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On aime ce badinage Old school, où les vedettes se bécotent tendrement, où la romance prend le pas sur l'ordinaire et l'amour triomphe toujours.
Ici Deborah Kerr chipe le beau gosse face à sa rivale, Ava Gardner, une belle prouesse.
Les deux opposés se retrouvent mis dans la balance, on joue beaucoup sur ce thème dans le film, on oppose l'argent au bien être, la réussite à la cupidité, la domination à la liberté.
Le tout dans sur un ton survolté, où Gable, tout en assurance joue l'homme de la situation, où ces convictions seront ébranlées mais qui au bout du compte ne se laissera pas corrompre ni par les hommes, ni par le système.
Un vrai plaisir de voir tous ces acteurs se donner la réplique, voir la jeune Deborah Kerr étincelante et la belle Ava Gardner vampiriser tous son auditoire, quant à Gable, il joue sournoisement Gable. Une petite pépite à découvrir.
Ici Deborah Kerr chipe le beau gosse face à sa rivale, Ava Gardner, une belle prouesse.
Les deux opposés se retrouvent mis dans la balance, on joue beaucoup sur ce thème dans le film, on oppose l'argent au bien être, la réussite à la cupidité, la domination à la liberté.
Le tout dans sur un ton survolté, où Gable, tout en assurance joue l'homme de la situation, où ces convictions seront ébranlées mais qui au bout du compte ne se laissera pas corrompre ni par les hommes, ni par le système.
Un vrai plaisir de voir tous ces acteurs se donner la réplique, voir la jeune Deborah Kerr étincelante et la belle Ava Gardner vampiriser tous son auditoire, quant à Gable, il joue sournoisement Gable. Une petite pépite à découvrir.
traversay1
Une comédie romantique qui ne manque pas d'allure. Primo, parce que le fonds social y est primordial, les agences de publicité, vendeuses de vent, y sont joliment épinglées. Deuzio, parce que Clark Gable, impeccable, est secondé par une Deborah Kerr, au jeu tout en frémissements, contrepoint idéal. Tertio, parce que les seconds rôles y sont valorisés, incarnés par des acteurs d'un calibre supérieur, Sydney Greenstreet et Adolphe Menjou. Quarto, Ava Gardner y a un petit rôle de chanteuse où elle montre plus qu'un début de talent. Et tout ça fait un bon film, produit hollywoodien de moyenne gamme, divertissement adéquat pour oublier une humeur chagrine.
Ce film d'après-guerre rappelle un peu celui de la Dépression. On prend des acteurs mythiques de cette période : Adolphe Menjou, Edward Arnold et bien sûr certes avec quelques cheveux blancs et rides en plus mais le charme toujours intact, Clark Gable. Le tout avec du sang neuf représenté par le casting féminin, Deborah Kerr et Ava Gardner. Cela aurait pu fonctionner mais non, à cause d'un scénario décousu qui ne va nulle part ou un peu trop partout justement. La réalisation d'un tâcheron comme Jack Conway n'arrange rien à l'affaire. Reste que l'ensemble laisse entrevoir une critique pertinente du monde du travail où les employés sont des boules de nerf stressés par des patrons qui se complaisent dans le rôle de tyran. Ceci et le charme des comédiens sont les deux éléments que l'on peut sauver de cet ensemble râté.
Cette petite comédie, apparemment adaptée d'un sulfureux best-seller, très édulcoré dans cette adaptation (si j'en crois l'article en anglais de Wikipedia), peut passer pour un prequel de la série "Mad Men".
Clark Gable joue sans effort le rôle d'un Don Draper décidé à retrouver un emploi dans la publicité, de retour de la guerre. Les toutes jeunes Ava Gardner et Deborah Kerr, qui fait ses débuts à Hollywood, sont d'une beauté renversante. Les seconds rôles m'ont fait sourire.
J'ai moins aimé la réalisation, et la fin platounette, mais les acteurs et quelques bonnes répliques sauvent la mise.
Clark Gable joue sans effort le rôle d'un Don Draper décidé à retrouver un emploi dans la publicité, de retour de la guerre. Les toutes jeunes Ava Gardner et Deborah Kerr, qui fait ses débuts à Hollywood, sont d'une beauté renversante. Les seconds rôles m'ont fait sourire.
J'ai moins aimé la réalisation, et la fin platounette, mais les acteurs et quelques bonnes répliques sauvent la mise.
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