Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un suspense à tiroirs astucieusement agencé, où tout le monde double tout le monde avec allégresse, d'amusants pastiches, des dialogues pétaradants, des numéros d'acteurs épatants (...) un tempo élégamment décontracté que souhaiter d'autre à un bon divertissement ? C'est la fête !
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Soderbergh revient en force (c'est un euphémisme) et signe un film majeur pour lui et pour nous. La classe, la vraie.
Aden
par Philippe Piazzo
Si la dernière demi-heure faiblit un peu (...), Soderbergh remplit sa mission impossible : faire un cinéma récréatif, à la fois personnel et populaire, irrévérencieux mais totalement hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
par Richard Gianorio
Un film élégant, délectable et pétillant comme un Bellini servi dans un palace italien. Ocean's Twelve n'est pas un film de casse qui reposerait sur l'action mais un pur divertissement qui laisse la part belle aux gags et au comique de situations.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
Le cinéaste s'est encore une fois approprié à merveille cet univers en introduisant ses thématiques habituelles. Il cultive volontiers la dérision du star-system et convie ses comédiens à une enthousiasmante partie de ping-pong entre la fiction et la réalité. Le virtuose s'est humblement reposé sur une mise en scène discrète. En revanche, il a ciselé ses dialogues souvent drôles.
L'Obs
par François Forestier
Ocean's twelve renoue avec la tradition des voleurs élégants. (...) Il ne reste plus qu'à attendre "Ocean's Thirteen" (...). Comme "Ocean's twelve", ce sera un (bip) film sympa.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Florence Colombani
Une pointe de cynisme, beaucoup d'hédonisme, assez d'élégance pour que nul ne se sente exclu : le cocktail est trop rare pour ne pas être savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Il y a (...) du spectacle, de la détente, du mouvement et du rebondissement dans un scénario efficacement charpenté pour bien se démarquer du premier épisode. Steven Soderbergh en fait un usage habile, avec sa troupe radieuse, pour jouer la séduisante partition d'un cinéma de plaisir et de divertissement.
Zurban
par Olivier Pélisson
Loin de se contenter d'une virtuosité technique qui fait mouche, le cinéaste enrichit son second tome grâce à un traitement plus approfondi des personnages, qui ont tous droit à leur moment de gloire.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
le film lui-même : à la fois très creux, foutu très foutraquement (...) avec une caméra portée légère comme la cravate satin de Brad, et finalement plaisant comme un bonbon light, pas plus, mais pas moins. Comédie plus que polar, qui s'attache à l'éloge d'un chic qu'on dira beverlyhillsien -c'est dire s'il y a mieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Suite faiblarde d'Ocean's eleven. Mais tuerie absolue pour tous les casting directorss de la planète. Seule bonne nouvelle: ce 12 s'épuise tellement dans une ronde de clichés et d'avatars surjoués et autoadmiratifs qu'on peine à imaginer qu'un 13 encore plus décadent soit envisageable. Quoique.
Libération
par Didier PERON
Cette fois, le film n'est que le véhicule à autodérision pour le gotha du star-system hollywoodien (...).La plupart des gags ont l'air d'avoir été créés deux minutes avant le clap et le côté débraillé du film en fait aussi le charme. (...) Dans une période où les derniers récalcitrants à l'antiaméricanisme ont fini par virer leur cuti, Soderbergh reste le meilleur ambassadeur d'un certain impérialisme cool US ; difficile de ne pas avoir envie de faire partie de la bande.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Dès les premières minutes du film, il est impossible de ne pas être fasciné par la facilité avec laquelle ces personnages affaiblis prennent corps en quelques dialogues, relayés par une réalisation efficace et une mise en danger enthousiasmante. Cependant, malgré l'indéniable jouissance face à un tel spectacle, une lacune de classe " old school " et un scénario faussement alambiqué plombent le récit.
Paris Match
par Alain Spira
Ce nouvel épisode ressemble à un gros club sandwich débordant de tous les ingrédients d'un succès populaire (...). Le cahier des charges est respecté, mais l'ensemble laisse sur sa faim.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un suspense à tiroirs astucieusement agencé, où tout le monde double tout le monde avec allégresse, d'amusants pastiches, des dialogues pétaradants, des numéros d'acteurs épatants (...) un tempo élégamment décontracté que souhaiter d'autre à un bon divertissement ? C'est la fête !
aVoir-aLire.com
Soderbergh revient en force (c'est un euphémisme) et signe un film majeur pour lui et pour nous. La classe, la vraie.
Aden
Si la dernière demi-heure faiblit un peu (...), Soderbergh remplit sa mission impossible : faire un cinéma récréatif, à la fois personnel et populaire, irrévérencieux mais totalement hollywoodien.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Un film élégant, délectable et pétillant comme un Bellini servi dans un palace italien. Ocean's Twelve n'est pas un film de casse qui reposerait sur l'action mais un pur divertissement qui laisse la part belle aux gags et au comique de situations.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Le cinéaste s'est encore une fois approprié à merveille cet univers en introduisant ses thématiques habituelles. Il cultive volontiers la dérision du star-system et convie ses comédiens à une enthousiasmante partie de ping-pong entre la fiction et la réalité. Le virtuose s'est humblement reposé sur une mise en scène discrète. En revanche, il a ciselé ses dialogues souvent drôles.
L'Obs
Ocean's twelve renoue avec la tradition des voleurs élégants. (...) Il ne reste plus qu'à attendre "Ocean's Thirteen" (...). Comme "Ocean's twelve", ce sera un (bip) film sympa.
Le Monde
Une pointe de cynisme, beaucoup d'hédonisme, assez d'élégance pour que nul ne se sente exclu : le cocktail est trop rare pour ne pas être savoureux.
Ouest France
Il y a (...) du spectacle, de la détente, du mouvement et du rebondissement dans un scénario efficacement charpenté pour bien se démarquer du premier épisode. Steven Soderbergh en fait un usage habile, avec sa troupe radieuse, pour jouer la séduisante partition d'un cinéma de plaisir et de divertissement.
Zurban
Loin de se contenter d'une virtuosité technique qui fait mouche, le cinéaste enrichit son second tome grâce à un traitement plus approfondi des personnages, qui ont tous droit à leur moment de gloire.
Chronic'art.com
le film lui-même : à la fois très creux, foutu très foutraquement (...) avec une caméra portée légère comme la cravate satin de Brad, et finalement plaisant comme un bonbon light, pas plus, mais pas moins. Comédie plus que polar, qui s'attache à l'éloge d'un chic qu'on dira beverlyhillsien -c'est dire s'il y a mieux.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Suite faiblarde d'Ocean's eleven. Mais tuerie absolue pour tous les casting directorss de la planète. Seule bonne nouvelle: ce 12 s'épuise tellement dans une ronde de clichés et d'avatars surjoués et autoadmiratifs qu'on peine à imaginer qu'un 13 encore plus décadent soit envisageable. Quoique.
Libération
Cette fois, le film n'est que le véhicule à autodérision pour le gotha du star-system hollywoodien (...).La plupart des gags ont l'air d'avoir été créés deux minutes avant le clap et le côté débraillé du film en fait aussi le charme. (...) Dans une période où les derniers récalcitrants à l'antiaméricanisme ont fini par virer leur cuti, Soderbergh reste le meilleur ambassadeur d'un certain impérialisme cool US ; difficile de ne pas avoir envie de faire partie de la bande.
MCinéma.com
Dès les premières minutes du film, il est impossible de ne pas être fasciné par la facilité avec laquelle ces personnages affaiblis prennent corps en quelques dialogues, relayés par une réalisation efficace et une mise en danger enthousiasmante. Cependant, malgré l'indéniable jouissance face à un tel spectacle, une lacune de classe " old school " et un scénario faussement alambiqué plombent le récit.
Paris Match
Ce nouvel épisode ressemble à un gros club sandwich débordant de tous les ingrédients d'un succès populaire (...). Le cahier des charges est respecté, mais l'ensemble laisse sur sa faim.