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Un visiteur
4,0
Publiée le 22 août 2010
C'est génial ^^. Un 'tit gars qui rêve d'être artiste, et qui se retrouve en école d'arts... C'est fou j'avais toujours imaginé les facs d'arts comme ça :'). Avec des gens marginaux, à l'imagination débordante. C'est sûr que le scénario est sympa, en plus les acteurs sont très bien et la diversité des personnages est intéressante :'D. Ensuite quelle surprise de voir Kate Moenning x'D (bien sûr en lesbienne '-') et Lauren Lee Smith (avec une perruque noire le choc :'o) ! Bref très bonne comédie ^^
Tout simplement excellent... Cette petite comédie sentimale se veut en fait être une critique plutôt pessimiste du milieu de l'art (peinture surtout). Servi par un casting impeccable surtout l'acteur principal Max Minghella... Je conseille vivement ce film, au ton très corrosif (notamment la fin mais chut^^)
Une histoire franchement pas si mal, mélanger d'un roman policier et de la comédie limite ridicule, menant des scénarios et des rôles parfois bon et parfois sans plus... Ca aurait été beaucoup meilleur sans la comédie.
Une satyre oui et parfois amusante mais hélas le tout est enrobé d'une sorte de mièvrerie adolescente (à ce titre le jeune acteur est une "tête à claque" absolu). C'est une sorte de "American Pie" sans sexe sur fond d'art et d'i trigue policière. Alors on passe un moment sympatoche (encore une fois les clichés font sourire) mais Zwigoff est très loin de la profondeur de son "GHOST WORLD".
Très chouette film, bien rythmé, sur l'art et la (dé)considération qui lui est accordée. On voit bien ici qu'un grand artiste peut être méprisé tout comme des gribouillis peuvent être pris pour des chefs d'oeuvre... De quoi cela dépend-il en définitive? On n'aura jamais fini de se poser la question, mais la réfléxion est et sera toujours présente.
Un très bon film critique sur l'art et sur la façon dont elle est enseignée (assez académiquement) aux futurs "artistes". S'il est une chose à notre, outre l'humour omniprésent, c'est l'excellente manière trouvée pour tourner en ridicule ce système illogique: noter et comparer l'art entre eux.
Grosse déception pour ce film. La satyre des écoles d'art est aussi caricaturale que convenue et la pseudo-intrigue policière sans intérêt. Quelle dommage!
Une satire féroce doublée dun regard très juste et ultra provocateur (jusquoù est-on prêt à aller pour devenir un grand artiste ?) sur lart daujourdhui. Entre une dérision hilarante où tout le monde y passe (les élèves prétentieux, les profs incapables et lécole dart complètement clichée) et une sincérité qui sent le vécu (le scénariste Daniel Clowes a en effet fréquenté une école dart dans sa jeunesse), Art School Confidential est une comédie intelligente qui arrive directement en DVD en France suite à son échec au box-office américain (on comprend pourquoi vu la critique apportée par le film). Ajoutons à ce très bon film des acteurs de qualité tels que John Malkovich, Steve Buscemi, Angelica Huston, Max Minghella ou encore Sophya Myles ainsi quune mise en scène anti-commercial du désormais génial Terry Zwigoff (Crumb, Ghost World et Bad Santa) qui ose beaucoup comme dans cette fameuse scène avec le modèle masculin nu qui agite son pénis sous le nez dune étudiante. Art School Confidential est donc une comédie méchante qui, malgré tout, remet les points sur les I tout en se révélant aussi indispensable que les précédents films de son auteur Terry Zwigoff. Un futur film culte en puissance !
Toujours là où on ne l'attend pas, Terry Zwigoff signe ici encore une belle réussite. Sans aucune prétention, le film simpose comme une belle reflexion sur lart et les moyens dy parvenir mélangeant sarcasme et caricature...
D'abord rectification du synopsis présenté sur ce site : s'il y a bien un flic en planque dans une école d'art à cause d'un tueur en série, celui-ci n'est pas le personnage principal. Le héros de l'histoire est un jeune homme qui rêve de devenir un génie de la peinture. A partir de là se développe une satire des milieux de l'art contemporain, l'intrigue policière n'étant là que pour servir cette fin. C'est le quatrième film Terry Zwigoff, après un documentaire passionnant (Crumb), un chef d'oeuvre (Ghost World), une excellente petite comédie (Bad Santa). Il renoue ici avec le co-auteur de Ghost World, mais en comparaison, le résultat manque cruellement de saveur. Il y a de l'humour et quelques beaux moments de cinéma, mais tout cela est un peu gâché par un scenario pas très finaud et un certain nombre de poncifs attendus. Comme si Zwigoff cédait à chaque film encore un peu plus de terrain à la routine hollywoodienne.