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Note moyenne
3,5
16 titres de presse
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Africultures.com
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Aden
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Le Figaroscope
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Ouest France
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Paris Match
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Première
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Télérama
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Zurban
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Cahiers du Cinéma
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L'Express
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Le Monde
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Les Inrockuptibles
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MCinéma.com
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Score
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Studio Magazine
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L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Africultures.com
Le résultat est éblouissant et on se prend à observer la lumière, juger du vent, guetter les bruits, craindre ce soleil de plomb, autant d'insaisissables qui font la force d'un film dont le thème, d'apparence si différent, tient en haleine par une intrigue d'une efficace simplicité.
Aden
Un premier film ambitieux, entre fable et grand voyage documentaire au coeur d'une fascinante civilisation africaine.
Le Figaroscope
Charmante fable à portée universelle. Une plongée dans une culture ancestrale et méconnue dans les paysages grandioses du Kenya.
Ouest France
Entre fiction et documentaire, un voyage chaleureux dans les rites et les coutumes d'une civilisation ancestrale. Un conte initiatique par un cinéaste rodé au documentaire, un dépaysement rythmé par la musique généreuse du Rennais Yvan Cassar.
Paris Match
Magnifiquement photographiée, cette aventure ethnographique ne séduira peut-être pas ceux qui bavent devant les activités rocambolesques de personnages virtuels. Les autres seront touchés par l'âme de ces guerriers.
Première
Pari osé, pari gagné. Ce beau film world, à cheval entre fable ethnographique et film d'aventure, invite au voyage.
Télérama
Construit comme un jeu de piste, dont chaque étape correspond à une nouvelle épreuve, ce joli film d'aventures recèle un charme inédit, pour tous les publics.
Zurban
Si le film se laisse aller à une esthétique léchée façon carte postale et à une musique parfois trop lyrique, ce dépaysement absolu reste saisissant.
Cahiers du Cinéma
Pour un troupeau de vache par tête (montant du cachet avoué par le réalisateur Pascal Plisson dans le dossier de presse), le guerrier massaï interprète n'importe quel récit initiatique. Il n'a pas vu Le Roi Lion mais il a calculé Plisson, documentariste qui d'ordinaire l'interroge sur les bons plans pour filmer les animaux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Même si Massaï procède d'un amour véritable pour le peuple en question, un sentiment de gêne finit par s'installer, tant il semble que l'idée que se font les cinéastes de cette culture et de ce monde est plaquée sur les éléments de réalité qu'ils ont prélevés pour réaliser leur film.
Les Inrockuptibles
Quaisment un film publicitaire (...) pour une quelconque eau minérale. Mais il y a ces Massaïs qui jouent leur propre rôle dans ce film vierge de tout signe occidental à l'écran (une prouesse). Leur splendeur, leur présence, bref leur harmonie, sont irréfutables : d'irréductibles blocs de réel sur lesquels la fiction gentillette a peu de prise.
MCinéma.com
De toute évidence, cette fable aurait mérité d'être débarrassée de ses longueurs. Ne reste alors que quelques bonnes scènes et le charme naïf de jeunes guerriers sillonnant le désert pour éviter de sombrer. Les amateurs et les curieux apprécieront tout de même.
Score
Olivier Dazat, scénariste parisien casanier s'il en est, a eu le courage de se mouiller pour Pascal Plisson, réalisateur globe-trotter africophile, pour pondre cette fiction tant attendue où les massaïs se carton-pâtisent enfin. Le film aurait presque pu s'appeler "le fabuleux destin de merono Ole Mako".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
Massaï, les guerriers de la pluie, de Pascal Plisson, est à Jean Rouch ce que Richard Clayderman est à Mozart. Cette histoire africaine fondée sur des récits que l'on suppose mythiques témoigne d'un amoureux du continent noir et pourrait plaire, mais le parti pris esthétique (plans à l'hélicoptère, image somptueusement publicitaire et musique symphonique) rappelle davantage le Roi Lion que les Maîtres fous.