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Personnages-satellites, paquets sans haut ni bas, pendules qui ne concordent pas, éloge de l'ouverture et du flottement : Demain, on déménage, sous la feinte de son immobilité, est un beau chef-d'oeuvre sans amarres.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dialogues délicieusement absurdes sur fond de souvenirs tragiques, "vieux" vivant une relation heureuse et jeunes aux abois, romancière porno en panne d'inspiration (...), Chantal Akerman réussit une comédie où triomphe la convivialité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Superbement réglée par Chantal Akerman, une comédie grinçante et sautillante. Entre échos de burlesque et flonflons de musical, Demain on déménage dessine en pointillés une conscience juive marquée par la Shoah.
Ce qui déménage vraiment dans ce film et casse la baraque, c'est l'humour fou, un dérangement de fond qui vaut bien tous les ordres qu'on nous propose, et prioritairement la sommation d'être raisonnables.
Les différents duos finissent par se combiner selon cette harmonie secrète que Chantal Akerman cherche en tâtonnant, une sarabande désaccordée et juste.
(...) si on n'adhère pas au concept, le procédé de la mise en scène peut rapidement taper sur les nerfs. Mais il faut aussitôt ajouter que, même à trouver le film raté, on peut tout de même être séduit par la tentative audacieuse de cette comédie qui, en musique, cherche à capter, avant tout, la musique intérieure des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Fantaisie volontiers exaspérante, Demain on déménage mise beaucoup sur un rythme staccato, souvent trop mécanique. Dans la peau de Charlotte, Sylvie Testud est busterkeatonienne.
Il y a de jolis moments, des confidences, des rencontres. Mais ce film où il est question de déménager, de changer, de bouger, manque étrangement d'animation. La comédie reste amorphe. Les visites s'éternisent, les visiteurs ennuient. Dommage.
Akerman ne trouve pas toujours le bon tempo, et s'étire là où l'on souhaiterait la voir bondir. Mais elle a le sens de l'absurde haut en couleur. L'inadaptation de ses personnages aux objets les rend captivants. La beauté des dialogues et la grâce des rencontres forment une alchimie souvent étincelante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
A part l'éternelle justesse de Jean-Pierre Marielle et quelques scènes plus inattendues qu'originales, le film est à l'image des déménagements qu'il évoque : pesant. Si ses thématiques restent intéressantes (...), la légèreté bohème que Chantal Akerman tente d'insuffler à son film ne passe pas.
Chronic'art.com
Personnages-satellites, paquets sans haut ni bas, pendules qui ne concordent pas, éloge de l'ouverture et du flottement : Demain, on déménage, sous la feinte de son immobilité, est un beau chef-d'oeuvre sans amarres.
Le Monde
Dialogues délicieusement absurdes sur fond de souvenirs tragiques, "vieux" vivant une relation heureuse et jeunes aux abois, romancière porno en panne d'inspiration (...), Chantal Akerman réussit une comédie où triomphe la convivialité.
Les Inrockuptibles
Superbement réglée par Chantal Akerman, une comédie grinçante et sautillante. Entre échos de burlesque et flonflons de musical, Demain on déménage dessine en pointillés une conscience juive marquée par la Shoah.
Libération
Ce qui déménage vraiment dans ce film et casse la baraque, c'est l'humour fou, un dérangement de fond qui vaut bien tous les ordres qu'on nous propose, et prioritairement la sommation d'être raisonnables.
Première
Une comédie gonflée, c'est rare. Courez chez Akerman et sa mise en liquidation : on s'y amuse beaucoup.
Cahiers du Cinéma
Les différents duos finissent par se combiner selon cette harmonie secrète que Chantal Akerman cherche en tâtonnant, une sarabande désaccordée et juste.
L'Humanité
Acteurs et techniciens donnent le meilleur d'eux-mêmes. Chantal Akerman, à la baguette, conduit son petit monde d'une main assurée.
Aden
(...) si on n'adhère pas au concept, le procédé de la mise en scène peut rapidement taper sur les nerfs. Mais il faut aussitôt ajouter que, même à trouver le film raté, on peut tout de même être séduit par la tentative audacieuse de cette comédie qui, en musique, cherche à capter, avant tout, la musique intérieure des êtres.
Cinéastes
Fantaisie volontiers exaspérante, Demain on déménage mise beaucoup sur un rythme staccato, souvent trop mécanique. Dans la peau de Charlotte, Sylvie Testud est busterkeatonienne.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Il y a de jolis moments, des confidences, des rencontres. Mais ce film où il est question de déménager, de changer, de bouger, manque étrangement d'animation. La comédie reste amorphe. Les visites s'éternisent, les visiteurs ennuient. Dommage.
Positif
Demain on déménage se voudrait jeune, et c'est pour cela qu'il fait vieux.
TéléCinéObs
Si l'émotion finit par affleurer de la ronde des personnages que le film met en scène, la mécanique comique a, malheureusement, quelques ratés.
Télérama
Akerman ne trouve pas toujours le bon tempo, et s'étire là où l'on souhaiterait la voir bondir. Mais elle a le sens de l'absurde haut en couleur. L'inadaptation de ses personnages aux objets les rend captivants. La beauté des dialogues et la grâce des rencontres forment une alchimie souvent étincelante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
A part l'éternelle justesse de Jean-Pierre Marielle et quelques scènes plus inattendues qu'originales, le film est à l'image des déménagements qu'il évoque : pesant. Si ses thématiques restent intéressantes (...), la légèreté bohème que Chantal Akerman tente d'insuffler à son film ne passe pas.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com