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Truman.
228 abonnés
1 364 critiques
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2,0
Publiée le 23 février 2013
Second film de la saga Deuce Bigalow et bien moins bon que le premier , humour lourdingue par moment ,une histoire nul avec des longueurs et beaucoup trop de chose repompé sur le premier . A voir uniquement si vous avez bien aimez le premier .
On prend les mêmes acteurs (pour ceux qui ont osé revenir), les mêmes gags trash et de mauvais goûts (plus ceux de la femme ayant un nez en forme de pénis, celle ayant eu un cancer de la gorge, homophobes, xénophobe, handicapés, vieux...) et on recommence. Sur la base d'un faux thriller (meurtre de gigolos à Amsterdam) et d'un semblant de scénario, on ose nous pondre une suite à un film qui n'en méritait pas. Ma note: 1,5/10
Deuce Bigalow : Male Gigolo était un film indigent mais sympathique, grâce au "talent" de Rob Schneider pour nous faire apprécier ses personnages, tous autant inintéressants les uns que les autres, mais toujours sympathiques. Certaines péripéties étaient plutôt drôles...
Là, c'est du zéro pointé. Nul, très très vulgaire, dirigé avec les pieds par Mike Bigelow, joué n'importe comment parce les collègues de Rob Schneider, toujours très sympathique, et Eddie Griffin, en vacances sur ce film-là, ce film ne vaut absolument rien... Ennui mortel alors qu'il ne dure que 80 minutes, j'étais affligé du niveau mais d'une mauvaise façon. Autant certains films m'amusent de leur nullité, que celui-là m'a passablement ennuyé. Til Schweiger est complètement nul. Moi qui me force à faire des critiques construites et basées sur des éléments du film, j'ai beaucoup de mal à ne pas céder la facilité et dire comme l'illustre Roger Ebert : ce film est douloureux.
C'est très dur à voir et le petit sourire fait très mal vu qu'il nous montre notre côté très bon public... J'ai rarement honte de rire à un film mais là...Nul, à éviter!
Six ans après Gigolo à tous prix, Rob Schneider revient pour une seconde aventure qui, comme la plupart des comédies américaines, se déroule cette fois-ci en Europe... Même constat que le précédent film, l'humour est gras et très porté sur le débilo-scato, les vannes sont faciles et les répliques écrites à la va-vite. En fait, cette séquelle ne fera vraiment rire que les ados qui se tuent aux ersatz d'American Pie depuis presque dix ans et/ou les fans de Rob Schneider. S'il y en a. Car, incapable de porter le film sur ses maigres épaules, l'acteur américain va être à nouveau épaulé de quelques acteurs tout aussi ringards avec en premier lieu Eddie Griffin, lui aussi de retour pour incarner un mac pas drôle que tout le monde prend pour un gay (alors qu'il veut simplement à chaque fois chercher quelque chose dans un pantalon masculin). Vous l'avez compris, Gigolo malgré lui ne propose rien de vraiment hilarant si ce n'est des passages incroyablement poussifs qui tournent vite en rond : Deuce continue de se taper des clientes improbables (une bossue, une femme avec des oreilles gigantesques, une autre avec un larynx artificiel, une bombe atomique souffrant de TOC exagérés...) et T.J. mange des frites tombées dans des toilettes avant de se faire attraper les boules par un chat. Hilarant. Ajoutons à cela les habitudes les plus extrêmes des Hollandais et vous aurez une comédie pas franchement désopilante que l'on regarde si on a vraiment rien de mieux à faire.
Malgré une affiche qui pouvait laisser craindre le pire - totalement nulle je trouve -, un certain nombre de scènes drôles permettent à cette suite de pallier à l'absence de véritable nouveauté scénaristique par rapport au premier volet. Peut-être le fait d'envoyer le "héros" en Europe pour les américains en était une, mais ça marche forcément moins pour le public européen. Heureusement, un certain nombre de gags me permettent de lui donner plus que la moyenne, étant quand même conscient que ce ne sera jamais un grand film comique.
Qu’est que c’est que ce gribouillis ? Un comique trash très soft pas terrible selon Rob Schneider, un touriste américain répandant la démocratie et la paix dans le monde en 2005, choisi comme destination l’Europe, terre de ses ancêtres en vacance rêvé chez le libéralisé pays bas de Van Gogh. Visitant les coffee ☕️shop menu dessert accro space cake, dégoûtante comédie, à vomir sans rire..... le scénario du club des beaux-mecs gigolos entretenus dans d’atroces souffrances physiques selon leurs critères.
Mesdames allons laissez pas vos jouets traîner dans ce film couche culotte.... et mentaux au plaisir regardant à supporter par le porte monnaie, aïe aïe aïe...... c’est quoi cette société de bronzage solaire artificiel ! Le suspect numéro un est le dernier sur la liste fiché au commissariat hollandais.
Cette comédie est une excellente surprise. L'histoire complètement loufoque et assez débile d'un gigolo américain venant étalonner ses talents à Amsterdam et se retrouvant confronté à tueur en série massacrant les prostitués fonctionne bien et donne lieu à de nombreux gags hilarants. La galerie de second-rôles apporte son lot d'éclats de rire et de politiquement incorrect (mon préféré étant probablement le gigolo écossais McManus qui est pour la pédophilie et contre l'hygiène intime entre chaque cliente). Un mauvais esprit et un humour très rafraîchissants. A voir !
suite de Gigolo à tout prix, les gags de ce film sont aussi lamentables que dans le premier, pourtant ça se regarde, sans doute parce que ça ne respecte rien, et que le politiquement correct en prend pour son grade, sans doute parce qu'une sorte de 36ème degré nous y fait trouver de l'intérêt. Il est même supérieur au premier, le côté moralisateur étant nettement moins appuyé et limite décalé. PS : J'ai bien aimé Monika Kuczewska, la présentatrice météo.
Une histoire prévisible, et à peine digne dune intrigue dun épisode de Scooby Doo, des gags gras... mais Dieu que c'est bon après une dure journée de travail...
Une bonne blague qui tourne au délir par moment. L'humour est ici très grossier. On tombe dans une affaire de prostitution, très mal choisi pour une comédie. On rigole bien parfois mais bon, blague de mauvais goût. Mais quand même un bon moment passé ;)
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1,5
Publiée le 30 novembre 2020
Chaque scène de ce film était presque l'équivalent d'une agrafe rouillée que l'on vous pousse sous les ongles. Est ce que c'est cela que Rob Schneider en est réduit à jouer. Le regarder déchaîner ses yeux brevetés dans un autre film mal conçu et mal scénarisé n'est pas sans rappeler le spectacle d'un hamster qui court sur une roue pour se faire plaisir ou pour attirer l'attention. Je suis en train de développer une technologie d'effacement de la mémoire pour oublier que j'ai été exposé à ca. Bien sûr si je le fais cela risque de m'envoyer voir par inadvertance un psychiatre. Mais même si mon esprit ne se souvient pas de la douleur mon âme mourra sûrement d'une mort atroce. Le simple fait d'écrire au sujet de Deuce Bigalow Gigolo malgré lui et de lui consacrer autant de temps et d'attention après tout ce qu'il m'a déjà pris me donne un sentiment d'impureté et j'ai besoin d'une bonne douche...