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Un visiteur
4,5
Publiée le 29 décembre 2010
Il faut quand même apprécier le skateboard pour masquer les longueurs tout au long du film. Un condensé plus efficace aurait certainement mieux tenu la route... Malgré cela, ça reste un bon film pour qui aime l'atmosphère Americaine et les rêves qui vont avec.
Film retraçant l'histoire du skate : l'intérêt même du film, auquel Catherine Hardwicke rend hommage à l'aide de Stacy peralta. Cependant, les histoires d'adolescents surfeurs, qui limitent leur langage à "hé mec" sont un peu lassantes.. Certains moments au coeur du film (ainsi qu'au début) m'ont terriblement ennuyée. La fin rattrape cet ennui, car elle va assez loin dans ce qu'il advient des personnages. The Lords of Dogtown est tout de même un film à voir - pour les passionnés de skate, ou non - pour savoir l'origine même de ce sport. Et je suis contente d'avoir aujourd'hui cette connaissance. Même si je pense que j'aurai plus apprécié un documentaire à partir des véritables videos de Stacy peralta. Peut être aurais-je dû me tourner vers Dogtown and Z-boys.
Lords of Dogtown est à mi-chemin entre le documentaire et le film. D'un côté, il retrace la naissance du skate, et par-là même des sports extrêmes. Il est impressionnant de se rendre compte que l'histoire relatée pendant ces petites 1h30 a bouleversé le monde du sport à tout jamais! Mais Lords of Dogtown est aussi un film, et en cela pas besoin d'être fan de skate pour l'apprécier. Il retrace l'histoire d'une bande de potes qui va se retrouver propulsée au rang de superstars d'un sport en devenir, ce qui va bien sur mettre à mal l'unité de ce groupe. On se prend très rapidement au jeu et l'on suit les pérégrinations de cette bande avec délectation. Les acteurs sont très bons, Heath Ledger en tête évidemment! La bande son est mémorable avec nombre de groupes cultes de l'époque: Black Sabbath, Deep Purple, etc. Le scénario est parfois un peu basique et convenu mais reste très réaliste en ce qui concerne les dérives publicitaires et le fait de sortir les enfants des rues pour en faire des stars. Au final, Lords of Dogtown est un film émouvant, prenant, sans temps mort, qui permet de se cultiver, et est donc vivement conseillé!
Sans être une fanatique de skate, j'aime ça, et j'ai trouvé ce film passionnant, pourtant je ne saurai pas dire pourquoi, c'est un tout, je suis incapable de raconter a mes amis ce qui m'a plu, car ce serai me lancer dans un résumé détaillé de tout le film. Bonne tête d'affiche, bonnes figures, bonne histoire de fond, bon dénouement... De plus j'apprends que tout ceci est basé sur l'histoire réelle des Z-boys... ça fait rêver, pour peu qu'on soit un peu intéressée par le culture urbaine...
Le film est d'abord tout ce qu'il a de plus cool avec cette bande de jeunes californiens qui ne pensent qu'à skatter et à s'amuser. Cette manière de filmer très intimiste et rapide de Catherine Hardwicke et la bande originale très rock accentue cet effet. Puis, la réalisatrice montre très bien comment la gloire et l'argent peuvent monter à la tête. Mais j'ai surtout trouvé la fin très belle avec la réunion des anciens amis autour de la maladie d'un des leurs. Dans le fond, j'ai suivi avec plaisir la naissance du skate en tant que sport, c'était très sympa de voir ces évolutions. Emile Hirsch et Heath Ledger sont les stars du casting et pour le coup se sont vraiment les deux meilleurs acteurs, leur jeu est vraiment excellent.
Biographie retraçant le destin des 3 Z-Boys, 3 surfeurs californiens ayant influencé tous les skaters du monde en révolutionnant ce sport. Mais le film de C. Hardwicke se distingue en dressant non seulement le portrait de 3 jeunes dans le vent mais aussi en s'attaquant au système qui vole l'innocence de ces gamins, les couvre d'or, les monte les uns contre les autres et les sucent jusqu'à la moelle avant de les jeter aux oubliettes sitôt un autre poulain plus frais en vue. Bref, elle démolit le système capitaliste pièce par pièce et tout en radioscopant l'écroulement de ce rêve américain, offre à plusieurs acteurs l'occasion de briller : E. Hirsch, H. Ledger et toute une bande de jolies petites bouilles qui imprègnent la pellicule de leur charisme. La mise en scène donne le tournis, la B.O fracasse tout, le scénario captive de bout en bout et les caméos savoureux (T. Hawk en astronaute, géant) font de ce film une vraie bonne surprise. Un beau moment. D'autres critiques sur
Plus une démo géante de skate qu'un film... C'est pas mauvais, mais c'est un peu trop superficiel pour être inoubliable. Pourtant, le projet est sympa, la BO est bonne, et Heath Ledger est sublime. Pas mal, donc, mais sans plus.
Jeunes et pourtant excellents, ces acteurs sont formidables (en plus c'est marrant de voir Emile Hirch ado). Le scénario est super et l'esthétique du film ainsi que la BO sont très très plaisant.
Les débuts du skate façon freeride dans les années 70. Une histoire d'amitié entre des gamins qui vont devenir des stars du sport extrême. Le côté un peu prévisible de l'histoire n'enlève rien à sa qualité et à l'attachement que l'on peut éprouver pour ces "Z-boys". Irréprochable niveau casting et mise en scène. Un excellent "biopic".
Un film qui retrace l'histoire du skateboard, des débuts de la planche à roulettes aux premiers champions. On apprend beaucoup de ce sport, et on observe médusé l'amitié de trois bons copains déchiré par le succès. Chaque rider possède un caractère bien différent, et les acteurs reproduisent de manière fidèle les mentalités qu'on pourrait leur associer. L'histoire est quant à elle plutôt prévisible, mais au final, elle reflète la pure réalité de ce groupe de skateurs. Bref, un film dramatique qui apporte un complément historique à ce sport, appuyé par une ambiance rétro savoureuse.
Un magnifique film sur l’envol du skateboard à la fin des années 70. L’histoire vraie de ces gamins qui skataient pour le plaisir et qui sous l’impulsion des fabricants de planches vont devenir des stars avec une nouvelle façon de rider et faire passer le skate d’un truc qui ressemble au patinage artistique vers se qui deviendra les grandes sessions des X-games. A la fraicheur des premiers temps et ces rides dans les rues et les piscines asséchées, vont succéder les obligations de la promotion, les égos qui explosent et les désillusions de l’amitié qui s’effrite. Les sessions de ride sont vachement bien filmées même si elles sont vraiment trop courtes. La B.O est elle aussi géante et participe également à la réussite de ce film. A voir même pour ceux qui comme moi ne connaisse rien au skate, pour réaliser à quel point derrière les logos, les sponsors et l’argent souffle un vent de liberté.