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    La Dame de Shanghai
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    120 critiques spectateurs

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    ghyom
    ghyom

    84 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2014
    Tout commence par une scène d'ouverture captivante. Michael O'Hara (Orson Welles) et Rosaline Bannister (Rita Hayworth) nous offre un très jolie jeu de séduction dans l'atmosphère sombre et mystérieuse bien établie par la voix-off de Welles. Tout se termine par la fameuse, et c'est plus que justifié, scène du palais des glaces (avec ce détail qui tue de l'objectif fendu de la caméra). Entre les deux, je retiendrais une séance de bronzage terriblement érotique de Rita Hayworth et la scène onirique de l'aquarium et de ce baiser sur fond de murènes. J'ai vraiment apprécié justement ce mélange des genres entre le film noir et l'atmosphère onirique. Un mélange qui n'a pas été sans me rappeler La Nuit du Chasseur ou Mulholland Drive. Le problème de ce mélange des genres c'est qu'on est à cheval sur 2 codes dont l'un m'incite à la contemplation au bénéfice de l'atmosphère quand j'attends de l'autre d'établir plus rapidement les développements successifs de l'intrigue. J'étais donc parfois, vous me passerez l'expression, le cul entre deux chaises, jamais tout à fait dans le bon rythme, parfois voulant que telle scène dure plus, parfois voulant que le film avance plus vite. Malgré tout ce film reste d'une très bonne facture et très intéressant à bien des égards : mélange des genres donc (même si pas totalement maîtrisé à mon sens), mais aussi perversités des relations, rapport au pouvoir, quelques mise-en-scènes marquantes, etc.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 396 abonnés 4 437 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2015
    A mon sens La Dame de Shanghai n’est clairement pas le meilleur Welles. Si la dernière partie permet de rehausser l’ensemble, on reste sur un métrage assez court, assez lent, qui ne marque pas outre mesure.
    Niveau acteur celui qui s’en sort le mieux n’est curieusement pas l’une de nos deux stars, mais Everett Sloane, lequel campe un Arthur Bannister mémorable. Toutes ses apparitions sont excellentes, il a le physique de l’emploi, bref, il retient l’attention. Si le duo Hayworth-Welles reste de bonne tenue, je n’ai pas été franchement transcendé non plus, entre un Welles trop apathique et une Hayworth qui se laisse un peu vivre ici, n’ayant pas, il est vrai, un rôle d’une grande consistance. En tout cas j’espérai clairement plus de ces derniers, et finalement ils se font voler la vedette, par les rôles secondaires, dommage. Glenn Anders n’est d’ailleurs pas mal du tout non plus.
    Le scénario démarre dans une première partie pour le moins lancinante, ressemblant à une sorte de comédie sentimentale pâlichonne, vaguement teinté d’humour et des répliques tranchantes du héros, mais enfin, il y a des plages longuettes et on ne sait pas trop où le film veut aller. Finalement dans sa deuxième partie le film devient plus intéressant, s’ancrant vraiment dans une histoire, et offrant un imbroglio sympathique bien que finalement le suspens ne prenne pas totalement. Reste que le rythme monte, qu’il y a plus de scènes fortes, notamment la fin, et cela parvient à remonter quelque peu la cote du métrage.
    Welles livre une mise en scène travaillée certes mais trop elliptique et souvent chaotique. Si son travail sur les plans est remarquable (l’usage des plongées aussi) en revanche ses cadrages qui privilégient le hors-champs et sa tendance fâcheuse pour le gros plan gêne à la compréhension du film, et sont parfois agaçants. Cela en effet donne le sentiment de l’enfermer, et même si l’effet est peut-être voulu, cela parait assez étrange par rapport à la volonté exotique du film qui précisément semble vouloir faire la part belle aux grands espaces. Enfin, cet aspect m’a laissé quelque peu dubitatif, mais on sent quand même un beau travail sur l’image, et les efforts méritent une certaine amabilité. La musique est assez neutre.
    Au final La Dame de Shanghai n’est pas un mauvais film mais c’est un métrage mineur de Welles, qui alterne des moments très forts (le final par exemple) avec des choses pour le moins banal, timide. Pour ma part je pense que ce n’est clairement pas par là qu’il faut aborder l’œuvre de Welles, mais enfin à voir une fois, pourquoi pas. 3.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    25 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2017
    Ce qui est frappant dans La Dame de Shanghai, malgré les nombreuses critiques dithyrambiques sur le film, est l'enlaidissement de Rita Hayworth. Par jalousie envers les autres hommes, rivaux éventuels, Orson Welles coupa la belle chevelure rousse de Rita Hayworth est la transforma en... Anne Baxter. Comme modèle de féminité il y a mieux.
    D'ailleurs Joseph L Mankiewicz ne se trompa pas dans son superbe film All about Eve sorti 3 ans après, puisque Bette Davis à l'étincelante et longue chevelure rousse, se fait "détrôner" par l'insignifiante Anne Baxter.
    Joseph L Mankiewicz cinéaste visionnaire, voit que malgré tout que cela ne servira à rien de brimer le sex-appeal des actrices hollywoodiennes, puisque Marilyn Monroe, fait partie de la distribution de Eve dans un second rôle. Elle attend son heure, et fera vite oublier Anne Baxter.
    Mais avant que Marilyn Monroe ne prenne le pouvoir, il fallait dire adieu aux femmes fatales du cinéma des années 40, adieu Gilda ! Adieu Gene Tierney, Ava Gardner, Veronica Lake et Lauren Bacall. Les réactionnaires de l'époque gagnent la partie et semblent dire: "Coupez moi donc cette chevelure trop érotique de femmes un peu trop libres, et restez dans vos maisons à faire le ménage, et à vous occupez des enfants."
    La coupe de cheveux "casque" sera la norme dans toutes les années 50, de Joan Crawford à Jane Wyman, mais Marylyn Monroe viendra mettre à mal ces codes rigides de la bien-pensance des années 50, et cela malgré ses cheveux courts.
    Orson Welles en tyran domestique ne voulait pas que sa femme, Rita Hayworth, puisse séduire les autres hommes. La dame de Shanghai est du fait dans les normes de l'époque. Chaque plan du film se veut novateur, mais le personnage féminin du film, qui correspond aux archétypes de l'époque, ne l'est pas. Il y a dichotomie entre le personnage de Rita Hayworth qui joue encore sur les codes de la femme fatale des années 40 (donc rien de bien nouveau) mais qui est emprisonnée dans un corps engoncé qui représente déjà la vision de la femme des années 50. C'est une vison misogyne. D'ailleurs Orson Welles fait mourir son personnage féminin, alors que la défunte Laura (Gene Tierney, dans le sublime film d'Otto Preminger de 1944) ressuscite. La dame de Shanghai est une critique d'Hollywood d'Orson Welles, certes, mais en partie seulement car le cinéaste n'a pas vu venir le genre de personnage féminin empesé que le cinéma américain allait produire dans les années 50. Ce n'est guère anticipateur. Orson Welles enlève donc la belle et désirable apparence de Rita Hayworth, pour se complaire dans ce qui sera l'image de la femme avec les codifications rigides des années 50. C'est le comble du cynisme et c'est plutôt creux. Le film veut dynamiter les codes du film classique, mais il enferme justement la femme dans les carcans esthétiques austères et puritains qui allaient triompher dans la société américaine des années 50.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    59 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2014
    La dame de Shanghai fut au delà de mes attentes. Charismatique, magnifique, intelligent, amusant, tordu à souhait mais pas moins génialement réalisé et interprété par l'ensemble de sa distribution. C'est grâce à ce genre d'oeuvre que les cinéphiles vivent leur passion du cinéma ou que les non-initiés en tombent amoureux. Peu de réalisateur sont aussi bon devant que derrière la caméra. Orson Welles était un demi dieu. RIP
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2011
    Un grand classique du film noir magistralement interprété par Welles et Hayworth. Incontournable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 mars 2012
    On notera dans ce film la présence de la femme fatale incarnée par Rita Hayworth. Ce film complexe offre aussi une bonne illustration de l'expressionnisme au cinéma dans sa scène finale. Malgré quelques longueurs et le fait qu'il soit tourné dans différents lieux, ce film reste un chef d'oeuvre du genre.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2021
    Les défauts du film noir s'amoncellent ici: scénario alambiqué truffé d'incohérences, survol superficiel de la psychologie des personnages et rythme peu dynamique, auxquels s'ajoute la grandiloquence de la mise en scène. Demeurent toutefois le plaisir du duo composé par le charismatique Orson Welles et la saisissante Rita Hayworth ainsi que quelques scènes emblématiques telle que l'affrontement dans le labyrinthe de miroirs. Bien insuffisant pour un classique!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 septembre 2015
    Comme souvent avec Welles les choses ne sont ni blanches ni noires, pas plus grisâtres d’ailleurs mais plutôt bariolées malgré une œuvre presque exclusivement filmée en noir et blanc. "La dame de Shanghaï" est un de ses nombreux films maudits qui aura subi les coupes assassines des producteurs pressés d'en finir avec les sautes d'humeur et d'inspiration du réalisateur incontrôlable qu'était rapidement devenu le prodige créateur de "Citizen Kane". Les avanies subies par la plupart des travaux cinématographiques de Welles que ce soit "Le dossier Arkadin", "Don Quichotte", "La splendeur des Amberson" et bien sûr "La dame de Shanghai" leur donnent une tonalité très particulière, mélange de baroque poétique et d'inachevé qui en font aujourd'hui tout le prix. Comme si Welles n'ayant pas en lui la capacité de dompter sa force créatrice, provoquait par ses rebuffades un étiolement de ses folles entreprises pour échapper à leur conclusion et inconsciemment éviter d'avoir à en définir le contour exact, laissant ainsi au spectateur le soin de plaquer ses propres obsessions sur une page encore à noircir. «La dame de Shanghai » s’inscrit sans conteste dans la veine du genre noir mais de manière atypique sans en reprendre toutes les conventions. spoiler: La femme fatale jouée par Rita Hayworth teintée en blonde peroxydée passe très longtemps pour la victime d’un mari aigri faisant payer son infirmité à son entourage qu’il domine grâce au pouvoir que lui confère son statut d’avocat réputé invincible
    . La toile d’araignée qui se tisse patiemment sous les yeux du spectateur dans des classiques comme « Assurance sur la mort » (Billy Wilder, 1944) basés eux aussi sur le thème de la femme fatale manipulatrice, se dévoile ici dans une fin un peu précipitée et frustrante. De la même manière, Welles abandonne l’espace clos étouffant typique du genre pour un périple au parfum onirique conduisant cet équipage insensé, des Antilles à San Francisco en passant par Acapulco. Welles déploie confusément son histoire du point de vue unique de Michael O’Hara (Orson Welles), marin romantique dont l’attitude souvent naïve peut tout à fait se résumer par la phrase introductive lancée en voix off qui nous rappelle que l’homme se laisse facilement guider par ses sens quand il a la chance ou le malheur de croiser une créature comme Elsa Bannister (Rita Hayworth) : "Quand je commence à faire l'idiot presque rien ne peut m'arrêter . Si j'avais su comment ça se terminerait, jamais je n'aurais commencé. Si j'avais eu tous mes esprits. Mais après l'avoir vue. Mais après l'avoir vue. J'ai perdu la tête pendant un bon moment". C’est clair, O’Hara comme anesthésié par la beauté de celle qui le supplie de prendre les commandes du yacht de son riche époux ne verra rien pendant tout le film de tout ce qui se trame sous ses yeux et ne se réveillera que dans la dernière scène où toujours en voix off il nous confiera : « On est toujours l’idiot de quelqu’un. Le seul moyen d’éviter les ennuis c’est de vieillir. Alors je vais me concentrer là-dessus. Je vivrais peut-être assez vieux pour l’oublier. Je mourrai peut-être en essayant ». Constat amer d’un homme conduit au bord du trépas par l’envoûtement d’une mante religieuse et qui se demande s’il arrivera à se guérir un jour de l’enivrant poison injecté lors de la rencontre dans un parc de San Francisco (scène un peu décalée visiblement inspirée de « La splendeur des Amberson »). Welles qui avait préalablement songé à une actrice française peu connue (Barbara Laage) doit beaucoup à Rita Hayworth dont la fulgurante beauté donne tout son crédit à l’aveuglement qui foudroie violemment O’Hara. Parsemé de scènes baroques et insolites « La dame de Shanghai » permet à Welles de s’inscrire au panthéon d’un genre typiquement hollywoodien tout en y imprimant sa touche de folie. A l’époque en froid avec la RKO, Welles ne manque pas l’occasion d’égratigner au passage le système des studios qu’il juge responsable de brider sa créativité. La courte diatribe sur la plage où O’Hara assimile le monde juridique à une mer de requins assoiffés de sang se dévorant entre eux, reprise en métaphore visuelle dans la fameuse scène d’amour du musée océanographique est une attaque à peine voilée contre les moguls qui ne pensent qu’à l’argent au détriment de l’art. Après ce nouvel échec commercial Welles continuera sa route chaotique dans une industrie du cinéma qui l’aura alternativement adulé puis détesté. On manque c’est sûr de nos jours de génies de la sorte.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 541 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mai 2021
    Si vous étudiez Welles et voulez voir Citizen Kane qui est déjà un film incompréhensible aux communs des mortels ce film vous prouvera qu'il a fait encore pire. L'excuse bidon consistant à faire de la protagoniste un mannequin pour expliquer comment il pourrait se laisser entraîner dans un tel projet ne suffit pas à expliquer l'histoire absurde du tribunal et les rebondissements ridicules qui s'ensuivent. La Dame de Shanghai est réservé aux fans d'Orson Welles et de Rita Hayworth uniquement...
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2021
    Gros échec à sa sortie, "The Lady from Shanghai" était pourtant un film ambitieux. Un tournage sur place, alors que la très grande majorité des productions hollywoodiennes tournent exclusivement en studio à l'époque. Et une "défiguration" culottée de Rita Hayworth, icône sensuelle qui doit ici se couper les cheveux et se teindre en blonde ! Cependant, l’œuvre Orson Welles subira les affres d'une post-production peu clémente, charcutant allègrement l'ensemble. A l'arrivée, on peut comprendre l'accueil froid que subit le film. Certes, il s'agit d'un film noir, genre dont l'intrigue contient souvent des trous scénaristiques. Mais ici les trous deviennent des puits, ce qui est d'autant plus dommage que des passages entiers sont peu utiles à l'intrigue (dont tout le volet tourné sur le yacht, qui appartenait par ailleurs à Errol Flynn dans la vraie vie). C'est ballot car visuellement, "The Lady from Shanghai" est très soigné, offrant son lot de plans marquants. Dont la fameuse scène finale des miroirs, particulièrement impressionnante, qui sera régulièrement référencée. Et le tournage en local permet de donner un côté rafraîchissant et authentique à la partie aventure. On s'étonnera enfin de quelques scènes pour le moins inhabituelles, telles qu'un procès expédié sous forme de grosse farce. Ironie de l'histoire, les deux acteurs principaux qui jouent les amants étaient en couple à la ville, et se sépareront à la sortie du film. Rita Haworth et Orson Welles sont très convaincants, respectivement en femme fatale et en marin gentillet. Par contre, l'accent pseudo-irlandais que tente Welles est assez peu crédible, ayant tendance à souvent s'effacer... "The Lady from Shanghai" est donc le genre de film bourré de défauts et de qualité, qui divisera son public.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2019
    Plusieurs parties intéressantes dans ce film. La machination, la partie de bateau et surtout la poursuite dans le parc. Avec les décors inquiétants et la mise en scène toujours fascinante d’OW.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    Eros et Thanatos. Avec « The Lady from Shangai », Orson Welles recycle cette fameuse dualité en jouant sur la double intrigue romantique et policière. Voir un film de Welles c'est déjà admirer et profiter des qualités de la mise en scène, du jeu des lumières, des bons travellings,... De ce côté-ci, on prend une leçon de cinéma. Le scénario m'a moins emballé et souffre de quelques longueurs. Pas toujours intéressant mais rien de honteux non plus. Devant la caméra, le duo Welles/Hayworth fait le reste. Un bon moment de cinéma.
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 394 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2020
    Film noir élégant grâce à son couple star à l'affiche, Rita Hayworth-Orson Welles. Je peux peut-être reprocher quelques longueurs et quelques moments creux, où l'on s'ennuie, mais la maîtrise technique, la beauté des scènes et la présence de la sublime Rita nous tiennent en haleine.
    carbone144
    carbone144

    88 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2023
    Un film relativement oubliable. Long à démarrer, il ne gagne en intérêt véritable qu'à partir de quelques propos clairs qui retiennent notre attention et nous donnent envie de savoir comment ils vont se traduire. Pour cela, il faut attendre une bonne moitié de film. Ensuite, pour recomposer le puzzle, le scénario bizarre s'appuie sur des ficelles un peu particulières. Le scénario et le dénouement sont un peu tirés par les cheveux. Souvenir périssable.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2020
    "Il était évident qu'on sentait venir le danger. Moi pas." Ainsi commence cette vénéneuse histoire d'amour, de mort et de trahison avec une femme fatale (Rita Hayworth avec les cheveux courts et blonds, femme de Welles à l'époque du film), un mari infirme et un marin irlandais.
    Ce film noir est fait d'éclats de génie, comme la célèbre séquence des miroirs, scène d'anthologie.
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