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Un visiteur
0,5
Publiée le 3 mars 2008
Je tiens tout d'abord qu'Ocean's eleven m'ayant bien distrait, j'ai donc visionné Ocean's twelve avec des apriori positifs et une simple envie de me détendre.
Mais non! Ce film m'a fait fulminer, je n'ai jamais vu un film aussi décousu et rempli d'incohérences. Rien dans ce film, rien n'est justifié. Il n'y a qu'une suite de faits tous plus gros les uns que les autres : rien n'est expliqué, tout simplement parce qu'il n'y a pas d'explications possibles ; les héros rencontrent le renard de la nuit et le marc (censés tout de même être inconnus super bien planqués, et même pour the marc, mort)comme si de rien n'était simplement parce que ça arrange les scénaristes(s'ils existent), la superflic devine tout pour la même raison et il en est de même pour le disciple du meilleur voleur de tous les temps dont la technique consiste en une escalade à mains nues d'un bâtiment, la providence qui fait que les unités de surveillance se disputaient et un numéro de danse pour éviter des lasers présentés dès le début comme une voie impossible et inenvisageable. Au début du film, on pense que le flou est laissé exprès, qu'on comprendra au fur et à mesure, on s'attend à des grandes révélations grâce à l'explication d'un plan bien calibré, à la Ocean's eleven
Enfin bref, ce film est simplement grotesque; on n'aura pas besoin d'en faire une parodie, on la tient déjà...(Et encore, bien trop longue pour être drôle)
Toujours aussi réjouissant que le premier, mais d'un niveau un rien en dessous, on retrouve notre bande de braqueurs amusants avec un plaisir monstre, des dialogues toujours très drôle et l'apparition de notre ami Bruce Willis qui ne rend le film que plus jouissif !
Moins bien que le premier, "12" est quand même un film de qualité. Il n'y a pas exactement de cibles pour les 11 d'Ocean, le passage avec Julia Roberts et Bruce Willis n'est rien d'autre qu'une grosse plaisanterie, il y a beaucoup moins d'action que dans "11"... Ce film méritent ses 3 étoiles pour son humour et sa musique. Et comme dans le premier opus, le seul acteur (ou plutôt actrice)qui fausse le film, c'est Julia Roberts.
Une suite de Ocean’s Eleven… un peu forcée. On a l’impression que le scénario a été écrit au fur et à mesure comme pour répondre à une question : « bon qu’est qu’on fait maintenant ? »… Des trucs trop pas croyables mais tout de même excellents. On retrouve bien l’esprit du groupe des 11 de Ocean… mais c’est quand même moins bon que Ocean’s Eleven.
OH non!!! J'avais adoré Ocean Eleven qui est un de mes films préférés !!! Mais ce Ocean Twelve ne sert a rien, il est completement sans interet. A fuir... Contentez vous de l'exellent Ocean Eleven.
Comment faire la suite d'un film sans refaire le même film ? Cet exercice difficile n'est pas entièrement réussi pour Steven Soderbergh. Trop rapide et même un peu confus, cette comédie policière manque de rythme. Elle est surtout intéressante à cause de la présence d'une belle tripotée de stars américaines et une française (Vincent Cassel) tous plus ou moins bons acteurs. Le scénario est en effet sans grande surprise. Il n'est pas vraiment convaincant et certaines scènes sont simplement irréalistes. En ne voulant pas se répéter, le réalisateur a voulu donné un air de franche comédie. De ce côté-là c'est presque gagné sauf qu'on ne rigole pas vraiment.
Un océan... de nullité. Les acteurs cabotinent à qui en fera le plus. Le scénario est indigent, seul le passage avec Julia Roberts fait preuve d'originalité et arrache quelques sourires. Le reste est affligeant. On se moque du spectateur mais visiblement il aime ça ce qui justifie une suite...
Un film étrange que cet Ocean's Twelve. Tout y est pourtant : les acteurs bien dans leurs baskets (oui, enfin leurs godasses à 5000 balles), le metteur en scène qui s'y croit (et ça tombe bien parce que nous aussi), le scénar... euh non, justement c'est là que ça coince. Certes on s'attendait (on espérait pas) une redite du premier volet, avec ses casinos, tout ça... Même, on est finalement agréablement surpris d'être dans la continuité du premier épisode (Benedict qui veut être remboursé avec les interêts), faisant de cet Ocean's un 11.1 plutôt qu'un 12... Finalement l'histoire est là, mais Soderbergh semble en avoir décidé autrement, basant tout le film sur ses mouvements de caméra et un montage puzzle. Pensant que ça suffira. Pour au final un bel emballage (avec une photo bizarrement vieillotte), mais une bouteille à moitié vide (ou pleine, c'est selon).
Pas aussi génial que Ocean's eleven, mais tout de même assez sympa. Filmé de manière un peu désinvolte par Soderbergh, le film, margré quelques grosses ficelles, reste assez bien foutu côté scénario : de ce point de vu là, il gagne d'ailleurs à être revu... Et puis le numéro des acteurs est toujours aussi jubilatoire.
Il fallait s'y attendre. Après le casse du siècle voici l'arnaque du siècle. Soderbergh et ses potes surfent sur le succès du premier opus en nous livrant une suite d'une platitude consternante. Même Vincent Cassel qui aurait pu sauver le film semble hors sujet. Mais le sommet de la supercherie est atteint au cours de la scène hallucinante entre Bruce Willis et Julia Roberts. Jusqu'où Soderbergh nous mènera t'il ? Personnellement je m'arrête là.
Après le braquage des trois plus grands casinos de Las Vegas, la bande de Danny Ocean s’était dispersée dans le but de pouvoir mener une petite vie bien au calme, mais c’était sans compter sur la détermination de Terry Benedict, bien décidé à récupérer son argent. Cette nouvelle aventure va réunir une fois de plus la bande des onze cette fois-ci sur le vieux-continent.
Trois ans après le premier opus, qui s’était avéré être une déception à demi-teinte, on retrouve l’intégralité du casting au complet dans un nouvel opus sans la moindre once d’originalité (on sait qui ils sont et ce qu’ils font), avec toujours ces quelques caméos (inutiles) disséminés ici et là, au cœur d’une intrigue faussement alambiquée et étirée à n’en plus finir. Le film est, comme avec le précédent, plombé par ce défilé de stars sous exploitées, dont pour certaines, se limitent à une simple apparition quand d’autres n’apparaissent qu’une poignée de minutes (Vincent Cassel). Un scénario bêtement alourdit et confusant avec la relation entre Brad Pitt & Catherine Zeta-Jones.
Steven Soderbergh donne constamment l’impression de réaliser un film de potes, réalisé qu’entre potes, une fiesta à laquelle on n’aurait pas été invité et où l’on se sent bien seul pendant 120min à les voir s’éclater dans leur entre-soi, toujours bien sapé et à leur maximum de la hype, pendant que notre frenchy s’entraîne à la capoeira… Un divertissement flemmard qui n’apporte rien de bien nouveau par rapport au précédent.