Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Florence Colombani
Le film peut pâtir, sans doute, de ce décalage entre la méditation qu'il impose et les aspirations de celui qui le regarde. Mais il ne peut en être profondément altéré. La force de La Vie nue vient en effet de ce qu'il ne cherche jamais à convertir.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Austère et radical, le film propose une expérience de cinéma déroutante qui pose des questions "ciné-métaphysiques" aussi courageuses que pertinentes.
Libération
par Antoine De Baecque
Boccarossa voulait un film radical, pur et dur. Il l'a, qui prend forme grâce aux expressions tragiques de Yann Goven, comédien si sérieux. C'est parfois agaçant, menacé par la pose et l'exercice scolaire ; c'est aussi attachant, témoignant d'une croyance totale dans la vérité du cinéma.
Première
par Hubert Prolongeau
Dominique Boccarossa, un nom sans doute à retenir, offre un film tendu et serré sur le corps, le rapport au monde, l'appréhension de l'invisible et des ruptures qu'il suscite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par La rédaction
Le parcours sans queue ni tête d'hommes et de femmes...Incompréhensible et mal filmé!
Le Monde
Le film peut pâtir, sans doute, de ce décalage entre la méditation qu'il impose et les aspirations de celui qui le regarde. Mais il ne peut en être profondément altéré. La force de La Vie nue vient en effet de ce qu'il ne cherche jamais à convertir.
Les Inrockuptibles
Austère et radical, le film propose une expérience de cinéma déroutante qui pose des questions "ciné-métaphysiques" aussi courageuses que pertinentes.
Libération
Boccarossa voulait un film radical, pur et dur. Il l'a, qui prend forme grâce aux expressions tragiques de Yann Goven, comédien si sérieux. C'est parfois agaçant, menacé par la pose et l'exercice scolaire ; c'est aussi attachant, témoignant d'une croyance totale dans la vérité du cinéma.
Première
Dominique Boccarossa, un nom sans doute à retenir, offre un film tendu et serré sur le corps, le rapport au monde, l'appréhension de l'invisible et des ruptures qu'il suscite.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Le parcours sans queue ni tête d'hommes et de femmes...Incompréhensible et mal filmé!