Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
TéléCinéObs
par François Forestier
Ces Variations Jarmusch sont parfois superbes, parfois banales, parfois irrésistibles. Mises bout à bout, elles forment un panorama extraordinaire de la condition humaine : le dernier sketch peut vous tirer des larmes. C'est du très grand art mineur.
Aden
par Philippe Piazzo
Un film fait pour ceux qui aiment attendre, observer, savourer, sans arrière-pensée. Car il y a dans la modestie de l'exercice une légèreté et une nonchalance qui appellent un regard amusé.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
" Coffee and cigarettes ", séduit, comme toujours les films de Jarmusch, par le goût de la liberté qui s'y exprime et par l'élégance de son développement.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
On retiendra surtout la joute hilarante entre musiciens (Iggy Pop et Tom Waits) ; le numéro vaniteux d'un comédien anglais (Steve Coogan) ; et, perle du lot, la conversation loufoque entre Bill Murray et les rappers GZA et RZA. De délicieux zakouskis.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
La parole est souvent, au cinéma, une échappée vers un double du réel ; le caractère indéchiffrable et dérisoire de celui-ci dans le film de Jim Jarmusch lui confère une indiscutable valeur poétique.
Libération
par Gilles Renault
De ce bavardage digressif, à la fois loufoque et vachard, badin et nostalgique, jaillit une galerie de portraits en noir et blanc moins souvent anodins que savoureux, qui, une nouvelle fois, enluminent la fascination exercée par l'univers musical sur Jim Jarmusch.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
COFFEE AND CIGARETTES, c'est un buffet dégustation : chacun picore à sa guise dans cet enchaînement de saynètes et en retient ce qu'il préfère. Comme le plaisir simple de voir Cate Blanchett, Bill Murray ou Steve Buscemi s'amuser devant une caméra.
Première
par Gérard Delorme
Observateur privilégié des artistes, Jarmusch garde ses distances et porte sur leur statut un regard juste et ambigu. L'air de ne pas y toucher, il excelle à trouver un équilibre souvent instable entre évidence et non-dit, futilité et gravité. Heureusement, la légèreté finit par l'emporter.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
(...) Ceci n'est pas un vrai nouveau film de Jim Jarmusch. Plutôt une compilation, forcément inégale, de sketchs tournés depuis une quinzaine d'années en marge de ses longs métrages (...). Jim Jarmusch est assez fort (ou assez malin) pour mettre au service de cette mécanique, apparemment désinvolte, le sens du tempo qu'on lui connaît.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Très inégale et de toute manière anecdotique dans l'oeuvre de Jarmusch, la série enfile les petits sketchs, formant un collier totoche d'où n'émerge aucun joyau.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le résultat est évidemment inégal, selon le degré d'inspiration de leur auteur et surtout le talent des acteurs, et forme une sorte de damier qui n'est pas sans charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Dominique Martinez
Jarmush fait du Jarmush : bien que son film soit une charmante petite chose (on le reconnaît bien là), il ne se renouvelle pas, il ne surprend plus. Les inconditionnels vont adorer.
aVoir-aLire.com
par Laetitia Heurteau
Cette culture musicale dans laquelle Jarmusch fait baigner ses personnages, ces nombreux private jokes alourdissent un récit dont le propos consistait pourtant à parler de tout avec légèreté.
TéléCinéObs
Ces Variations Jarmusch sont parfois superbes, parfois banales, parfois irrésistibles. Mises bout à bout, elles forment un panorama extraordinaire de la condition humaine : le dernier sketch peut vous tirer des larmes. C'est du très grand art mineur.
Aden
Un film fait pour ceux qui aiment attendre, observer, savourer, sans arrière-pensée. Car il y a dans la modestie de l'exercice une légèreté et une nonchalance qui appellent un regard amusé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
" Coffee and cigarettes ", séduit, comme toujours les films de Jarmusch, par le goût de la liberté qui s'y exprime et par l'élégance de son développement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
On retiendra surtout la joute hilarante entre musiciens (Iggy Pop et Tom Waits) ; le numéro vaniteux d'un comédien anglais (Steve Coogan) ; et, perle du lot, la conversation loufoque entre Bill Murray et les rappers GZA et RZA. De délicieux zakouskis.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La parole est souvent, au cinéma, une échappée vers un double du réel ; le caractère indéchiffrable et dérisoire de celui-ci dans le film de Jim Jarmusch lui confère une indiscutable valeur poétique.
Libération
De ce bavardage digressif, à la fois loufoque et vachard, badin et nostalgique, jaillit une galerie de portraits en noir et blanc moins souvent anodins que savoureux, qui, une nouvelle fois, enluminent la fascination exercée par l'univers musical sur Jim Jarmusch.
MCinéma.com
COFFEE AND CIGARETTES, c'est un buffet dégustation : chacun picore à sa guise dans cet enchaînement de saynètes et en retient ce qu'il préfère. Comme le plaisir simple de voir Cate Blanchett, Bill Murray ou Steve Buscemi s'amuser devant une caméra.
Première
Observateur privilégié des artistes, Jarmusch garde ses distances et porte sur leur statut un regard juste et ambigu. L'air de ne pas y toucher, il excelle à trouver un équilibre souvent instable entre évidence et non-dit, futilité et gravité. Heureusement, la légèreté finit par l'emporter.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) Ceci n'est pas un vrai nouveau film de Jim Jarmusch. Plutôt une compilation, forcément inégale, de sketchs tournés depuis une quinzaine d'années en marge de ses longs métrages (...). Jim Jarmusch est assez fort (ou assez malin) pour mettre au service de cette mécanique, apparemment désinvolte, le sens du tempo qu'on lui connaît.
Chronic'art.com
Très inégale et de toute manière anecdotique dans l'oeuvre de Jarmusch, la série enfile les petits sketchs, formant un collier totoche d'où n'émerge aucun joyau.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le résultat est évidemment inégal, selon le degré d'inspiration de leur auteur et surtout le talent des acteurs, et forme une sorte de damier qui n'est pas sans charme.
Positif
Jarmush fait du Jarmush : bien que son film soit une charmante petite chose (on le reconnaît bien là), il ne se renouvelle pas, il ne surprend plus. Les inconditionnels vont adorer.
aVoir-aLire.com
Cette culture musicale dans laquelle Jarmusch fait baigner ses personnages, ces nombreux private jokes alourdissent un récit dont le propos consistait pourtant à parler de tout avec légèreté.