Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyver
Mathieu Kassovitz (...) insuffle véritablement à l'oeuvre toute sa puissance et son inventivité visuelle. Car, même si le sujet tient en haleine, il est loin d'être totalement innovant (...) une oeuvre maîtrisée de bout en bout, qui manque simplement d'un peu... de folie.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Aden
par Philippe Piazzo
Le talent de Mathieu Kassovitz donne le change. C'est aussi bien fabriqué qu'un standard du box-office, et tout aussi inconsistant dans le divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Ophélie Wiel
(...) on sent le cinéaste tiraillé entre les exigences du genre et ses propres fantasmes. Et c'est là qu'il rencontre ses limites : à trop hésiter entre fascination pour un certain cinéma américain et volonté de se démarquer, il ne parvient pas à faire totalement sien le film (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Cousue de bonne pensée hollywoodienne - voire d'intégrisme yankee - l'intrigue perd très vite de son attrait à mesure que les règles de ce fantastique se dévoilent (...) Multipliant les conclusions, Kassovitz finit par épuiser le plus bienveillant de ses spectateurs.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
La première partie de Gothika laisse augurer le meilleur : quelques effets chics et acérés, une photographie envoûtante de Matthew Libatique (...), un réel suspense et un casting de choix (...) Hélas, l'illusion ne dure qu'un temps : la surenchère visuelle devient pesante, rendant la peur factice.
Positif
par Fabien Baumann
Bonne nouvelle : après la catastrophe totale des Rivières pourpres, Mathieu Kassovitz manifeste de légers progrès. Enfin, disons modestement que Gothika développe une certaine cohérence chromatique autour du gris anthracite et réussit à ne pas trop déroger à sa ligne.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christian Jauberty
(...) Kassovitz (...) soigne les cadrages et les mouvements de caméra, met en valeur les comédiens et les décors, distille les ambiance, intègre les effets spéciaux, recycle les clichés et orchestre efficacement frissons et sursauts. Il parvient ainsi, souvent, à nous faire revenir dans l'histoire quand les lacunes du scénario menacent de nous larguer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Synopsis
par Virginie Apiou
La première heure (...) sans renouveler le genre, se révèle bien réalisée, rythmée, haletante et fantastique, donc. La dernière demi-heure doit allier efficacité visuelle et explication de l'intrigue, du dénouement (...) Trop de mots, trop d'informations à livrer dans des scènes devenues déséquilibrées.
Télérama
par Frédéric Strauss
Pas facile de faire décoller un scénario aussi raplapla (...) Un travail d'emballage assez anonyme, très en dessous de sa réputation méritée de filmeur talentueux. Il en reste quelques jolis éclats (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
(...) Kassovitz emploie un vocabulaire double : celui de Joel Silver, grand producteur du cinéma d'action américain (...) celui des Rivières Pourpres, et avec lui d'un certaine tendance de l'horreur à la française (...) Qui gagne ? La seconde image, hélas.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Tout à son plaisir d'en mettre plein la vue, le réalisateur a oublié que plus une intrigue est potentiellement débile, plus il convient de s'adjoindre les services d'un scénariste capable de transcender tous les clichés sur le conflit entre la raison et l'irrationnel et autres tartes à la crème bêtifiantes dont la modeste série B avait le bon goût de ne pas daigner s'encombrer.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Malgré l'atmosphère oppressante, angoissante du début, Gothika tourne très vite au film standard américain, qui n'apporte rien de nouveau au genre.
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Probablement tenu en laisse par le mogul Joel Silver, il (Mathieu Kassovitz) se contente de faire là où on lui dit de faire, d'éclairer son décor schock corridor en bleu métal (...) et de parsemer le tout d'effets horrifiques special discount avec une régularité de métronome.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Convenu et souvent ridicule dans son déroulement, Gothika pompe sans vergogne sur tous les récents films d'horreur sans y apporter la moindre touche personnelle.
L'Ecran Fantastique
Mathieu Kassovitz (...) insuffle véritablement à l'oeuvre toute sa puissance et son inventivité visuelle. Car, même si le sujet tient en haleine, il est loin d'être totalement innovant (...) une oeuvre maîtrisée de bout en bout, qui manque simplement d'un peu... de folie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Aden
Le talent de Mathieu Kassovitz donne le change. C'est aussi bien fabriqué qu'un standard du box-office, et tout aussi inconsistant dans le divertissement.
Chronic'art.com
(...) on sent le cinéaste tiraillé entre les exigences du genre et ses propres fantasmes. Et c'est là qu'il rencontre ses limites : à trop hésiter entre fascination pour un certain cinéma américain et volonté de se démarquer, il ne parvient pas à faire totalement sien le film (...)
Fluctuat.net
Cousue de bonne pensée hollywoodienne - voire d'intégrisme yankee - l'intrigue perd très vite de son attrait à mesure que les règles de ce fantastique se dévoilent (...) Multipliant les conclusions, Kassovitz finit par épuiser le plus bienveillant de ses spectateurs.
MCinéma.com
La première partie de Gothika laisse augurer le meilleur : quelques effets chics et acérés, une photographie envoûtante de Matthew Libatique (...), un réel suspense et un casting de choix (...) Hélas, l'illusion ne dure qu'un temps : la surenchère visuelle devient pesante, rendant la peur factice.
Positif
Bonne nouvelle : après la catastrophe totale des Rivières pourpres, Mathieu Kassovitz manifeste de légers progrès. Enfin, disons modestement que Gothika développe une certaine cohérence chromatique autour du gris anthracite et réussit à ne pas trop déroger à sa ligne.
Première
(...) Kassovitz (...) soigne les cadrages et les mouvements de caméra, met en valeur les comédiens et les décors, distille les ambiance, intègre les effets spéciaux, recycle les clichés et orchestre efficacement frissons et sursauts. Il parvient ainsi, souvent, à nous faire revenir dans l'histoire quand les lacunes du scénario menacent de nous larguer.
Synopsis
La première heure (...) sans renouveler le genre, se révèle bien réalisée, rythmée, haletante et fantastique, donc. La dernière demi-heure doit allier efficacité visuelle et explication de l'intrigue, du dénouement (...) Trop de mots, trop d'informations à livrer dans des scènes devenues déséquilibrées.
Télérama
Pas facile de faire décoller un scénario aussi raplapla (...) Un travail d'emballage assez anonyme, très en dessous de sa réputation méritée de filmeur talentueux. Il en reste quelques jolis éclats (...)
Cahiers du Cinéma
(...) Kassovitz emploie un vocabulaire double : celui de Joel Silver, grand producteur du cinéma d'action américain (...) celui des Rivières Pourpres, et avec lui d'un certaine tendance de l'horreur à la française (...) Qui gagne ? La seconde image, hélas.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Tout à son plaisir d'en mettre plein la vue, le réalisateur a oublié que plus une intrigue est potentiellement débile, plus il convient de s'adjoindre les services d'un scénariste capable de transcender tous les clichés sur le conflit entre la raison et l'irrationnel et autres tartes à la crème bêtifiantes dont la modeste série B avait le bon goût de ne pas daigner s'encombrer.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Malgré l'atmosphère oppressante, angoissante du début, Gothika tourne très vite au film standard américain, qui n'apporte rien de nouveau au genre.
Les Inrockuptibles
Probablement tenu en laisse par le mogul Joel Silver, il (Mathieu Kassovitz) se contente de faire là où on lui dit de faire, d'éclairer son décor schock corridor en bleu métal (...) et de parsemer le tout d'effets horrifiques special discount avec une régularité de métronome.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Convenu et souvent ridicule dans son déroulement, Gothika pompe sans vergogne sur tous les récents films d'horreur sans y apporter la moindre touche personnelle.