Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Mélange envoûtant de douceur adolescente et de cauchemar schizophrène, May ne ressemble à rien de connu, redistribuant avec une belle assurance les cartes de l'horreur contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Olivier Lehmann
(...) ce conte fétichiste à la lisière du fantastique s'avère être une plongée belle et dérangeante dans les tourments de l'esprit humain. Une première oeuvre parfaitement maîtrisée et aboutie qui augure du meilleur pour la suite de la carrière de McKee.
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyver
(...) May est un petit bijou qui se laisse regarder avec un "plaisir" sans doute pervers. Mais là est justement sa force.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Refrain désormais acquis : sous chaque grand film fantastique se cache un drame humain. Celui de May nous bouleverse.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Une certitude : le moindre petit froissement de plans de May vaut mieux que tous les roulés-boulés scénaristiques de L'Effet papillon (...). Aux effets de manches vite épuisés de ce dernier, McKee oppose sans forcer la logique d'une très singulière redistribution des cartes du cinéma fantastique contemporain.
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Cette grâce qui accompagne May est sans doute due au physique tellement étrange de son actrice, et à la grande subtilité d'une mise en scène qui ne tombe jamais dans le grand Guignol.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Prenant le contre-pied des clichés, Lucky McKee a trouvé un équilibre parfait entre intimisme et horreur.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le découpage sanglant des victimes de May dévoile la manière dont le choix du gros plan au cinéma, la manière dont la caméra isole telle ou telle partie d'un corps relèvent en fait d'un parti pris un peu monstrueux, d'une volonté de recomposer l'unité de la réalité en la fondant dans une représentation qui n'en associerait que des fragments. Ce qui est une définition possible du cinéma lui-même. Rien que pour cela, le premier long métrage de Lucky McKee vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si la machine s'emballe vers la fin, on reste séduit par le dépouillement de cette oeuvre grinçante, telle que les Etats-Unis, qui ont très bon goût quand ils le veulent (...), nous en envoient de temps à autre.
Libération
par Gilles Renault
May ne saurait être un film d'horreur de plus. Plutôt, un peu plus qu'un film d'horreur : une plongée à la verticale dans le tréfonds de l'aliénation, soutenue par un style économe et tracassé, ne cédant qu'en dernier recours aux fastidieuses conventions du genre ; ainsi qu'une interprétation ad hoc, balayée par la quasi inconnue Angela Bettis, qui, partie comme elle est, devrait refaire parler d'elle.
Première
par Mathieu Carratier
Sa grande force (et celle de sa formidable actrice, Angela Bettis) est de nous faire aimer ce personnage et de rendre crédible son malaise au point de le rendre contagieux. On en ressort complètement secoué.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
par Eric Coubard
Il y a des moments forts dans ce film à la limite de la féerie (...), de l'humour noir, de l'érotisme safrané qui sont gâchés par un montage brut et sans relief.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un scénario à la Polanski qui propose une nouvelle interprétation du mythe de Frankenstein. Dommage que la mise en scène ne dépasse pas celle d'un correct film d'horreur.
Télérama
par Pierre Murat
Le pot-pourri est plutôt rigolo. Sauf que Lucky McKee, chanceux quand il écrit, l'est beaucoup moins quand il filme. Sa mise en scène affadit souvent ses intentions joliment morbides.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Ça devrait être amusant, ça reste ennuyeux. Le carnage aussi demande du rythme.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
Mélange envoûtant de douceur adolescente et de cauchemar schizophrène, May ne ressemble à rien de connu, redistribuant avec une belle assurance les cartes de l'horreur contemporaine.
Cinéastes
(...) ce conte fétichiste à la lisière du fantastique s'avère être une plongée belle et dérangeante dans les tourments de l'esprit humain. Une première oeuvre parfaitement maîtrisée et aboutie qui augure du meilleur pour la suite de la carrière de McKee.
L'Ecran Fantastique
(...) May est un petit bijou qui se laisse regarder avec un "plaisir" sans doute pervers. Mais là est justement sa force.
aVoir-aLire.com
Refrain désormais acquis : sous chaque grand film fantastique se cache un drame humain. Celui de May nous bouleverse.
Cahiers du Cinéma
Une certitude : le moindre petit froissement de plans de May vaut mieux que tous les roulés-boulés scénaristiques de L'Effet papillon (...). Aux effets de manches vite épuisés de ce dernier, McKee oppose sans forcer la logique d'une très singulière redistribution des cartes du cinéma fantastique contemporain.
Fluctuat.net
Cette grâce qui accompagne May est sans doute due au physique tellement étrange de son actrice, et à la grande subtilité d'une mise en scène qui ne tombe jamais dans le grand Guignol.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Prenant le contre-pied des clichés, Lucky McKee a trouvé un équilibre parfait entre intimisme et horreur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Le découpage sanglant des victimes de May dévoile la manière dont le choix du gros plan au cinéma, la manière dont la caméra isole telle ou telle partie d'un corps relèvent en fait d'un parti pris un peu monstrueux, d'une volonté de recomposer l'unité de la réalité en la fondant dans une représentation qui n'en associerait que des fragments. Ce qui est une définition possible du cinéma lui-même. Rien que pour cela, le premier long métrage de Lucky McKee vaut le détour.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si la machine s'emballe vers la fin, on reste séduit par le dépouillement de cette oeuvre grinçante, telle que les Etats-Unis, qui ont très bon goût quand ils le veulent (...), nous en envoient de temps à autre.
Libération
May ne saurait être un film d'horreur de plus. Plutôt, un peu plus qu'un film d'horreur : une plongée à la verticale dans le tréfonds de l'aliénation, soutenue par un style économe et tracassé, ne cédant qu'en dernier recours aux fastidieuses conventions du genre ; ainsi qu'une interprétation ad hoc, balayée par la quasi inconnue Angela Bettis, qui, partie comme elle est, devrait refaire parler d'elle.
Première
Sa grande force (et celle de sa formidable actrice, Angela Bettis) est de nous faire aimer ce personnage et de rendre crédible son malaise au point de le rendre contagieux. On en ressort complètement secoué.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Il y a des moments forts dans ce film à la limite de la féerie (...), de l'humour noir, de l'érotisme safrané qui sont gâchés par un montage brut et sans relief.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
Un scénario à la Polanski qui propose une nouvelle interprétation du mythe de Frankenstein. Dommage que la mise en scène ne dépasse pas celle d'un correct film d'horreur.
Télérama
Le pot-pourri est plutôt rigolo. Sauf que Lucky McKee, chanceux quand il écrit, l'est beaucoup moins quand il filme. Sa mise en scène affadit souvent ses intentions joliment morbides.
Aden
Ça devrait être amusant, ça reste ennuyeux. Le carnage aussi demande du rythme.