Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
À travers ces portraits complexes et profondément humains, émergent des thématiques qui deviendront récurrentes au cours de sa carrière, à l’instar de la notion de transmission.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le premier film inédit de Paul Thomas Anderson est une bonne surprise. Non seulement cette modeste incursion dans le film noir du cinéaste confirme l’adage « qui peut le plus peut le moins », mais elle est plus prenante que certaines de ses réalisations plus alambiquées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un très grand premier film, à ne pas rater...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Au petit jeu du “montre-moi ton premier film, je te dirai qui tu es”, P.T.A fait fort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Paul Thomas Anderson réalisait en 1996 un premier film virtuose et cruel sur le monde trouble des casinos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
A première vue, rien n'annonce l'ambition folle du réalisateur de "Magnolia" dans ce néo-noir de 1996 (...). Or tout son cinéma y est plus ou moins en germe, des longues scènes déroutantes à la Robert Altman aux rapports névrotiques entre un mentor insidieusement paternaliste et un disciple imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’affrontement entre le vieux joueur et le videur de casino se fait sanglant, et c’est l’occasion pour le réalisateur de demander à Samuel L. Jackson le contraire de ce qu’il venait de faire dans Pulp Fiction. Cette volonté de se démarquer fait de Hard Eight un film constamment intéressant, parfois agaçant.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le premier long métrage de Paul Thomas Anderson n’est certes pas son meilleur, mais il constitue un bel exercice de style qui annonce ses œuvres postérieures.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Camille Nevers
Dans "Hard Eight", tout ce que deviendra Anderson est déjà là, mais lambine encore, rivé à une tonalité déphasée et off que le metteur en scène approfondira mieux ensuite (l’hébétude et l’absurde), nanti d’une réalisation souvent maladroite, le découpage de l’espace des chambres d’hôtel notamment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Clara Tabard
Le long-métrage ne dépasse jamais le stade de la simple allégorie et ce faisant, apparaît comme le laboratoire d’expérimentations d’un cinéaste ne parvenant pas à mettre en scène le simulacre avec la même maestria que dans ses entreprises plus tardives.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
À travers ces portraits complexes et profondément humains, émergent des thématiques qui deviendront récurrentes au cours de sa carrière, à l’instar de la notion de transmission.
L'Humanité
Le premier film inédit de Paul Thomas Anderson est une bonne surprise. Non seulement cette modeste incursion dans le film noir du cinéaste confirme l’adage « qui peut le plus peut le moins », mais elle est plus prenante que certaines de ses réalisations plus alambiquées.
Le Parisien
Un très grand premier film, à ne pas rater...
Les Inrockuptibles
Au petit jeu du “montre-moi ton premier film, je te dirai qui tu es”, P.T.A fait fort.
Télérama
Paul Thomas Anderson réalisait en 1996 un premier film virtuose et cruel sur le monde trouble des casinos.
L'Obs
A première vue, rien n'annonce l'ambition folle du réalisateur de "Magnolia" dans ce néo-noir de 1996 (...). Or tout son cinéma y est plus ou moins en germe, des longues scènes déroutantes à la Robert Altman aux rapports névrotiques entre un mentor insidieusement paternaliste et un disciple imprévisible.
Le Monde
L’affrontement entre le vieux joueur et le videur de casino se fait sanglant, et c’est l’occasion pour le réalisateur de demander à Samuel L. Jackson le contraire de ce qu’il venait de faire dans Pulp Fiction. Cette volonté de se démarquer fait de Hard Eight un film constamment intéressant, parfois agaçant.
aVoir-aLire.com
Le premier long métrage de Paul Thomas Anderson n’est certes pas son meilleur, mais il constitue un bel exercice de style qui annonce ses œuvres postérieures.
Libération
Dans "Hard Eight", tout ce que deviendra Anderson est déjà là, mais lambine encore, rivé à une tonalité déphasée et off que le metteur en scène approfondira mieux ensuite (l’hébétude et l’absurde), nanti d’une réalisation souvent maladroite, le découpage de l’espace des chambres d’hôtel notamment.
Critikat.com
Le long-métrage ne dépasse jamais le stade de la simple allégorie et ce faisant, apparaît comme le laboratoire d’expérimentations d’un cinéaste ne parvenant pas à mettre en scène le simulacre avec la même maestria que dans ses entreprises plus tardives.