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Brodeuses est un premier film extrêmement fin et séduisant. Eléonore Faucher décrit avec talent un moment de vie d'une jeune femme, et tisse une précieuse toile à l'image du travail dont elle montre les ficelles : la broderie.
Eléonore Faucher réussit le déplacement des problématiques sociologiques et culturelles ordinaires dans un questionnement de la création, création biologique transposée dans le champ esthétique.
Eléonore Faucher a fabriqué Brodeuses comme un oiseau fait son nid, picorant des brins de banalité, des fétus de tristesse, des grains de rêverie. Sensible aux matières, elle a tourné son film en brodeuse, mêlant le rêche au duveteux, l'âpreté à la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Autant dire que Brodeuses est de ces films qui ont l'extrême délicatesse de considérer un rapport entre deux êtres comme une matière assez précieuse pour être maniée avec subtilité, et, surtout, assez riche pour nourrir une oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Au plus près des personnages, la cinéaste raconte une histoire à la fois banale et rude, sur fond de province désespérante. Mais, rapidement, le film trouve un ton et une texture qui n'appartiennent qu'à lui. (...). Beau travail.
La critique complète est disponible sur le site Première
Avec une finesse, une émotion, des images et des acteurs aussi frémissants les uns que les autres, Brodeuses réussit en outre l'exploit de transformer en force une délicatesse qui avait tout pour sombrer dans la mièvrerie.
Sinistrose et thérapie de groupe, c'est la thématique appuyée d'Eléonore Faucher dont Brodeuses inaugure sa filmo et alimente la veine naturaliste sous-Pialat du cinéma français. (...) De cette anesthésie déprimante, la mise en scène surenchérit les sinistres dialogues à grasse portée symbolique (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
Brodeuses est un premier film extrêmement fin et séduisant. Eléonore Faucher décrit avec talent un moment de vie d'une jeune femme, et tisse une précieuse toile à l'image du travail dont elle montre les ficelles : la broderie.
Positif
Eléonore Faucher réussit le déplacement des problématiques sociologiques et culturelles ordinaires dans un questionnement de la création, création biologique transposée dans le champ esthétique.
Télérama
Eléonore Faucher a fabriqué Brodeuses comme un oiseau fait son nid, picorant des brins de banalité, des fétus de tristesse, des grains de rêverie. Sensible aux matières, elle a tourné son film en brodeuse, mêlant le rêche au duveteux, l'âpreté à la tendresse.
Aden
Superbe premier film (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Brodeuses est (...) un joli film.
Le Monde
Autant dire que Brodeuses est de ces films qui ont l'extrême délicatesse de considérer un rapport entre deux êtres comme une matière assez précieuse pour être maniée avec subtilité, et, surtout, assez riche pour nourrir une oeuvre.
Première
Au plus près des personnages, la cinéaste raconte une histoire à la fois banale et rude, sur fond de province désespérante. Mais, rapidement, le film trouve un ton et une texture qui n'appartiennent qu'à lui. (...). Beau travail.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Avec une finesse, une émotion, des images et des acteurs aussi frémissants les uns que les autres, Brodeuses réussit en outre l'exploit de transformer en force une délicatesse qui avait tout pour sombrer dans la mièvrerie.
Chronic'art.com
Sinistrose et thérapie de groupe, c'est la thématique appuyée d'Eléonore Faucher dont Brodeuses inaugure sa filmo et alimente la veine naturaliste sous-Pialat du cinéma français. (...) De cette anesthésie déprimante, la mise en scène surenchérit les sinistres dialogues à grasse portée symbolique (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Eloge des petits métiers et des sensations vraies. Une histoire brodée de fil blanc emballée dans une esthétique de téléfilm.