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    Pique-nique à Hanging Rock
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    84 critiques spectateurs

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    riverainpsy
    riverainpsy

    32 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2024
    Entre l'Eclipse d'Antonioni et l'esthétique de David Hamilton , une histoire irrésolue où la libération des corps , pulsion de vie , et aussitôt contrebalancée par une attirance morbide, chtonienne , voire lovecraftienne , pour le retour aux profondeurs. Sur le tout plane l'ombre des Aborigènes , presque invisibles dans le film , mais pourtant toujours présents . La musique, la photographie créent une ambiance à la fois magique, poétique et angoissante , avec en toile de fond une nature omniprésente . Récurrence d'ailleurs du cinéma australien qui est profondément ouvert sur les paysages d'une nature immémoriale , immense, et , partant ,angoissante , car renvoyant au néant les vernis de civilisation . L'Australie du mystère , préhistorique , quasi a-historique rappelant sans cesse sa réalité aux pionniers, eux mêmes pétris de contradictions : à la fois infatués d'idéaux victoriens et marqués par l'associalité paradoxalement libératrice du bagne .
    Shawn777
    Shawn777

    584 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Je dois dire que été complètement séduit par ce film, sorti en 1975 et réalisé par Peter Weir, que j'estimais déjà beaucoup notamment pour "The Truman Show". spoiler: Et j'avoue que j'avais jusqu'à maintenant fais un peu l'impasse sur sa période australienne (mis-à-part son téléfilm "Le Plombier"), pourtant tout aussi prolifique (enfin un peu moins quand même). L'histoire est ici adaptée du roman homonyme de Joan Lindsay qui s'amusait à entretenir le mystère sur le fait qu'il soit tiré d'une fiction ou non. Et on retrouve ici cette part de mystère, non pas dans le fait qu'il soit inspiré d'une histoire vraie ou non, mais dans la construction du récit. Nous suivons quatre jeunes filles, élèves d'une très stricte école privée, qui s'aventurent sur le rocher de Hanging Rock et trois d'entre elles n'en reviendront jamais ; ainsi qu'une de leur professeure. Le film entretient donc cette part de mystère et on peut être très frustré car il n'y répond jamais. C'est en effet au spectateur d'en déduire ses propres conclusions : ont-elles été violées, se sont-elles suicidées, se sont-elles tout simplement perdues ou sont-elles maudites par le lieu ? Le film entretient donc cette atmosphère tout aussi mystique que brutale car la vie n'est pas rose non plus au pensionnat dont la directrice se laisse souvent aller à ses crises de colère, ses abus de pouvoir et ses punissions abusives. Mais en découle de tout ce côté dramatique une très forte poésie, apportée notamment par une extraordinaire mise-en-scène. En effet, un peu à la manière de "Cris et Chuchotements", c'est une mise en scène apportant des plans très longs que l'on pourrait comparer à des tableaux vivants qui viennent hypnotiser le spectateur du début à la fin ; bien-sûr si on rentre dans le film. Car c'est malgré tout un film exigeant qui repose énormément sur sa mise en scène. L'histoire n'est pas inintéressante non plus bien-sûr et possède d'ailleurs de nombreux sous-textes mais il ne faut jamais la prendre au premier degré, c'est-à-dire qu'il ne faut jamais chercher de réponses rationnelles à ce qui nous est montré mais plutôt se laisser emporter par l'ambiance pour s'abandonner complètement au film.
    "Pique-Nique à Hanging Rock" est donc un film qui toucherai presque à l'expérimental tellement il sort son spectateur de sa zone de confort.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2015
    Ayant loupé ce film sur Arte il y a quelques années dont le pitch et quelques extraits m’avaient fasciné je le regarde enfin après avoir retrouvé ce fichu titre (encore merci à Irishman), c’est donc avec un certain enthousiasme que je m’y suis plongé avec la plus grande attention, et je ne regrette pas le temps perdu, car il répond à absolument toutes mes attentes, pourtant j’avais une certaine crainte d’avoir fait fausse route vis à vis de l’histoire et ce qui en découlait, je voulais du mystère et du mysticisme, et dieu sait que j’en ai eu, génial !

    1900, les élèves d’une école privée partent en pique-nique au pied d’un immense rocher volcanique réputé comme dangereux si on s’y aventure de trop près, quatre jeunes filles vont outrepasser cet ordre et trois d’entre elles en plus d’une de leurs enseignantes vont disparaitre au sommet du pic. Après diverses recherches durant une semaine une seule sera retrouvée vivante, mais totalement amnésique.

    Ce qui frappe déjà c’est l’ambiance poétique et cette sensibilité esthétique qui se dégage du film, le réalisateur Peter Weir dresse un tableau dès les premières minutes pour nous faire partager cette histoire (tirée d’un fait divers ?), une véritable rêverie, celle de l’adolescence tiraillée entre leur condition étriquée et cette volonté de s’en échapper inexorablement. C’est de par cette montagne mystérieuse que ces filles vont tenter d’atteindre cet objectif, comme aspirées par les hauts sommets, elles s’abandonnent à ce pouvoir magnétique, transfigurées en nymphes se désinhibant sous la directive d’un culte invisible et silencieux, les reptiles les entourent et des tambours étouffés par le vent retentissent, l’envoutement est total. Le degré de surnaturel est palpable et les plans de ces rochets menaçants en contre plongée semblent nous indiquer que quelque chose de terrifiant est en oeuvre, c’est très clairement cette première demi heure qui donne au long métrage sa puissance, le mystère reste entier, et Weir ne cherche à aucun moment à nous éclairer, une montre qui s’arrête, un nuage rouge, des poésies déclamées, tout transpire le mysticisme et le reste du film tentera d’y chercher et trouver des réponses, en vain, et c’est tant mieux.

    Nous suivons ensuite plusieurs personnages comme ces deux garçons qui ont entr’aperçus les jeunes filles sur le chemin de leur expédition avec des yeux énamourés, ils n’arrivent à s’enlever leur image de leurs esprits, ils partent à leur recherche et l’un d’eux retrouve l’unique survivante, Irma, qui ne pourra en rien établir une quelconque explication; la directrice de l’établissement qui semble elle d’avantage tourmentée par des soucis logistiques et économiques, sorte de figure austère et imperturbable, tout ce qui représente l’obstacle à la liberté individuelle et spirituelle de cette jeunesse en mal d’émancipation; Mademoiselle de Poitiers restera le seul et unique relai bienveillant.
    La narration use de subtilité de temps à autre, notamment lors d’une séquence qui m’a beaucoup plu où un horticulteur démontre à un type cherchant à tout prix une logique à ce mystère que parfois il n’y a aucune réponse et qu’il ne faut pas chercher à en trouver, le tout en faisant réagir une plante, ce qui met en relief le fond du film, que la nature garde bien des secrets imperceptibles et surprenants.

    La bande son de Bruce Smeaton joue un rôle important en orchestrant de douces mélodies mélancoliques, le thème musical est entêtant, reflétant la douceur et la beauté des paysages et des fantômes planants autour, tout semble nous faire ressentir une sorte de quiétude, nous dire qu’il ne faut s’attrister de ces disparitions, que l’absolue frontière est immaculée. La dernière partie du film sombre pourtant dans une cruelle fatalité face au machiavélisme de la directrice, sans doute à bien des égards le personnage central par son influence qui n’aura de cesse que de faire en sorte à ce que rien ne change dans ce rouage rigoriste, à ne pas retenir les leçons et les appels au secours, on pourrait la comparer à l’infirmière en chef Miss Ratched dans "Vol au dessus d’un nid de coucou" ou la mère des soeurs Lisbon dans "Virgin Suicides" (le film de Sofia Coppola a d’ailleurs été grandement influencé par celui de Peter Weir), la fin est inexorablement tragique mais laissant tout de même un sentiment doux et onirique.

    "Pique-nique à Hanging Rock" est bel et bien un grand film, énigmatique, occulte, romantique, poignant et rêveur avec une mise en scène absolument impeccable, un conte australien où le visage angélique de cette jeune fille blonde reste comme un portrait iconique gravé en mémoire, celui d’une jouvence éternelle dans un monde rigide et ostracisé, cette porte rocheuse vers l’au-delà suggérant l’extase garde elle tous ses secrets.
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 397 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 novembre 2017
    Une oeuvre énigmatique et onirique à souhait. Le scénario sort du lot et la musique, sublime, est à elle seule un personnage ! "Pique-nique à Hanging Rock" un film qui ne plaira pas à tous. Mais moi il m'a transportée !
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 décembre 2023
    Décidément, je ne suis pas fan de Peter Weir. Si ce n'est la très lumineuse photographie, l'histoire est creuse et l'ennui arrive très vite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 août 2019
    Un drôle de film, volontairement lacunaire par son récit et ses mystères laissés en suspens. C’est esthétiquement qu’il est le plus marquant, avec cette atmosphère de gothique lumineux et éthéré qui a inspiré le Virgin Suicides de Sofia Coppola. On peut aussi y voir l’ancêtre de Twin Peaks et, plus largement, de tous les récits de disparition contemporains. Là où il est le plus intriguant, c’est dans sa peinture d’une micro-société féminine qui oscille constamment entre l’utopie et le cauchemar. Pour le reste, j’ai eu du mal à m’accrocher à un film qui m’a fait l’effet d’un flux continu, sans conflits ni enjeux. C’est ce qui fait selon moi son identité particulière et sa limite.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2013
    L'oeuvre de Peter Weir possède une dimension fantastique. Fantastique au sens mystérieux, irrationnel, inexpliqué...Par opposition, Weir montre une société aux codes étouffants. La lente promenade des jeunes a une dimension sexuée évidente, sur le mystère féminin, l'inconnu, la métamorphose. Pas d'explication au récit mais une belle métaphore dans les paysages naturels australiens aidée par une belle musique lancinante. Empreint de sensualité et d'érotisme latent, le film est évanescent, parfois trop, mais reste intéressant.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2013
    Premier gros succès de Peter Weir en Australie, Pique-nique à Hanging Rock est un film très lent qui possède un style onirique. On peut soit ce laisser emporter par ce style soit y rester de marbre (ce qui est mon cas). Dans ce dernier cas, le temps que dure le film (1H45) semble extrèmement long et les effets de style (ralentis sur de la flûte de Pan) semblent tirer vers le cliché tout en reconnaissant que la photographie est belle et que les acteurs sont justes. Mais qu'est-ce que l'on s'ennuie !!!
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2019
    Tourné en 1975, le second long-métrage de Peter Weir est un enchantement absolu. Nous sommes en 1900 en Australie, dans une école privée stricte et austère pour jeunes filles. Le jour de la Saint-Valentin, les écolières organisent leur traditionnelle sortie estivale à Hanging Rock, fascinante formation rocheuse qui fut autrefois un lieu de culte aborigène. Cette année-là, plusieurs filles disparaîtront de manière inexplicable alors qu’elles se baladaient au cœur de ce lieu étrange et énigmatique. Sur cette base de scénario, ce film à l’image somptueuse nous plonge dans une atmosphère irréelle et onirique, abordant en filigrane de nombreuses thématiques annexes : l’histoire de l’Australie, de la relation des autochtones avec les habitants d’origine européenne, le comportement cruel d’une directrice d’école rongée par ses propres frustrations, le puritanisme excessif et étouffant en vigueur dans l’établissement,... Un chef-d’œuvre envoûtant et magnétique, à la musique superbe – dont des morceaux à la flûte de pan interprétés par Gheorghe Zamfir – qui contribua à renouveler le cinéma australien.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2009
    Ce qui se joue dans "Picnic at Hanging Rock" (Australie, 1975) de Peter Weir, c'est la propagation d'un geste pictural à l'échelle d'un film avant sa mise en échec. Au-delà de la rayonnante photographie de Russell Boyd, les références que sollicitent le plus frontalement le film sont les peintures préraphëlalites, plus du côté de Millais que de Rossetti. La flopée de jeunes étudiantes, naïades vêtues de robe en dentelle blanche, qui sortent en excursion au pied du Hanging Rock sont autant de femmes de "Feuilles d'automne" enrobées d'un blanc immaculé. En instillant une telle esthétique au régime du cinéma, Weir côtoie le pompiérisme. Ce serait sans compter sur le noeud narratif qui trouble le projet plastique du film. Ouvert comme une fresque tranquille sur un pensionnat féminin, "Picninc at Hanging Rock" bascule à sa moitié dans une enquête de disparition, à jamais irrésolue. La tranquillité statique des tableaux contemplatifs se voit troublée dès que trois jeunes femmes et une de leur accompagnatrice disparaissent au sommet du sombre Hanging Rock. Weir introduit très bien le statut de chacun dès l'arrivée des demoiselles au pied du monument volcanique : aux blanches bourgeoises frêles et innocentes s'oppose le mastodonte obscur de la nature. La grâce innée dont déborde chaque femme du film bute contre la culpabilité, la grossièreté et la malveillance des hommes. La disparition des femmes produit un trouble, et dans la tranquillité du récit et dans la joliesse de l'image. Dès cet instant, les ombres envahissent les lieux et viennent creuser les visages. Suite à ce mystère criminel, le temps et les impératifs financiers rattrapent le monde du pensionnat qui semblait jusque là exempt de ces velléités. La façon dont Weir marque les instants de crise, par des séquences iconoclastes, entreprend le jeu du choc audiovisuel. Pourtant le film, entrant sur le terrain d'auteurs plus accomplis (on pense dès le début à Bergman voire à Sokurov), il souffre de la comparaison.
    Spiriel
    Spiriel

    37 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2009
    Joli film de Weir qui, probablement inspiré par 2001 et/ou L'ange exterminateur, décide d'imprimer une atmosphère à travers un mystère qui obsède les personnages mais que le film ne cherche jamais à élucider. D'ailleurs on ne s'attend pas à découvrir l'origine du mystère, il est tout de suite évident que la conclusion sera évasive (la construction narrative est très évasive, jamais on n'a la sensation de s'approcher). On peut néanmoins interpréter, sans qu'il n'y ait de solution définitive. Pourquoi les trois filles sont "aspirées" par la crevasse alors que cette dernière effraie la boulotte et repousse inexplicablement les jeunes hommes? Attribuer une conscience à la montagne est ce qui vient à l'esprit, mais cela peut venir de l'esprit des gens, prêts ou non à se "dissoudre", et par conséquent étant attirés ou repoussés par cet "aimant" naturel. Pourquoi l'une est retrouvée, inconsciente, alors que les autres n'ont laissé aucune trace? Plus qu'une critique de la rationalité, j'y voie surtout, comme dans Black narcissus, l'échec d'une culture (anglaise) à mettre au pas la nature et la mythologie d'un nouveau territoire. Enfin, même si on est loin de Tarkovsky, ce film permet au spectateur de confronter sa vision du monde au film sans contrariété, à condition de ne pas attendre de "réponse définitive". L'ambiance, peut-être un peu trop appuyée par une photographie étherée (surexposition pour avoir une lumière solaire presque aveuglante), une musique trop explicitement annonciatrice de mystère, ainsi qu'une mise en scène habile et des jeunes actrices brillantes à la beauté mystérieuse (à l'évidence comme déjà mentionné, S. Coppola a vu ce film pour Virgin suicides, nettement moins réussi que ce film d'ailleurs). Pas d'action mais un film très agréable à suivre. Les films de ce genre étant rares, on s'en satisfera amplement.
    SB88
    SB88

    23 abonnés 1 159 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Les 20 premières minutes ont beaucoup de charme. La suite, quel ennui !
    Ça manque de consistance.
    2,6/5
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2021
    Peter Weir a signé là, avant sa reconnaissance mondiale avec des films à succès, un film fantastique bien singulier. Certes pour faire naître, dans sa première moitié, l’étrangeté et l’inquiétude, il utilise (fort habilement) quelques codes du genre, en les adaptant quelquefois (l’heure du mystère n’est plus minuit, mais midi). Si l’univers clos d’un collège de jeunes filles est traditionnellement propice au genre, les grands espaces et les paysages naturels le sont bien moins. Et la nature occupe ici une place centrale, à la fois admirable et inquiétante. Ce qui est le plus singulier, c’est le décalage entre le coté fantastique et les choix esthétiques du réalisateur. Ces derniers sont constitués par des images bucoliques, nimbés de romantisme (la caméra aurait été recouverte d’un voile de mariée pour rendre l’atmosphère (un peu Hamilton quand même) recherchée. La seconde partie du film est moins réussie, versant dans la dispersion. Plusieurs hypothèses peuvent être émise sur cet évènement dont Peter Weir, et avant lui l’auteure du roman, prétend qu’il s’inspire d’un fait réel, mais j’aime beaucoup l’idée de la symbolique d’une fuite, d’un échappement du carcan qu’est l’univers rigide et plein d’interdits du collège chargé « d’éduquer » ces jeunes filles (ce qui repose sur quelques indices comme l’absence de culotte chez l’accompagnatrice ou de corset chez la « revenante » …).
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    295 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2009
    fantastique plaisant.
    The Claw
    The Claw

    62 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2013
    Un film étrange, envoûtant, empreint de poésie et de mystère. Une sorte de film "lynchien" avant l'heure, pour lequel plusieurs interprétations peuvent avoir raison d'être. J'ai beaucoup aimé ce film, même si je trouve la seconde partie moins poétique avec quelques baisses de rythme. Certains plans sont sublimes, les images sont très belles, et une grande part est accordée au symbolisme, jusque dans le choix des musiques.
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