Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Voyage farfelu à la rencontre de poètes formidables. Un premier film d'une belle originalité et d'une folle tendresse.
Libération
par Philippe Azoury
Un film impossible à étiqueter, un premier, fauché ça va sans dire, sur un poète aussi génial que méconnu, Matthieu Messagier, "dernier des immobiles" puisque cloué sur un fauteuil roulant depuis trente ans. Dites cela et il y a peu de chance qu'il reste encore quelqu'un dans la salle. Pourtant, si le Dernier des immobiles est un premier film, il l'est de la même façon que l'on dit d'une matière qu'elle est première.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
En quête des quatre saisons et d'un pré magique, Nicola Sornaga fête une myriade d'idées et de sensations, avec les moyens du bord, empruntant vélo, auto, bateau, un peu ivre forcément. (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le reportage devient voyage puis une épopée intérieure où la beauté des lacs et des paysages s'impose simplement.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Le Dernier des immobiles se casse la gueule un estimable nombre de fois, mais n'en poursuit pas moins vaillamment son bonhomme de chemin. (...) Il faut quelques minutes pour attester que Nicola Sornaga est un talentueux et efficace jongleur des codes culturels, ce qui n'a rien de déplaisant ni de très passionnant.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Olivier Lemaire
Le récit est articulé en chapitres dont les titres participent à un flou artistique complet mais assez charmant. Le réalisateur annonce son projet : faire un film sur la poésie. Il oublie juste de spécifier qu'elle est totalement abstraite.
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
L'univers de Messagier, ses vers aériens, son petit cercle d'amis, hurluberlus plus ou moins cultes, ne manquent pas de charme. On aurait aimer passer plus de temps avec eux, et moins avec le jeune cinéaste et ses mises en abyme superflues.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Voyage farfelu à la rencontre de poètes formidables. Un premier film d'une belle originalité et d'une folle tendresse.
Libération
Un film impossible à étiqueter, un premier, fauché ça va sans dire, sur un poète aussi génial que méconnu, Matthieu Messagier, "dernier des immobiles" puisque cloué sur un fauteuil roulant depuis trente ans. Dites cela et il y a peu de chance qu'il reste encore quelqu'un dans la salle. Pourtant, si le Dernier des immobiles est un premier film, il l'est de la même façon que l'on dit d'une matière qu'elle est première.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
En quête des quatre saisons et d'un pré magique, Nicola Sornaga fête une myriade d'idées et de sensations, avec les moyens du bord, empruntant vélo, auto, bateau, un peu ivre forcément. (...)
Aden
Le reportage devient voyage puis une épopée intérieure où la beauté des lacs et des paysages s'impose simplement.
Cahiers du Cinéma
Le Dernier des immobiles se casse la gueule un estimable nombre de fois, mais n'en poursuit pas moins vaillamment son bonhomme de chemin. (...) Il faut quelques minutes pour attester que Nicola Sornaga est un talentueux et efficace jongleur des codes culturels, ce qui n'a rien de déplaisant ni de très passionnant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Le récit est articulé en chapitres dont les titres participent à un flou artistique complet mais assez charmant. Le réalisateur annonce son projet : faire un film sur la poésie. Il oublie juste de spécifier qu'elle est totalement abstraite.
TéléCinéObs
L'univers de Messagier, ses vers aériens, son petit cercle d'amis, hurluberlus plus ou moins cultes, ne manquent pas de charme. On aurait aimer passer plus de temps avec eux, et moins avec le jeune cinéaste et ses mises en abyme superflues.