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landofshit0
274 abonnés
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1,5
Publiée le 22 janvier 2015
Patatras est non seulement le bruit que fait Alexandre en tombant de cheval mais c'est aussi celui du film d’Oliver Stone. Qui enfonce son personnage dans le ridicule le plus profond,car on se fout royalement du destin des protagonistes que suit la caméra de Stone. Quand Oliver fait un mauvais film il ne le fait pas à moitié,il y va pleinement. En donnant des dialogues ridicules,des scènes dont l'intensité se trouve à 20 km de ce qu'il film,pour un film catastrophe et non un péplum.
Bien que trop longue, l'épopée historique d'Oliver Stone nous offre quelques très belles scènes et la reconstitution est à la hauteur de l'événement. Un bon film.
Ah ben ca ouai! Alexandre, si il est aussi grand que la nullité de ce film, il est très très grand. Plusieurs films ont surfé sur la vague "gladiateur" depuis quelques temps, mais aucun avec aussi peu de conviction (sauf peut-etre les docu de france3). Superposant les clichés déjà super-usités de ces super-productions, le film en est super-convenu et donc super-chiant! Dès la scène du cheval au début, on comprend que le scénariste était en manque d'inspiration. Et pas que lui d'ailleur. Colin Farrel est pitoyable et son port de tête royal semble plus issu de la peur de faire tomber sa perruque qu'autre chose. On dirait un mélange de Chuck Norris et de Asterix (voir Jamel Debouze et sa barre de fer). Excéptés Joli et Kilmer qui tirent leur épingle du jeu, les acteurs sont à coté de la plaque (même Hopkins, malheureusement, mais bon, pour ce qu'on le voit...) et sur-joue à tel point qu'on se demande si c'est pas fait exprès pour donner un coté tragédie grécque au film. Peut être la faute au dialogues, pompeux à souhait, stylisés à la limite du supportable et maladroits par moment, surtout lorsque Alexandre dit à sa copine mourrante (vous savez, celle qui a un pénis)qu'elle va vivre et qu'ils feront des enfants...à leurs femmes. Un pur moment de poilade générale dans la salle...c bien tout ce qui nous aura donné le sourire!
Depuis le temps qu'Oliver Stone rêvait de faire son film sur Alexandre le Grand, on ne peut être que surpris par le vide qui le caractérise. Pourtant, Stone nous avait montrer avec "JFK", "Nixon" et "Platoon", que la guerre et le pouvoir étaient deux thèmes qui le faisait exceller: on était en droit d'attendre de cet "Alexandre" une oeuvre virulente qui colle à notre actualité. Au lieu de ça, nous avons droit à un film sans imagination, où les personnages sont creux, où les dialogues sont primaires, et où les situations frisent parfois le ridicule. Mais le pire de tout reste la réalisation, sans imagination, Stone emprunte à tout le monde, notamment à Ridley Scott et à Zhang Yimou, mais sans le même talent. On en voudra donc pas à Collin Farell, Anthony Hopkins, Jared Leto, et autre Angelina Jolie d'être en dessous de tout pour ce film, il ne pouvait en être autrement avec un Oliver Stone plus qu'égaré. On se surprend à vite bailler et à espérer avec impatience la fin de ce long (trop long, beaucoup trop long!) périple d'Alexandre, et c'est d'un ouf de soulagement que l'on apparaître le générique de fin. Un film à oublier ou, mieux encore, à éviter.
c'est le pire des péplums que j'ai pus voir je pense, pourtant le casting est convaincant, mais là encore on se fait à mort chier c'est pas captivant !vraiment je conseil bien plus "troie"!
Un peplum, rien d'autre. Supérieur aux peplums italiens des années 60 ? Peut-être, grâce aux moyens, et encore. Très inférieur à Ben Hur ou à Gladiator, pour prendre deux films d'âge très différent. Souvent à la limite du ridicule. Le souffle est toujours très court, le grandiose n'est que de l'enflure. L'histoire est respectée ? Tu parles. Le grand projet d'Alexandre, la fusion Occident-Orient, est un peu évoqué mais à peine. Surtout, un certain nombre d'éléments sont mis là pour s'aligner sur quelques références supposées être celles du "grand public" (américain ?). Roxane est une noire !!! Roxane était une princesse d'Asie centrale, région pleine de nègres, c'est bien connu. Aujourd'hui,on les appelle talibans, n'est-ce pas ? L'un des passages les plus absurdes est celui de la "descente" en Inde. Alexandre n'a pas dépassé la région de l'Indus, nord du Pakistan actuel, région semi-désertique. Dans le film, l'armée macédonienne se retrouve dans la jungle !! Elle combat des "petits hommes poilus", les singes. Ouaf ! ouaf ! L'Inde, c'est plein de singes et de basanés. Il y doit bien y avoir quelques terroristes en plus, Mr Smith, non ? Alexandre (ou Ptolémée) évoque aussi les "tribus" et les "roitelets" (que des sauvages, on vous dit) qui auraient peuplé l'Inde... Pour l'exactitude absolue, ajoutons que la révolte des soldats se place après la victoire sur le roi indien Poros, non avant,et qu'elle n'est nullement "brisée" par Alexandre mais que celui-ci, bien obligé de s'incliner, prend alors le chemin du retour. Ridicule.
Alexandre est pour moi l'exemple parfait du film à budget colossal mais qui se plante. Il ne suffit pas d'injecter des millions et tout faire en superlatifs pour que ce soit réussi; on est en plein dans le travers US classique : plus c'est gros, mieux c'est. Mais non. Alexandre est un film "trop" : trop glorieux / glorifiant (le film raconte en fait une légende dorée plutôt que l'Histoire et les dialogues sont bien trop grandiloquents), trop long (beaucoup beaucoup trop) avec des longueurs interminables, trop surjoué (Colin Farell), et trop axé sur les atermoiements amoureux et sexuels d'Alexandre. On en vient parfois à se demander quel est le sujet du film: la vie et les conquêtes d'Alexandre ou une étude de sa sexualité.
Quel gâchis et pour comble,plus le film avance ,plus il est laid exactement comme le héros.Beau comme un jeune Dieu adolescent et de plus en plus bouffi jusqu'à sa mort à 33 ans. Seule l'histoire et sa partie qui respecte les connaissances actuelles font que ce film est regardable. Les interprétations sur Philippe de Macédoine, sur Olympias et ses serpents, sur Hephaestion et son homosexualité tiennent de la légende ou de points de vues personnels.Ils ne donnent lieu qu'à des séquences décadentes pleins d'ennuis. Il eut été facile et mieux venu de rendre Alexandre mythique comme la fait Petersen avec Achille dans « Troie ». Voila où mène aujourd'hui le cinéma dit 'réaliste'. La mise en scène est inexistante et quand on ajoute les images de synthèse complètement dépourvues de charme et d'une grande laideur ,on se rapproche de la nullité de 300.Pourtant un personnage aurait mérité quelques minutes d'attention,c'est Aristote dont on sait bien des choses et son rôle important. C'est à peine si on le voit et on si on l'écoute. C'est vraiment un film à ne pas recommander ,mieux vaut lire la biographie d'Alexandre le Grand et d'admirer sa statue à Istanbul ,l'ancienne Babylone.
un film qui ce dit être un péplum mais qu'à seulement 2 scene de bataille qui dure 1min chacune sur un film de presque 3 heure c'est quand même hyper décevant à la limite du manque de respect envers les spectateurs . sinon apart le casting 4 étoile le film est mauvais beaucoup de chose du film on s'en fiche pas mal et même c'est lent et tous dommage pour le grand Oliver stone qui réaliser et pour les acteurs et aussi Alexandre le Grand qui paraissait intéressant mais peut être que finalement Alexandre le Grand était pas intéressant et ne mériter pas forcément un film !
Et voici donc l'histoire d'Alexandre le Grand, le conquérant du monde antique. Malheureusement, le film n'est pas à l'image de la légende. Oliver Stone reprend tout le folklore et les clichés du genre sans les dépasser. De même, le film a un ryhtme désordonné : des scènes d'actions ultra-violentes et tape à l'oeil suivent des scènes d'une platitude et d'une inutilité grotesque, sensées poser les pensées du grand homme et l'ambiance de son entourage.
Le réalisateur n'arrive pas à nous immiscer dans son monde et à nous faire partager son incroyable destin. Les grands acteurs hollywoodiens surjouent à outrance en particulier Collin Farrel, Angelina Jolie, et Val Kilmer. La musique est pompeuse à l'excès. Je dois aussi noter des ralentis excécrables et l'échec à situer dans l'espace, lors des grandes batailles, les différents armées, ainsi qu'à un certain moment, l'utilisation d'un filtre rouge vif particulièrement de mauvais goût. J'oublie presque de dire que le film est interminable et souffre de longueurs symptomatique du fiasco total de l'adaptation d'une telle fresque historique et épique. On est content que ça se termine ! Seul point positif : la somptueuse reconstitution des mondes antiques : Grèce, Egypte, Perse et Inde. Un bon conseil : aller revoir Troie.
Film à recommander à tous ceux qui n’ont pas encore été lobotomisés par le calibrage hollywoodien. Le choix d’Oliver Stone de se faire financer par des américains en choisissant une écrasante majorité d’acteurs et de techniciens européens n’est pas fortuit et est très courageux. Le film est à l’opposé des "super"productions américaines en ce sens qu’il choisi la rigueur historique plutôt que le politiquement correct spectaculaire. Il choisi aussi la sobriété des prestations d’acteurs (Farrell, Leto) au glamour (Brad Pitt, Léo DiCaprio) qu’envisageaient Scorsese et Luhrmann, en lice aussi pour la réalisation d’Alexandre. On peut d’ailleurs reprocher à Stone le choix de ces jeunes acteurs qui ne parviennent pas à rendre la grandeur épique de leurs personnages. Néanmoins, les prestations des « vieux » (Kilmer, Plummer et Hopkins) par leur brio rétablissent l’équilibre. On peut aussi reprocher à Stone l’aspect didactique de son film, incarné par le commentaire récurrent de Ptolémée. Mais sans la présence de ce "témoin éclairé", Stone ne pouvait exposer sa vision extrêmement fine, innovante et moderne du personnage d’Alexandre.