Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) la vraie révélation du film est Josiane Balasko. (...) Imposant avec force et subtilité son personnage ingrat de flic usé et rongé par son passé, qui tente d'exorciser ses démons, elle est pour beaucoup dans la réussite du film de Guillaume Nicloux. CETTE FEMME-LA, y'a pas à dire, elle est terrible !
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
Ça rappelle les polars de Manchette dans les années 1970. Avec une bonne petite dépression par-dessus. Et David Lynch qui est passé par là. On ne voit vraiment pas comment ne pas aimer ça.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) une mise en scène efficace et troublante à la fois (...) Josiane Balasko, vraiment étonnante dans ce contre-emploi.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Guillemette Olivier
Le cafard contagieux de " cette Balasko-là " est bien sûr la surprise et l'une des forces du film. Mais Guillaume Nicloux est un méticuleux à tendance fétichiste. Pas un objet autour d'elle qu'il n'ait pensé, placé au millimètre près, pour faire surgir l'insolite (deux doigts en plastique, un gros lapin, des masques de Dalton...) ou tromper volontairement, comme chez David Lynch.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Simple faux pas ou début d'égarement dans les rets d'un cinéma de producteur ? On se gardera d'opter pour la seconde basse hypothèse, tant Nicloux sut faire preuve à ses débuts d'un tempérament de cinéaste indomptable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
(Josiane Balasko) transfigurée dans un polar atone et glacial qu'elle porte à bout de bras. Peu convaincant jusqu'alors (...), Guillaume Nicloux (...) tient là un pertinent portrait de femme au bout du rouleau. Certes, le récit perd de sa tenue laconique vers la fin, la dernière demi-heure s'égarant dans l'hystérie sanguinolente (...) Mais, avant, on a eu le temps d'apprécier un thriller d'une mélancolie aiguë
Première
par Ghislain Loustalot
On s'accroche, on est séduit par l'univers et on se laisse porter. Car ce film-là ne se dissèque pas, il se ressent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par La rédaction
Le climat lancinant et la manipulation fonctionnent... jusqu'à la déception d'une résolution grand-guignolesque bien loin de l'élégance du film. Et ce malgré la performance de Josiane Balasko, étonnante dans ce registre inattendu.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Sans respiration, le film se contente de colmater laborieusement les brèches par où autre chose qu'une ambiance délétère pourrait s'infiltrer, quand bien même son sujet est au contraire la porosité entre le réel et le fantasme (fût-il morbide) et les fissures de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Toc. Nicloux duplique en gros le schéma de son précédent film, Une affaire privée, en substituant Josiane Balasko à Thierry Lhermitte. Syndrome Tchao Pantin oblige, Balasko refait le coup du clown triste (...). Ça irait encore sans la lumière frimeuse en clair-obscur, sans les décors d'antiquaire branché, et surtout sans le gimmick du zoom avant au début de chaque scène.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Guillaume Nicloux mélange les cauchemars de la mère et les frayeurs de la policière au mépris des règles du jeu policier (...) La monotonie visuelle du film, la pesanteur d'un scénario univoque forment une masse trop énorme pour que l'engagement de Josiane Balasko puisse la mouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Frank Garbarz
Si le cinéaste est toujours aussi soucieux de rendre hommage à ses modèles (...), il en néglige un brin le scénario et crée un climat artificiellement glauque (...) l'atmosphère délétère, peuplée de fantômes, dans laquelle baigne Balasko ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(...) la vraie révélation du film est Josiane Balasko. (...) Imposant avec force et subtilité son personnage ingrat de flic usé et rongé par son passé, qui tente d'exorciser ses démons, elle est pour beaucoup dans la réussite du film de Guillaume Nicloux. CETTE FEMME-LA, y'a pas à dire, elle est terrible !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Ça rappelle les polars de Manchette dans les années 1970. Avec une bonne petite dépression par-dessus. Et David Lynch qui est passé par là. On ne voit vraiment pas comment ne pas aimer ça.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
(...) une mise en scène efficace et troublante à la fois (...) Josiane Balasko, vraiment étonnante dans ce contre-emploi.
Télérama
Le cafard contagieux de " cette Balasko-là " est bien sûr la surprise et l'une des forces du film. Mais Guillaume Nicloux est un méticuleux à tendance fétichiste. Pas un objet autour d'elle qu'il n'ait pensé, placé au millimètre près, pour faire surgir l'insolite (deux doigts en plastique, un gros lapin, des masques de Dalton...) ou tromper volontairement, comme chez David Lynch.
Les Inrockuptibles
Simple faux pas ou début d'égarement dans les rets d'un cinéma de producteur ? On se gardera d'opter pour la seconde basse hypothèse, tant Nicloux sut faire preuve à ses débuts d'un tempérament de cinéaste indomptable.
Libération
(Josiane Balasko) transfigurée dans un polar atone et glacial qu'elle porte à bout de bras. Peu convaincant jusqu'alors (...), Guillaume Nicloux (...) tient là un pertinent portrait de femme au bout du rouleau. Certes, le récit perd de sa tenue laconique vers la fin, la dernière demi-heure s'égarant dans l'hystérie sanguinolente (...) Mais, avant, on a eu le temps d'apprécier un thriller d'une mélancolie aiguë
Première
On s'accroche, on est séduit par l'univers et on se laisse porter. Car ce film-là ne se dissèque pas, il se ressent.
Zurban
Le climat lancinant et la manipulation fonctionnent... jusqu'à la déception d'une résolution grand-guignolesque bien loin de l'élégance du film. Et ce malgré la performance de Josiane Balasko, étonnante dans ce registre inattendu.
Chronic'art.com
Sans respiration, le film se contente de colmater laborieusement les brèches par où autre chose qu'une ambiance délétère pourrait s'infiltrer, quand bien même son sujet est au contraire la porosité entre le réel et le fantasme (fût-il morbide) et les fissures de son personnage.
L'Humanité
Toc. Nicloux duplique en gros le schéma de son précédent film, Une affaire privée, en substituant Josiane Balasko à Thierry Lhermitte. Syndrome Tchao Pantin oblige, Balasko refait le coup du clown triste (...). Ça irait encore sans la lumière frimeuse en clair-obscur, sans les décors d'antiquaire branché, et surtout sans le gimmick du zoom avant au début de chaque scène.
Le Monde
Guillaume Nicloux mélange les cauchemars de la mère et les frayeurs de la policière au mépris des règles du jeu policier (...) La monotonie visuelle du film, la pesanteur d'un scénario univoque forment une masse trop énorme pour que l'engagement de Josiane Balasko puisse la mouvoir.
Positif
Si le cinéaste est toujours aussi soucieux de rendre hommage à ses modèles (...), il en néglige un brin le scénario et crée un climat artificiellement glauque (...) l'atmosphère délétère, peuplée de fantômes, dans laquelle baigne Balasko ne convainc pas.