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Buzz063
75 abonnés
919 critiques
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2,0
Publiée le 20 novembre 2010
Sympathique petit film préhistorique produit par la Hammer. Le physique des femmes de l'époque est particulièrement appréciable tant elles portent bien leur bikini en peau de bête. Le film doit son succès de l'époque et son culte actuel à la superbe Raquel Welch et aux effets spéciaux du grand Harryhausen. Avec le temps, le côté carton pâte des décors est devenu criant mais il serait dommage de voir le film avec un regard condescendant des plus facile. Comme dans la grande majorité des productions cinématographiques de la Hammer, Un Million d'années avant J.C. est truffé d'allusions sexuelles plus ou moins subtiles dont l'apothéose est içi un combat entre deux femmes qui poussent des petits gémissements très allusifs.
Une étoile pour Raquel Welch, une étoile pour son bikini : le compte est bon ! Meilleur que le conte; mais tout compte fait, tous les charmes se valent !
Ici, nous ne sommes pas dans la Guerre du feu . Donc il ne s'agit pas d'un film aux allures de documentaire et réaliste, mais de pure fantaisie, destiné à divertir. Les hommes préhistoriques ici ne parlent pas vraiment, mais émettent seulement des grognements ou des mots rappelant les langues indiennes. Une fois encore, Ray Harryhausen nous fait une formidable démonstration de son talent. Étant donné son amour pour les dinosaures, il a dû s'en donner à coeur joie pour réaliser tous ces morceaux de bravoure : le combat de Tumak contre l'allosaure, la bataille entre le tricératops et le cératosaure, la lutte du ptérodactyle et du ptéranodon... sans compter le cataclysme final. Il y a aussi des thèmes intéressants comme l'échange de culture entre Tumak qui apprendra la paix et la coexistence au côté de Loana, cette dernière découvrant l'instinct de survie et l'art de tuer pour se défendre. L'éblouissante Raquel Welch, vêtue de peaux bêtes, s'affirme ici définitivement en tant que sex-symbol. Mais elle peut être fière : contrairement à d'innombrables bimbos engagées à l'écran pour leur plastique, elle a réussi à s'imposer comme une véritable actrice. Malgré son âge et même si l'on a prit l'habitude de voir de nos jours les dinosaures animés en images de synthèses, Un million d'années avant J.C conserve son charme et sa magie et reste un petit chef-d'oeuvre du film d'aventure qui nous plonge en pleine préhistoire avec ses décors, son atmosphère antédiluvienne et ses dinosaures. Les enfants seront enchantés à coup sûr.
Un film à l'honneur des belles plastiques de ses commédiennes et à leurs poitrines bodibuldées. Un spectacle presque ringard aujourd'hui mais tellement jouissif!
Je l'ai vu sur petit écran à l'âge de 7 ans et je suis resté scotché. Tout est sublime; les images, les paysages, les effets spéciaux exceptionnels... On ne se lasse jamais de revoir.
Pour parler de ma petite personne, c'est sans doute le premier film que j'ai vu de ma vie, en dehors des dessins animés. A l'époque, et Jurassic Park n'existait pas encore, j'appréciais la vue de ces dinosaures agressifs, si soigneusement confectionnés par le talentueux Ray Harryhaussen. En tant qu'enfant, j'aimais les monstres gigantesques mais les années ont passé et je suis devenu adulte. Il est ensuite difficile d'imaginer vouloir regarder ce long métrage sans l’intérêt d'apprécier la plastique des jolies filles présentes devant la caméra, surtout l'une d'entre elles, Raquel Welch. Je dois dire et je suis sûr de mes propos, que les principaux atouts d'"un million d'années avant Jésus-Christ" sont le charme, la sensualité et le corps de cette ravissante actrice.
Un spectacle assez naïf, qui se suit avec plaisir, même si la reconstitution, très fantaisiste, ne demande guère à être prise au sérieux. Ces aventures, à regarder au second degré, valent surtout pour la photogénie de Raquel Welch et pour les créatures du grand Ray Harryhausen.