Derniers Avis : Alexandre - Page 16

Oliver STONE s'est essayé au bio-pic et en même temps au péplum. Il y a trop de scène qui n'arrive pas à convaincre, le film est trop long. C'est pas une réussite.

je l'ai vu il y a quelque années, et j'avais été franchement déçu.

Voilà un film qui a malheureusement été mal compris par un grand nombre de spectateurs qui lui reprochent de ne pas être le film qu'ils voudraient qu'il soit, à savoir un film de guerre bébête (vous n'en avez pas assez ?) ou encore une reconstitution exhaustive du périple d'Alexandre. Non, il me semble que le simple nom du film nosu informe sur sa visée : ce n'est pas "Les guerres d'Alexandre", "Le périple d'Alexandre" ou encore "L'oeuvre d'Alexandre" mais "Alexandre", c'est le personnage qui intéresse le réalisateur ici, pas une vision externe des évènements.
Je précise avant toutes choses que ma critique se base sur la version revisitée du film.
Et sachant cela, on ne peut que s'incliner devant le travail d'un homme manifestement passionné - ou devrais-je plutôt dire fasciné - par son personnage. Toutes les scènes, tous les gestes, tous les décors, toutes les expressions, toute la mise en scène est dirigée vers la peinture psychologique d'Alexandre, figure ambiguë flottant entre le divin et le mortel.
Il serait fou de vouloir étudier de manière exhaustive ce film qui révèle tant d'aspects que 5000 caractères ne me suffiraient point, alors je vais m'attarder sur les éléments qui m'ont le plus marqué.

Tout d'abord il y a ce conflit permanent entre idéalisme et réalité. Alexandre ce rêveur devenu aveugle à tout autre chose que ses rêves et que ses idéaux, se voit littéralement bouleversé lorsqu'il est confronté aux dures réalités politiques et des bassesses du coeur humain. Sa mère d'ailleurs s'attache à toujours les lui rappeler, de fait Alexandre la fuit jusqu'au bout du monde (mais qui, paradoxalement, recherche sa mère dans Roxane), tout comme il fuit la réalité des conspirations en se réfugiant dans son idéal transcendant. L'image classique du grand Homme ici représentée avec finesse et passion, avec un souci du détail incroyable.
Ensuite vient le soupçon qui plane sur le film tout le long, en grandissant jusqu'à finalement se manifester par la mort d'Alexandre. Les regards, les discussions ambiguës que le spectateur voit se dérouler sans les entendre, les tensions muettes... Le soupçon pèse, le voile qu'a dressé Alexandre devant son regard la cache mais finit par céder à cette réalité par relents (Cleitos et consorts). Le spectateur sent que la situation lui échappe, voudrait prévenir Alexandre, s'indigne ! Mais ce qui est remarquable c'est également l'ambiguïté discrète et subtile que nous propose le réalisateur, nous aussi on finit par un peu douter d'Alexandre, le film n'est pas manichéen mais ne donne aucune réponse, il ne condamne pas Cleitos mais ne l'approuve pas, le regard est neutre quand il le faut, même s'il est parfois dur pour un passionné de lutter contre sa partialité, et pour cela je lui tire mon chapeau.
Ensuite le film arrive à nous faire entre dans la peau du personnage progressivement et subtilement. On ne voit pratiquement que par lui, qu'à travers lui, si l'on excepte le récit par l'un de ses généraux qui est manifestement le porte -parole du réalisateur dans le film. On partage son bouleversement, inconsciemment l'on croit à son rêve, l'on devient presque aveugle. L'on comprend la difficulté de ses choix parce que l'on ne sait rien : Alexandre est un audacieux, un être intrépide, il avance dans l'inconnu avec sa foi, avec son coeur.
Enfin vient l’ambiguïté sur la nature de notre empereur : doit-on le voir comme un héros, comme cet être exceptionnel, de la même manière que l'on aime voir les plus grands héros ? Ou doit-on le voir comme l'homme qui commet des erreurs, qui peut céder au vice, qui n'est qu'un homme tout simplement ? Oliver Stone aborde ici une question importante et classique sur le traitement que l'on doit faire des grands Hommes (aimerait-on voir César dans ses moments de vices ? Mais peut-on vraiment croire qu'ils n'ont en pas eu ? Non plus. La mémoire des grands hommes n'est-elle finalement pas celle que nous voudrions voir ?), et montre un Alexandre se débattant entre ses deux casquettes.

Voilà donc mon avis sur ce film qui ne mérite absolument pas que l'on dise de lui qu'il est une production bâclée. Qu'on aime le film ou pas, l'on ne peut nier le travail acharné de l’homme fasciné qui ne veut pas que sa pensée se perde pour des contraintes techniques dues au passage entre les songes et la production cinématographique. D'ailleurs le simple fait d'avoir sorti une version remaniée aussi différente de la première et manifestement tournée vers la vision que j'ai exhibé au début de mon message témoigne de cette passion. Subtil dans son approche (malgré les quelques lourdeurs sur le sujet de l'homosexualité) et non manichéen, voilà un film dont l'Hollywood formaté que nous connaissons devrait s'inspirer.

Ca y est dans ma quête du film masochiste j'ai enfin trouver la perle, Alexandre chef d'oeuvre de souffrance, un film qui pousse a l'automutilation, c'est long, ça pique. autant bounty c'est un vrai gout de paradis autant alexandre nous fait gouter à l'enfer. Si Dante nous était comtemporain il est certain qu'un de ces cercle aurait pour sévice le visionnage de ce film en continue. Colin Farrel blondiné, Angelina Jolie sous crack oliver stone qui réalise mou, jared leto jamais aussi peu inspiré tous ont travaillé de concert pour ce moment de platitude et de douce souffrance. Bravo

Un biopic historique sur Alexandre Le Grand signé Oliver Stone, il y a de quoi être sceptique, mais pourquoi pas ? Et il se trouve que malgré un casting qui laisse un peu perplexe, le film et loin d'être dégueulasse. Une sorte de péplum moderne qui sait s'éloigner des autres films américains des années 2000, et se montre assez sincère et réussi. Le scenario est parfait, il n'y a rien a redire la dessus, la mise en scène est bonne, même tres bonne mais pas assez inventive par moments (Il faut dire que Stone nous a habitué a si original sur ce plan, qu'il est impossible de ne pas être difficile par la suite !). Dans l'ensemble "Alexandre" est vraiment un bon film, très intéressant et qui ne présente que des petits défauts.

Enfin un film d'action qui n'ai pas trop lourds de scènes de combats, ce fim est agrèable à regarder et cela même pour une fille ! J'ai aimé l'histoire d'Alexandre le Grand qui est un personnage héroique et infinimment connu ! J'ai également aimé la prestation d'Angélina Jolie qui joue très bien son rôle !

j'attendais ce film avec une grande impatience et je dois dire que j'ai été très très très déçu quand j'ai réussi à le voir. ce film est vraiment du grand n'importe quoi et il est dix fois trop long!!! pourtant le casting été alléchant.....

Un film tout bonnement épique que cela soit au niveau des batailles époustouflantes, des décors, des costumes ou des acteurs. Je ne sais pas s'il vaut 5 étoiles mais il ne mérite sûrement pas les critiques si virulentes que j'ai pu lire. Un vrai péplum comme on a rarement l'occasion d'en voir !

Un des meilleurs péplums à ce jour. Colin Farrell s'est révélé être un très bon acteur dans ce grand film.

J'adore ce film ! Je m'intéresse à l'époque de l'antiquité, et je pense que la reconstitution historique est plutôt bonne. Ce péplum n'est pas uniquement centré sur les batailles et la guerre (qui sont d'ailleurs grandioses) mais aussi sur le caractère et la personne d'Alexandre, ce qui une très bonne chose. D'ailleurs Colin Farrel est bien dans ce rôle. C'est sûr que la version française donne un petit coup de mou à ce film long (Alexandre a accompli beaucoup) , mais la version originale est mieux. Cependant je peux comprendre que ce film ne plaise pas à tout le monde, car il a quand même des petits défauts : Notamment Olympias très bien interprétée par Angelina Jolie, n'est pas vraiment compatible avec l'âge des autres personnages. De plus elle ne prend aucune ride et vieillit très peu tout au long du film. Il manque aussi certains passages sur la vie d'Alexandre, comme par exemple l'Egypte.
Je trouve aussi que certains personnages secondaires sont trop peu présent comme Cassandre, Ptolémée et même Cleitos. Je souligne aussi la performance de Jared Leto (Héphaistion) et je trouve que la relation Alexandre/Héphaistion donne un peu de tendresse à ce film tragique. Bref, il faut le voir plusieurs fois pour voir certains détails et un sens différent.

C'est vraiment pas bon. Décevant de la part d'Oliver Stone.
Le film manque totalement de rythme, c'est une suite de discours pompeux et ennuyeux et d'états d'âme vaseux. Je mets 1,5 car il y a quelques bonnes scènes de batailles et le début du film n'est pas mauvais, mais le reste... c'est tout juste digne d'un documentaire, mais un de ceux qui sont longs et ennuyeux.

Ceci n'est pas un film, mais plutôt un documentaire sur Alexandre le grand

Ce film à beaucoup fais parler les critiques, mais il en demeure pas moin vrai que c'est tout de même un bon film historique, malgrer quelques longueurs certe, mais c'étais un projet trés ambitieux et compliquer à réaliser.
En tout cas il fallai osé et Stone la fais et j'en suis content.
Je ne connai pas trés bien la vie d'Alexandre le grand, mais le film ma semblé être un bon résumer, il traite d'avantage de la psychologie du personnage que de ces grandes batailles.
Un rôle difficile à interpreter pour Colin Farrel, peut être qu'un Brad Pitt ou un Dicaprio auraient été meilleures, mais je trouve qu'i sen sort bien.

Fresque historique grandiose mais qui malheureusement se perd un peu en cours de route et manque cruellement de rythme. Un assez bon film cependant.

Il fallait remarquer que c'était un biopic, à partir de ce moment cela change beaucoup de chose, mais j'ai trouver le film tout de même beaucoup trop long (2h50) et trop mou par moment. C'est son seul bémol mais qu'il est gros. Collin farrel joue a merveille et on peut remarquer la présence de Jared Letot qui fait bonne figure dans ce film. Bref malgré la longueur interminable, je dois avouer que le film est vraiment bon, mais alors vraiment trop long et trop mou.