Derniers Avis : Resident Evil : Apocalypse - Page 18

Plus d'action, mais moins de frissons!!! Ce 2ème opus est clairement moins stressant que le 1er, il était pourtant plus prometteur. Certes l'action est plus présente, les personnages mieux développés et fidèles à ceux du jeu, mais les zombies ne nous offrent pas un seul sursaut, nemesis non plus d'ailleurs. Dommage, car du coup j'y ai pris moins de plaisir. Plus une réalisation épileptique. Vraiment moins bon.

j'ai franchement moyennement aimé. beaucoup moins intéressant que le premier volet.
nemesis est l'un des seuls centres d'intérêt du film.
en revenche, toujours bourré d'action et les effets spéciaux sont sympas.

la même chose que le premier une merveille avec l'exelente Milla Jovovich et en second role qui est mon préférer (lol) c'est Oded Fehr qui joue le role de Carlos Oliveira,j'adore.

toujours rien a voir avec le jeu ( c'est meme encore pire que le 1)mais ce qui ne demandent qu' a voir un film d'action bien rythmée seront servis.et Milla Jovovich et tres credible dans son role.

Le deuxième et beaucoup mieux que le premier plus sombre plus d'action

un deuxiéme volet gaché par des scénes d'actions exagérés au possible,ainsi qu'une interpretation douteuse de certains acteurs , dommage que Anderson n'est pas continué apres avoir realisé le premier,bref le plus mauvais volet de la trilogie mais ca se laisse regarder!

Cette fois je ne met qu'une demi étoile pour le titre du " Film ". Nous avions cru comprendre en regardant le premier Résident Evil que le film n'avais rien a voir avec sa version console, cependant au début nous avons une Jill Vanlentine avec un caractère digne d'un " Arnold Schwarzenegger " aucun sentiment sur son visage, femme forte, stupide ( limite analphabète ), en tous les cas elle ne ressemble en aucun cas avec son personnage version Playstation. Nous avons aussi un Carlos Oliviera avec des faux air de Tom Cruise dans mission impossible qui réussi tout ce qu'il fais et ce qu'il entreprend, c'est aussi un grand comique qui, malgré ses trois mots de vocabulaire, arrive à nous sortir des vannes digne d'une série Z. Nous avons ensuite un Nemesis qui a des sentiments pour ses ennemies, les héros de cette aventures on bien du mal a ce retenir de lui tendre un mouchoir et de l'écouter parlé de ses problèmes, sa version console étant beaucoup plus trash cela m'a quand même étonné. Pour finir nous arrivons avec la personnage principale qui elle réussi a faire des sauts de 50 mètres de haut avec sa harley Davidson sans rayer la peinture, elle arrive aussi ce battre avec le nemesis a coup de point ( a noté quand même que le nemesis est sencé être une arme meurtrière que l'on tue a coup de charge nucléaire dans Resident Evil sur console ). En bref en ayant regarder le premier opus on ce demande comment ils on réussi a faire pire mais apparement impossible is nothing.

Un navet de première catégorie.
Anderson nous prouve encore une fois qu'il est capable de foutre en l'air n'importe quoi.
Resident Evil (le jeu) possède un univers et une ambiance particluière, ce charisme qui est cruement souillé dans cette adaptation sans âme. Milla Jovovich patauge dans cette bouille insipide avec l'élégance d'un poisson anémique.
Elle réussie le pari insensé du cinéma mono expressif, et traverse ce RE Apocalyptique avec le même air béat quelque soit les circonstances.
Comment voulez vous prendre cette histoire au sérieux quand Wonderwoman péte le nez à toutes les armes biochimique (en parlant des zombies...) qu'elle croise.
Elle balance des dialogues fiévreux avec une telle conviction, qu'on attend presque les rires en boite résonner à chaque fin de phrase...
Apocalypse, c' est une horreur, des soldats qui se jètent d'un hélico, des motos qui saute par les vitraux des églises, des zombies rossés à la mode ninja des années 80, un super vilain aussi à l'aise dans son costume que ne l'était Casimir à ses heures noire, des clins d'oeil vitreux à des jeux videos sans rapport apparent.
Le meilleur souvenir que je garde du film est l'explosion à la fin, elle symbolise ce qu'Anderson à fait subir à cette franchise, saccagée par la pompe à fric d'Hollywood..
Car le Resident Evil original possède ce potentiel, histoire lugubre, personnages emblématiques, terreur omniprésente, tout ce coté de la franchise des jeux est oublié, ou plutot occulté.
Jill Valentine, c'est probablement la seule bonne surprise de cette horreur cinématographique. Une trés bonne performance, qui m'a permi de tenir jusqu'a la fin.
Je ne remercierais jamais assez Sienna Guillory pour cela.

Residence evil : Apocalypse n’est pas une très grande réussite. Par rapport aux autres films, je trouve que c’est le moins réussi. La mise en scène de Alexander Witt n’a rien d’exceptionnelle, les acteurs comme Milla Jovovich, Sienna Guillory ou encore Oded Fehr sont convaincants dans leurs rôles mais le scénario est à revoir et le film est très rapidement ennuyeux. En clair, ce n’est pas suffisamment divertissant. 04 / 20.

Mouahahahahahahahah ! La bonne blague ! C'est une parodie de film de zombies, pas vrai ? Ah ? Non ? Vous êtes sûrs ? Pourtant on aurait cru vu le script à mourrir de rire, les personages à côté de la plaque et leurs dialogues débiles ("Mais je ne me suis jamais servi d'une arme !" "C'est facile : vise la tête", les "combats" dignes des ninjas de Godfrey Ho, et ce Nemesis ! Cette grosse baudruche informe et pataude est censée être l'arme absolue qui a fait trembler tant de joueurs sur RE3 ? En tout cas c'est très nul et à fuir comme la peste.

Ce n'est pas le pire de la saga mais c'est très loin d'etre le meilleur (et un bon film aussi) !!

Médiocre.

Moyen mais on passe un bon moment... A voir juste pour les fans !!

Assez gore, pas du tout crédible, avec des zombies qui tombent comme des mouches (et ont leur intelligence du reste).
Le jeu vidéo est beaucoup plus captivant.

Tout simplement lamentable, il n'y a rien à sauver dans ce désastre : absence de scénario, acteurs particulièrement mauvais, filmé sombre pour cacher la misère, personnages caricaturaux, effets spéciaux ratés (le némésis ressemble à un bon gros mannequin en mousse), on s'ennuie du début à la fin