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Votre avis sur Les Branchés à Saint-Tropez ?
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moi je me régale de voir ces belles filles, il faut être honnête,car sinon personne ne regarderait ce genre de film,sans aucun scénario ni idée originale et de plus celà me rappelle ma jeunesse.
toujours sur le thème des vacances, max pecas n'innove pas mais reste sympathique dans sa mise en scène !!!
Yannickcinéphile
Bon, il est de bon ton de faire du bashing Pécas, ce qui parfois peut se justifier car il a fait des choses franchement pas terrible. Reste que Les Branchés à Saint-Tropez ça reste une comédie qui se laisse voir. Pas plus certes, mais c’est déjà ça.
Finalement, Pécas applique son éternelle recette comique : des filles sexy et dénudés, des gags bien balourds, et un cadre qui incite au farniente. Evidemment, cela donne un film minimaliste, mais c’est suffisamment bien mené par Pécas pour ne pas ennuyer.
L’intrigue ne vaut pas grand-chose. La première partie c’est les aventures souvent sexuelles de jeunes gens qui sont les héros, et la deuxième c’est une sombre histoire de contrefacteurs de billets. En réalité elle se résume cette partie presque uniquement à une course-poursuite entre les protagonistes et la police. Peu de consistance (pour ne pas dire aucune !), mais un sens du rythme honorable, et parfois l’humour fonctionne. Ce n’est malheureusement pas régulier, et la formule devient vite répétitive (Pécas sort difficilement du comique sexy !). Mais bon, parfois on rigole des gags ratés aussi, comme dans un bon nanar qui se respecte !
Côté acteur Pécas s’est entouré d’une bande de joyeux lurons, parmi lesquels quelques récurrents du réalisateur comme Ticky Holgado. Xavier Deluc est plutôt pas terrible niveau jeu ici, mais bon, il a le physique « beau gosse » ! Yves Thuillier à ses côtés est quand même au-dessus niveau interprétation. Sans faire des étincelles, les acteurs sont à l’évidence complices, et ils parviennent à instaurer un côté léger et bonhomme qui pourra plaire. Les actrices sont belles, et elles assument leur rôle avec une certaine application, mais un talent qui ne saute pas davantage aux yeux que celui de leur confrère masculin. En tout cas, on ne pourra pas dire qu’elles ne sont pas photogéniques !
Sur la forme, Pécas nous signe une comédie de vacances, avec ce que cela implique : décors de bord de mer, ici plutôt bien utilisés, surtout la deuxième partie du métrage qui nous tire un peu de la plage ; photographie lumineuse et fraiche, et de l’érotisme léger. Pour tout dire les filles passent quasiment l’intégralité du film seins nus ! Ça ne va pas plus loin (quelques postérieurs aussi, parfois masculins !). La mise en scène de Pécas présente tout de même des lourdeurs (zooms un peu aléatoires par exemple, brutaux et d’un effet discutable). Après, le métrage est suffisamment coloré pour remplir le contrat attendu. La bande son n’est pas exceptionnelle mais tient la route pour le genre. Même si les comédies françaises des années 80 proposaient rarement des bandes sons d’exception, en revanche on pouvait au moins leur accorder le mérite de l’originalité.
Honnêtement, Pécas ne livre pas un film mémorable, mais c’est alerte, et il y a quelques gags qui marchent. Si ce n’est pas une réussite, ça reste un spectacle assez fun et propret pour ne pas tomber dans l’indigence. 2
Finalement, Pécas applique son éternelle recette comique : des filles sexy et dénudés, des gags bien balourds, et un cadre qui incite au farniente. Evidemment, cela donne un film minimaliste, mais c’est suffisamment bien mené par Pécas pour ne pas ennuyer.
L’intrigue ne vaut pas grand-chose. La première partie c’est les aventures souvent sexuelles de jeunes gens qui sont les héros, et la deuxième c’est une sombre histoire de contrefacteurs de billets. En réalité elle se résume cette partie presque uniquement à une course-poursuite entre les protagonistes et la police. Peu de consistance (pour ne pas dire aucune !), mais un sens du rythme honorable, et parfois l’humour fonctionne. Ce n’est malheureusement pas régulier, et la formule devient vite répétitive (Pécas sort difficilement du comique sexy !). Mais bon, parfois on rigole des gags ratés aussi, comme dans un bon nanar qui se respecte !
Côté acteur Pécas s’est entouré d’une bande de joyeux lurons, parmi lesquels quelques récurrents du réalisateur comme Ticky Holgado. Xavier Deluc est plutôt pas terrible niveau jeu ici, mais bon, il a le physique « beau gosse » ! Yves Thuillier à ses côtés est quand même au-dessus niveau interprétation. Sans faire des étincelles, les acteurs sont à l’évidence complices, et ils parviennent à instaurer un côté léger et bonhomme qui pourra plaire. Les actrices sont belles, et elles assument leur rôle avec une certaine application, mais un talent qui ne saute pas davantage aux yeux que celui de leur confrère masculin. En tout cas, on ne pourra pas dire qu’elles ne sont pas photogéniques !
Sur la forme, Pécas nous signe une comédie de vacances, avec ce que cela implique : décors de bord de mer, ici plutôt bien utilisés, surtout la deuxième partie du métrage qui nous tire un peu de la plage ; photographie lumineuse et fraiche, et de l’érotisme léger. Pour tout dire les filles passent quasiment l’intégralité du film seins nus ! Ça ne va pas plus loin (quelques postérieurs aussi, parfois masculins !). La mise en scène de Pécas présente tout de même des lourdeurs (zooms un peu aléatoires par exemple, brutaux et d’un effet discutable). Après, le métrage est suffisamment coloré pour remplir le contrat attendu. La bande son n’est pas exceptionnelle mais tient la route pour le genre. Même si les comédies françaises des années 80 proposaient rarement des bandes sons d’exception, en revanche on pouvait au moins leur accorder le mérite de l’originalité.
Honnêtement, Pécas ne livre pas un film mémorable, mais c’est alerte, et il y a quelques gags qui marchent. Si ce n’est pas une réussite, ça reste un spectacle assez fun et propret pour ne pas tomber dans l’indigence. 2
Max Pécas toujours partant pour filmer des filles complètement nues. Mais on a vu pire !
C'est dommage ; mais comme c'est lourd. C'est tellement mal joué et mal réalisé. C'est un des pires films français. Les productueurs français, ils en ont tourné des navets à St-tropez.
Max Pécas toujours partant pour filmer des belles meufs et des seins nues, mis à part sa pas grand chose à se mettre sous la dent. A noter que sa n'est pas le pire de ses films.
Une comèdie estivale de plus pour l'ami Max Pècas où la ville de "Saint-Tropez" (avec les environs de Ramatuelle, Gassin et Frèjus) est une nouvelle fois à l'honneur sur nos ècrans! Une chose est certaine le soleil est au rendez-vous et les filles toujours aussi dènudèes! De l'humour facile, de l'èrotisme lèger et une intrigue vaguement policière sont les maîtres-mots de ces "Branchès de Saint-Tropez" avec des dialogues faussement drôles comme celui d'un lit au sommier qui laisse perplexe : « si tu veux faire l'amour dedans t'as intèrêt à jouir vite ! » Entre un dèfilè de poitrines sur la plage de St-Trop', les jolies fesses d'Olivia Dutron et la prèsence de l'ex-coco girl Alexandra Lorska, l'aficionado en aura pour son argent! Du pur Pècas avec du "Sea, Sex and Sun" comme le chantait si bien Gainsbourg! Et la chanson « St-Tropez St-Tropez » par Tiffany & Phil pour une immersion totale dans le Midi de la France...
Max Pécas toujours partant pour filmer des filles complètement nues. Mais on a vu pire !
J'adore Max Pécas,ce film en est un bon exemple. On se prend pas la tête,ça détend et de plus Ticky Holgado est vraiment marrant dans ce film.
Film culte ! Le seul film pas trop mauvais de Max Pecas . Ça fait du bien , c'est léger ça sent les vacances ...; bref ça se regarde sans se prendre la tête
Artriste
Comédie érotique, écrite et réalisée par Max Pécas, Les Branchés À Saint-Tropez est un long-métrage attrayant. L'histoire nous fait suivre deux jeunes couples d'amis en partance pour passer des vacances à Saint-Tropez. Sur la route, ils s'arrêtent à une station-service où une des deux filles reconnaît un camarade d'enfance. Celui-ci leur donne alors les clés de la villa de son père. Ce scénario s'avère plaisant à suivre pendant toute sa durée d'un peu moins d'une heure et demie. On assiste pendant tout ce temps à une série de mésaventures bouleversant les vacances du groupe. Ces péripéties savoureuses donnent lieu à des scènes amusantes, décrochant pas mal de sourires. Il souffle un véritable vent de liberté à travers ce récit particulièrement sexualisé et où la nudité est omniprésente. L'ambiance estivale est elle légère et appréciable. Tout cela est porté par un quatuor sympathique, interprété par une distribution convaincante comportant Xavier Lepetit, Yves Thuillier, Olivia Dutron et Aleksandra Sikorska. Ils sont entourés par d'autres rôles agréables, incarnés par Michel Vocoret, Tiki Holgado, Philippe Klébert ou encore Gérard Croce. Tous ces comédiens surjouent volontairement, mais cet aspect presque théâtrale fonctionne bien. De plus, les relations conflictuelles entretenues par tous ces individus sont marrantes, notamment à la faveur de dialogues de bonne facture. Sur la forme, la réalisation de Max Pécas est convenable. De surcroît, sa mise en scène évolue dans des environnements attirants. Ce visuel affriolant est accompagné par une b.o. aux airs joyeux, en parfait accord avec le sujet. Ce séjour dans le sud s'achève sur une fin correcte. En conclusion, Les Branchés À Saint-Tropez est un film convivial, faisant passer un agréable moment, méritant donc d'être découvert.
pierrre s.
J'ai souvent entendu parler du cinéma de Max Pécas sans jamais m'y pencher. C'est chose faite avec ses, Branchés à St Tropez. Ça ne vole pas bien haut et ça dépasse rarement le niveau de la ceinture. Néanmoins il s'en dégage une certaine sympathie.
Deux jeunes couples emménagent dans un villa de Saint-Tropez pour les vacances. Il n'en faut pas davantage à Max Pecas pour faire un sujet.
Parmi les nanars du réalisateur, "Les branchés à Saint-Tropez" est sans doute le plus intéressant (pour les amateurs du genre s'entend) au sens où il est le plus caractéristique, le plus exhaustif de la nullité et de la fumisterie de Pecas. Car, après le rituel défilé de filles nues et de bélâtres bronzés sur la plage, Pecas s'essaie, dans la seconde partie du film, à la comédie policière, avec l'apparition spoiler: de trois faux-monnayeurs, idiots, bientôt pourchassés par des policiers, stupides, dans une course-poursuite automobile.
Le marivaudage se mue en film d'action! Les connaisseurs apprécieront...
C'est évidemment grotesque et bâclé. Au-delà d'un scénario insipide, les personnnages et les dialogues sont un vrai bonheur pour tout amateur de nanars. Les deux copains à peine arrivés au bord de la mer trompent leurs copines avec une nuée de jolies filles agrippées à eux (fantasme de mec?), et c'est le motif de chamailleries d'une puérilité confondante. Le pas encore Xavier Deluc et son comparse jouent les coqs et débitent des formules pseudo spirituelles dans le genre boulevardier qu'on assimilera par instants à du sous-Feydeau. C'est dire la trivialité et la bêtise de la chose.
Parmi les nanars du réalisateur, "Les branchés à Saint-Tropez" est sans doute le plus intéressant (pour les amateurs du genre s'entend) au sens où il est le plus caractéristique, le plus exhaustif de la nullité et de la fumisterie de Pecas. Car, après le rituel défilé de filles nues et de bélâtres bronzés sur la plage, Pecas s'essaie, dans la seconde partie du film, à la comédie policière, avec l'apparition spoiler: de trois faux-monnayeurs, idiots, bientôt pourchassés par des policiers, stupides, dans une course-poursuite automobile.
Le marivaudage se mue en film d'action! Les connaisseurs apprécieront...
C'est évidemment grotesque et bâclé. Au-delà d'un scénario insipide, les personnnages et les dialogues sont un vrai bonheur pour tout amateur de nanars. Les deux copains à peine arrivés au bord de la mer trompent leurs copines avec une nuée de jolies filles agrippées à eux (fantasme de mec?), et c'est le motif de chamailleries d'une puérilité confondante. Le pas encore Xavier Deluc et son comparse jouent les coqs et débitent des formules pseudo spirituelles dans le genre boulevardier qu'on assimilera par instants à du sous-Feydeau. C'est dire la trivialité et la bêtise de la chose.
Max Pecas n est pas un réalisateur mais un dose de sexe une autre dose de vulgarité,du soleil.......Mais je pense que la france peut s ennorgueillir d avoir trouvé don Ed Wood.
J ai parfois honte de rire de la betise et de la vulgarité des dialogues,des situations et de blagounettes.
Max pécas nous propose une fois de plus un bien triste spectacle.
J ai parfois honte de rire de la betise et de la vulgarité des dialogues,des situations et de blagounettes.
Max pécas nous propose une fois de plus un bien triste spectacle.
selenie
Du Max Pecas , rien de plus que ses autres films, des filles nues pour pas grand chose et des dragueurs bourrins pour un re-remake de ses propres navets... C'est bête et sans talents comme d'habitudes même si on se surprend à rire 1 ou 2 fois et à se souvenir peut-être de nos vacances vers 16-20 ans... Mieux vaut revoir les Russ Meyer !
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