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basbi
38 abonnés
1 201 critiques
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2,5
Publiée le 4 janvier 2008
Cette suite se montre bien plus décevante que l'original. On s'attend au même concept que son grand frère mais qui au fur et à mesure du film part à la dérive. Une bonne déception.
Soderberg est un gars dévoré par l'ambition, et Océan's Twelve en est la démonstration la plus explicite. Le premier avait su proposer un cocktail réjouissant alliant humour, action et scénario sympathique. Il était en revanche sérieusement handicapé : l’œuvre ne fonctionnait qu'à la première vision, devenant terriblement ennuyeuse dès la seconde. Océan's Twelve, quant à lui, n'intéresse même pas à la première vision. On a reculé d'un pas en arrière en essayant d'escalader la pente avec trop de précipitation. Le scénario est très dense et très complexe, mais à rebours d'Inception, ne captive pas une seule seconde. Il est qui plus est embarrassé de dialogues redondants affichant un style marqué qui devient très vite saoulant, pour ne pas mâcher mes mots. Les personnages qui vomissent ces gags vides de sens à longueur de scènes sont interprétés sans la moindre conviction. Si cet imposant lot de stars a l'air de bien s'amuser, ils n'ont pas l'air d'accorder la moindre importance à leur rôle. La bande son est encore plus lassante, abrutissante, et soporifique que dans le premier opus, de l'action il n'y en a quasiment pas, elle a cédée sa place à des fragments d'actions (une voiture explose par ci, un sniper tire par là, on nous explique la moitié du plan du groupe et on nous montre un quart de sa réalisation pour nous en donner les clés quinze minutes plus tard quand on s'en fiche royalement). Quant à l'humour, j'ai déjà évoqué la tournure agaçante des dialogues, mais il y a des scènes qui atteignent des sommets de nullité : toute la séquence avec Bruce Willis se vautre lamentablement dans une comédie vaudeville qui fait peine à voir, et la danse du français pour éviter les laser est tellement kitsch qu'on pourrait la croire tirée d'un nanar tel Flash Gordon ! Échec quasi total. Seule la photographie en a dans le ventre.
quelle déception!!!, deux étoiles pour Vincent Cassel trés classe, et Georges que j'adore. Sinon, on a l'impression de voir un film, où les acteurs super heureux de se retrouver, s'éclatent entre eux et où le scénario a été oublié. Dommage avec un tel casting, tout les personnages sont très peu approfondis, et l'histoire est tellement fouilli qu'il n'y a aucune surprise. Soderbergh aurait du s'arrêter au 11.
Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? Autant le premier était un film très, très agréable, autant celui-ci est une déception franche. Le casting signe deux grands noms de plus, Zeta-Jones et Cassel - puis une participation de Bruce Willis - mais alors, quel scénario incohérent. Où est passé la fluidité et la sobriété d'Ocean Eleven ? C'est fastidieux, pire ça s'éparpille dans tout les sens ce qui fait qu'à l'inverse du premier, on décroche vite. Enfin, on ne retrouve pas l'inspiration qui faisait la merveille des 11 d'Ocean, notamment lors des scènes de la confection du plan. On notera l'humour qui teinte certains dialogues, qui saura nous faire sourire à quelques instants. Mais quel dommage, il y avait tellement mieux à faire.
Daniel Ocean et sa bande sont de retour et c'est encore réussi (un peu moins quand meme). Des rebondissements, des acteurs parfaits avec en plus notre frenchie Cassel et la belle Zeta-Jones. Bon moment de cinema. Merci soderbergh
assez ennuyeux ce second volet nous donne l'impression que la bande des 11 (devenu 12) est invinsible ce qui rend le sénario tiré par les cheveux et invraisemblable ....
Si vous avez aimé ocean'eleven, alors passez votre chemin ! un rythme en chute libre vous fera regretter le n°11...comme divertissement vous trouverez mieux sans trop chercher !
Cette fois ci la mayonnaise n'a pas pris, Catherine Zeta-Jones n'y changera rien. On a l'impression que les acteurs ne font pas d'efforts et comptent sur leurs charmes naturels. Mais les mimiques de Clooney et Pitt, l'air ahuri de Matt Damon ont un air déja-vu. Résultat : on s'amuse à peine et on se rend compte que la plus belle arnaque réussie c'est bien ce film.
Oceana's 12 est un film qui procure un plaisir rare et raffiné bien dans l'esprit de certains films des années 50-60. Comme dans Ocean'11, Soderbergh réussit une mise en abîme du travail de mise en scène en allant plus loin cette fois-ci, il brouille les limites entre réalité et fiction. Mais Ocean's 12 fait trop "film de potes" pour être un chef-d'oeuvre. Dommage mais pas tant pis.
Je me suis jamais autant ennuyée devant un film. Si Ocean's Eleven était vraiment passionnant, intéressant avec un rythme soutenue, Ocean's Twelve et tout autre ! J'ai dû regarder le film en 2 fois tellement je m'ennuyais et la 2ème fois j'ai survolé le film. Déjà l'intrigue de base ne vole pas haut, ils se sont pas foulés pour trouver une bonne raison de faire un 2ème film. Il y a tellement de plot twist dans le film qu'on fini par s'y perdre et ne plus rien comprendre. A un certain moment j'ai arrêté de réfléchir par ce que y avait beaucoup trop de retournements de situation tous plus insolites et incohérents les uns que les autres (spoiler: l'histoire de Julia Roberts, Bruce Willis et la mère de Linus entre autres ). On a aucune évolution chez les persos et si dans le 1er opus on découvre les talents et qualités de chacun, ici tout est mis de côté. A part Danny, Rusty et Linus les autres ne servent à rien et leur spécialités ne sont pas mis à profit. Sans parler de la manière de filmer. D'habitude je critique pas cet aspect d'un film par ce que je m'y connais pas du tout, mais alors vraiment pas. Mais là la caméra du réalisateur bougeait tellement, sa manière de filmer était dérangeante, on aurait dit que la moitié du film était tourné avec une caméra sur l'épaule et que le caméraman passait son temps à bouger de tous les côtés.
Bref, si Ocean's Eleven était très bon, Ocean's Twleve est une véritable catastrophe.
Trois ans après avoir dévalisé la chambre forte du Bellagio, Danny Ocean mène une vie tranquille avec Tess. Mais son passé le rattrape, sous la forme de Terry Benedict : il sait qui a vidé ses caisses. Danny et son équipe n’ont pas le choix : ils vont devoir rembourser Benedict, c’est-à-dire 160 millions de dollars plus les intérêts ; sinon, ça va mal finir pour eux. Danny et ses associés vont devoir trouver les 97 millions de dollars manquants en moins de deux semaines. spoiler: Adieu Vegas, direction l’Europe ! Danny et son équipe vont passer aux Pays-Bas, en France et en Italie. Plus de casino ; place aux œuvres d’art. C’est toujours l’occasion d’échafauder des plans extraordinaires. Vous l’avez remarqué : Il y a une personne de plus dans l’équipe de Danny.spoiler: En effet, Tess Ocean aura un rôle à jouer dans l’histoire. Mais ce n’est pas si simple, car les membres de l’équipe originale ne seront pas tous disponibles simultanément : Frank Catton va passer l’essentiel du film en prison, alors que Danny va engager Roman Nagel, un expert en technologie . Le point fort du premier film est son casting ; cette suite en rajoute une couche, avec l’arrivée de Catherine Zeta-Jones, en inspectrice tenacespoiler: (et accessoirement ex de Rusty) , Vincent Cassel est François Toulourspoiler: alias le Renard de la Nuit, rival capricieux de Danny Ocean , et Robbie Coltrane est un indic.spoiler: En fait, c’est à cause de Toulour que Ocean et son équipe en sont là. C’est lui qui a lancé Benedict à leurs trousses ; il avait besoin d’eux aux abois pour leur lancer un défi : voler l’œuf de Fabergé, ce qui permet de savoir qui est le meilleur.
Le film perd beaucoup son tempsspoiler: entre les visites de Benedict à chaque membre du groupe (une dizaine, donc) et le premier coup du film, qui ne sert qu’à présenter Toulour et à mettre Interpol sur la trace d’ Ocean and co. spoiler: C’est nécessaire, mais trop long. Le film perd progressivement de son intérêt, ce jusqu’à ce que les membres restants de l’équipe (la majorité étant en prison) se retrouvent aux abois. Ils ont alors un plan foireux qui spoiler: consiste à faussement briser le quatrième mur et faire passer Tess Ocean pour Julia Roberts. Sauf qu’ils ne pouvaient pas prévoir l’arrivée de Bruce Willis ! Ceci réveille d’un coup le film.spoiler: Finalement, on découvre que Danny a réussi le défi et que ce que l’on a vu est un gigantesque coup de bluff pour berner Toulour. Cette révélation tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. En plus, on nous ressert le coup des lasers visibles.
Un film un peu ennuyeux, avec de rares bonnes idées.