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A la base il y avait des bonnes idées mais la réalisation et les dialogues ne sont pas fameux. Pire encore le choix de certains acteurs laisse à désirer. On se retrouve avec un héros insipide et sans charisme.
étant fan absolu de dan clowes, je n'ai pas été déçu par ce film, seulement sinon par la médiocrité de l'acteur principal, jeune à gueule toute neuve. non, pour moi y a erreur de casting. sinon les dialogues sont excellents et le carnaval autour de l'art et de son environnement super bien vu. dommage cependant, je file revoir ghost world, ou me relire "comme un gant de velours pris dans lafonte".
Très drole, ce film se moque de l'art et de tous ces pseudo artistes qui se croient intelligents en debitants des phrases hyperboliques et vides de sens sur leurs oeuvres. J'aime! Et tout particulièrement John Malkovich que j'adore et à qui décidemment les rôles de mec-dephasé-paumé-à l'ouest & co vont très bien (je pense à l'exellent Burn After Reading et Appelez-moi Kubrick)
un gros navet mal joué, mal monté. pseudo caricature du monde de l'art contemporain, blindé de clichés ratés. une sorte de american pie sans le coté potache. un film d'ado de plus, dans la lignée d'un Dawson sans la profondeur sentimentale. bref, j'ai perdu mon temps.
J'ai bien aimé ! Le sujet de l'art est drole, on tombe facilement dans le stereotype et on s'en amuse. Plutot simpa au debut, je trouve juste denouement un peu etrange mais pourquoi pas ?
j'ai tout de meme preferé Ghost World ou steve Buscemi est plus present.
j'ai tout de meme preferé Ghost World ou steve Buscemi est plus present.
Une satyre oui et parfois amusante mais hélas le tout est enrobé d'une sorte de mièvrerie adolescente (à ce titre le jeune acteur est une "tête à claque" absolu). C'est une sorte de "American Pie" sans sexe sur fond d'art et d'i trigue policière. Alors on passe un moment sympatoche (encore une fois les clichés font sourire) mais Zwigoff est très loin de la profondeur de son "GHOST WORLD".
Très chouette film, bien rythmé, sur l'art et la (dé)considération qui lui est accordée. On voit bien ici qu'un grand artiste peut être méprisé tout comme des gribouillis peuvent être pris pour des chefs d'oeuvre... De quoi cela dépend-il en définitive? On n'aura jamais fini de se poser la question, mais la réfléxion est et sera toujours présente.
Grosse déception pour ce film. La satyre des écoles d'art est aussi caricaturale que convenue et la pseudo-intrigue policière sans intérêt. Quelle dommage!
Tout simplement excellent... Cette petite comédie sentimale se veut en fait être une critique plutôt pessimiste du milieu de l'art (peinture surtout). Servi par un casting impeccable surtout l'acteur principal Max Minghella... Je conseille vivement ce film, au ton très corrosif (notamment la fin mais chut^^)
D'abord rectification du synopsis présenté sur ce site : s'il y a bien un flic en planque dans une école d'art à cause d'un tueur en série, celui-ci n'est pas le personnage principal. Le héros de l'histoire est un jeune homme qui rêve de devenir un génie de la peinture. A partir de là se développe une satire des milieux de l'art contemporain, l'intrigue policière n'étant là que pour servir cette fin.
C'est le quatrième film Terry Zwigoff, après un documentaire passionnant (Crumb), un chef d'oeuvre (Ghost World), une excellente petite comédie (Bad Santa). Il renoue ici avec le co-auteur de Ghost World, mais en comparaison, le résultat manque cruellement de saveur. Il y a de l'humour et quelques beaux moments de cinéma, mais tout cela est un peu gâché par un scenario pas très finaud et un certain nombre de poncifs attendus. Comme si Zwigoff cédait à chaque film encore un peu plus de terrain à la routine hollywoodienne.
C'est le quatrième film Terry Zwigoff, après un documentaire passionnant (Crumb), un chef d'oeuvre (Ghost World), une excellente petite comédie (Bad Santa). Il renoue ici avec le co-auteur de Ghost World, mais en comparaison, le résultat manque cruellement de saveur. Il y a de l'humour et quelques beaux moments de cinéma, mais tout cela est un peu gâché par un scenario pas très finaud et un certain nombre de poncifs attendus. Comme si Zwigoff cédait à chaque film encore un peu plus de terrain à la routine hollywoodienne.
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