de sorciers qui traverse les siècles sans vieillir pour combattre la fée Morgane, sorcière Maléfique.
Un film qui ne cache pas son ambition, nous divertir, et nous emmener dans l'univers très secret des sorciers, à une époque moderne.
Le film est rempli de belles scènes d'actions, de moment d'humour, de second degrés, de romance, toutes les cases sont cochées, et cela fonctionne assez bien. Les effets visuels sont bien réalisés, ce qui est tout de même un sacré atout pour la véracité de l'histoire. Nicolas Cage n'en déplaise à certains, est crédible, il en fait le minimum, le héros ce n'est pas lui, c'est son apprenti et son meilleur ennemi joué par Alfred Molina est tout aussi réussi.
Et il a le final, qui sans tomber dans le grand guignol, nous offre un florilège d'éclair, pas forcément de génie, mais qui ne s'éternise pas, ce qui aurait pu agacer; le juste milieu à été trouvé et ce n'est pas toujours évident dans ce genre de production.
Ce long métrage retrace l'histoire du magicien Balthazar à la recherche du premier Merlinien pour tuer la fée Morgane.
Il est vrai que les effets spéciaux sont plus que correct cependant le scénario est plus que prévisible. Nicolas Cage donne du cachet au film mais le reste n'est pas franchement à la hauteur.
C'est assez moyen dans l'ensemble.
Il est vrai que les effets spéciaux sont plus que correct cependant le scénario est plus que prévisible. Nicolas Cage donne du cachet au film mais le reste n'est pas franchement à la hauteur.
C'est assez moyen dans l'ensemble.
Vu le 20/08/2023.
Un bon film que j'ai vu en famille avec ma femme et mon fils et on a bien aimé dans l'ensemble. Ca n'a pas le fond très fouillé d'un Harry Potter mais ça se laisse regarder. j'ai bien aimé le personnage de Dave, interprété par Jay Baruchel, qui ets le profil typique du gars pas très doué, gaffeur mais qui de façon assez impensable va faire craquer la beauté fatale de l'école. Il ressemble un peu en cela au personnage de Haros dans la série d'animation "Dragons", sans doute parce que l'acteur qui double sa voix (Donald Reignoux) double aussi Baruchel dans ce film.
Nicolas Cage tient son rôle aussi avec pas mal d'humour parfois dans la peau de Balthazar Blake. j'ai bien aimé aussi le méchant du film Maxim Horvath (joué par Alfred Molina), je l'ai trouvé intéressant, presque sympa, en tout cas, on a du mal à le détester. par contre, si le rôle de Becky Barnes (interprétée par la jolie Tersa Palmer) marche bien, j'ai plus de mal avec celui de Morgane, jouée par la magnifique Monica Bellucci mais qui se cantonne ici à un rôle de 3ème choix sans beaucoup d’intérêts, dommage...
Les scènes d'effets spéciaux sont plutôt bien faite avec l'aigle de pierre qui devient métallique, la transformation des voitures, les bobines Tesla, la course poursuite dans New York, je n'ai pas trop aimé la scène du dragon par contre, pas terrible. Par contre, joli hommage à Fantasia avec la scène des balais et de la pièce remplie d'eau.
Bref un film à mi-chemin entre un Harry Potter et un Percy Jackson, qui mêle scènes d'effets spéciaux et humour et qui marche plutôt bien dans l'ensemble
Un bon film que j'ai vu en famille avec ma femme et mon fils et on a bien aimé dans l'ensemble. Ca n'a pas le fond très fouillé d'un Harry Potter mais ça se laisse regarder. j'ai bien aimé le personnage de Dave, interprété par Jay Baruchel, qui ets le profil typique du gars pas très doué, gaffeur mais qui de façon assez impensable va faire craquer la beauté fatale de l'école. Il ressemble un peu en cela au personnage de Haros dans la série d'animation "Dragons", sans doute parce que l'acteur qui double sa voix (Donald Reignoux) double aussi Baruchel dans ce film.
Nicolas Cage tient son rôle aussi avec pas mal d'humour parfois dans la peau de Balthazar Blake. j'ai bien aimé aussi le méchant du film Maxim Horvath (joué par Alfred Molina), je l'ai trouvé intéressant, presque sympa, en tout cas, on a du mal à le détester. par contre, si le rôle de Becky Barnes (interprétée par la jolie Tersa Palmer) marche bien, j'ai plus de mal avec celui de Morgane, jouée par la magnifique Monica Bellucci mais qui se cantonne ici à un rôle de 3ème choix sans beaucoup d’intérêts, dommage...
Les scènes d'effets spéciaux sont plutôt bien faite avec l'aigle de pierre qui devient métallique, la transformation des voitures, les bobines Tesla, la course poursuite dans New York, je n'ai pas trop aimé la scène du dragon par contre, pas terrible. Par contre, joli hommage à Fantasia avec la scène des balais et de la pièce remplie d'eau.
Bref un film à mi-chemin entre un Harry Potter et un Percy Jackson, qui mêle scènes d'effets spéciaux et humour et qui marche plutôt bien dans l'ensemble
C’est vraiment un film pour jeune public ! C’est pas terrible mais les quelques trucages réussis, un rythme assez soutenu et ces quelques allusions
spoiler:
(les kamehameha à la Dragon Ball, la réplique «ce ne sont pas les droides que vous rechercher » façon Star Wars, les balais de Fantasia, …)
arrive à divertir. Honnête au final.
arrive à divertir. Honnête au final.
Le film et génial. Je vous conseille de le voir. Il y a de la magie, des secrets sur fantasia de Disney.
Je trouve que ce film est moins bon que la dulogie Benjamin Gates, mais vraiment moins bon. Mais c'est divertissement du dimanche ,cliché et parfois même prévisible. Bref, un film à voir en fin de vendredi ou pendant le week-end.
Un bon film, des effets spéciaux de qualité, des acteurs bien dirigés, un Cage bien dans ses pompes... Sans prise de tête!
En 740 après J.-C. en Grande-Bretagne le disciple de Merlin Maxim Horvath (Alfred Molina) s'unit à la méchante Morgane le Fay (Alice Krige) et trahit son maître. Cependant les deux autres disciples de Merlin Balthazar Blake (Nicolas Cage) et Veronica (Monica Bellucci) vont vaincre le mal et Balthazar piège Horvath dans un vaisseau magique et Veronica fusionne avec Morgane et ils sont piégés dans un autre récipient. L'apprenti sorcier est une collection de clichés et d'effets spéciaux avec un acteur principal nasillard. Qui est l'agaçant Jay Baruchel qui n'est pas drôle et est aussi l'un des pires acteurs que j'ai jamais vu et il ruine le film pour moi. L'histoire prévisible utilise tous les clichés imaginables avec des explosions, des courses de voitures et des effets spéciaux qui tentent d'être attractifs pour le public. Je ne comprends pas comment un producteur peut investir des millions de dollars dans un film avec Jay Baruchel dans le rôle principal et pourquoi Nicolas Cage et Monica Bellucci ont accepté de travailler dans ce film. Jay Baruchel devrait utiliser son paiement pour aller chez un orthophoniste et prendre des cours de théâtre avant de faire un autre film...
Je l'ai vue il y a longtemps, il y a une histoire de sorcier, Alfred Molina joue le méchant, je me souviens que les effets spéciaux sont très bien.
Un film sympa avec de bons acteurs...
Walt Disney a signé un très bon film.
Le scénario reprend bien la partie du célèbre film d'animation et vient ajouter une histoire intéressante.
Walt Disney a signé un très bon film.
Le scénario reprend bien la partie du célèbre film d'animation et vient ajouter une histoire intéressante.
Fêtons le cinéma
Il est dommage que The Sorcerer’s Apprentice recoure avec autant d’avidité au second degré lourdingue qui dynamite en partie les bases mythologiques qu’il essaie d’installer à grands renforts de flashbacks grossiers avec héros en cap, pouvoirs magiques et voix off. Car le long métrage tire de ses acteurs une belle alchimie : visiblement emportés par un projet loufoque et ludique, ils s’en donnent à cœur joie, notamment Nicolas Cage qui retrouve le réalisateur des deux volets de Benjamin Gates. Un même esprit d’aventure souffle sur ce récit de sorciers dont l’enjeu profond, à savoir l’amour passionné qui survit à travers les âges, établit un dialogue entre passé et présent, adulte et adolescent, au nom de l’atemporalité. En outre, Jon Turteltaub ne radine pas sur les effets spéciaux, au demeurant fort réussis : nous nous souviendrons longtemps de la course-poursuite entre Dave et un dragon dans un Chinatown en fête, ou de celle, en voitures cette fois, qui mobilise moult transformations et un passage dans une réalité parallèle, inversée comme dans un miroir. Le réalisateur réussit à moderniser la matière de Bretagne en la greffant dans un Manhattan ultramoderne. La partition musicale que signe Trevor Rabin confère à l’ensemble un rythme et des textures très années 90, à l’image d’un long métrage qui s’inscrit dans la veine d’un certain cinéma à la Michael Bay avec son duo improbable mais sympathique, son action virevoltante et son humour prononcé. Nous regretterons néanmoins deux choses : que l’initiation à la magie de Dave n’ouvre pas davantage sur une initiation sexuelle, comme le faisaient les trois superbes volets de la saga Spider-Man réalisée par Sam Raimi ; que l’acteur en charge du rôle-titre ne dispose pas d’un plus grand charisme, Jay Baruchel semblant constamment ailleurs ou drogué. Reste un divertissement efficace.
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