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    The Party
    Note moyenne
    3,8
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    156 critiques spectateurs

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    thewall
    thewall

    13 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Cette grande comédie de Blake Edwards repose entièrement sur le génie comique de Peter Sellers. On y trouve notamment un certain nombre de gags anthologiques (le rouleau de papier toilette), mais l'ensemble ressemble beaucoup à un exercice de style qui, finalement peut paraître assez vain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    The party est une comédie très drôle surtout. A ne pas manquer pour tout ceux qui aiment les films marrants
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    The party, c'est d'abord le meilleur film de Black edwards . C'est aussi le meilleur film du regretté Peter Sellers et pour finir c'est Ma comédie culte.
    C'est drôle, on se banane devant les gags souvent visuels de sellers (il devait aimer Jacque Tati)Le coté Babacool rajoute un plus à l'ambiance générale

    C'est du Prozac sur grand écran, un hymne aux fou rire, a voir en VO pour le léger accent hindy de sellers
    twingolot
    twingolot

    23 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un chef-d'oeuvre qui partait du bon pied puisqu'il constituait le point culminant de la collaboration Edwards/Sellers. Force est de constater que leurs productions suivantes sont plutôt allées en déclinant, aussi délicieuses soient-elles. A contrario, « The party » marquait la mise en scène d'un comique abouti, introduisant avec finesse sa dose d'amertume. Un comique si magistralement orchestré qu'il en sortait comme la seule démonstration vraiment convaincante pour venir critiquer les dérives d'une société, à la façon de notre Beaumarchais national. Avec son sens de l'ironie tout particulier, Edwards venait mettre la lumière sur tout le ridicule de l'Hollywood de l'époque, passant sérieusement à tabac les producteurs véreux et les stars à la gueule de jeune premier. Le milieu est décrit comme incroyablement corrompu, matérialiste au point que seule compte l'apparence (par contre tout est permis dans la caravane...), inévitablement cruel (à briser les carrières de ses propres stars, telle Claudine Longet qui livre là une performance poignante dans un rôle pas si éloigné de sa propre situation finalement...). Un système vain surtout. Car tout ça le duo Edwards/Sellers va nous le mettre K.O. en 1h30, usant à merveille de la magie du cinéma comique. Ce par le biais d'un personnage venu d'ailleurs (du cinéma muet de Buster Keaton on serait tenté de dire) : un personnage silencieux, maladroit, courtois malgré tout, tendre... Le moindre gag va être est poussé à l'extrême, avant que la situation ne s’apaise doucement pour repartir de plus belle. D'autant plus jouissif que le duo ne se pose aucune limite, « la party » laissant place à un grand n'importe-quoi, mâtiné de dialogues décalés. Un bordel qui va aller crescendo dans son invraisemblance, accompagné tout en rythme par la musique entraînante de Mancini (à l'image de cette scène aussi absurde que délicieuse où un orchestre continue de jouer alors que la mousse-du-bain-de-l-éléphant est en train d'envahir la scène). Parmi la flopée de films relatant la glorieuse épopée des années 60, "The party" est peut-être celui qui dégage la plus grande nostalgie. Un film qui est tout logiquement entré au panthéon du cinéma comique, et ce fut par la grande porte.
    Caine78
    Caine78

    6 741 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Il y a des institutions avec lesquelles on a, parfois, un peu de mal : « The Party » en fait (légèrement) partie. Pourtant, les qualités ne manquent pas : superbe scène d'introduction, Blake Edwards au sommet de son art, décors exploités de façon exceptionnelle, régal visuel et, bien sûr, Peter Sellers ayant immortalisé le rôle... D'ailleurs, mon manque d'implication s'est fait par étapes : un gag ne m'ayant pas fait rire, puis deux, puis trois... C'est incontestablement ça qui a plombé mon plaisir : l'œuvre ne m'a que rarement fait rire, son humour répétitif et très physique, gestuel (très peu de dialogues) ayant sa cohérence, sans que j'y sois sensible. Et comme le film s'appuie presque intégralement sur cette logique, difficile de ne pas se lasser, voire de s'ennuyer au bout d'un moment, à l'image de scènes souvent trop longues... Heureusement, Edwards reste Edwards, et de temps en temps, il y a un éclair, une idée qui fuse, la superbe musique d'Henry Mancini et la douceur de certaines scènes nous plongeant parfois dans un bien-être inattendu... Et le dénouement, malgré quelques minutes en trop, permet d'instaurer une vraie folie, de faire réellement spoiler: exploser ce microcosme hollywoodien mondain et superficiel au possible
    . On termine ainsi sur une bonne note, d'un côté satisfait d'avoir vu s'exprimer autant de talents conjugués, tout en regrettant qu'ils n'aient pas su nous procurer (nettement) plus de plaisir : un classique dans lequel je ne me reconnais qu'à moitié.
    ronny1
    ronny1

    37 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2017
    Démoli à sa sortie par une partie de la critique des deux côtés de l'Atlantique (Télérama - pour et contre, Les cahiers du cinéma, Ciné Book (devenu TV Guide), Film & Review, etc.…) et encensé par l'autre moitié (Positif en tête), The Party est devenu une référence, même si quelques "cas" isolés (TV Guide par exemple) démolissent encore le film. C'est incontestablement une des grandes réussites comique du septième art justifiant pleinement le qualificatif de chef d'œuvre. D'une succession de gags répétitifs ayant tous la maladresse de Hrundi V. Bakshi (Sellers) comme point de départ, Edwards réussit le tour de force de faire un film mariant une drôlerie aussi irrésistible que continuelle à une poésie romantique et mélancolique (cet aspect doit beaucoup à l'interprétation fragile de la chanteuse Claudine Longet dont c'est le seul grand rôle au cinéma) en passant par une fine analyse sociale du monde hollywoodien. Du remake de Gunga Din à la fin effectivement en bulle de savon, Hrundi V. Bakshi, mélange indien de l'inspecteur Clouseau, de Buster Keaton et de Charlie Chaplin (l'influence de Peter Sellers), enchaîne les gags (la destruction du décor, la chaussure, le papier toilette, le détergent, pour ne citer que les principaux) et les situations surréalistes (l'hindou qui imite un indien), les trouvailles délirantes (The Birdie Num Num), les dialogues absurdes, les répliques très à côté de la plaque (- "vous êtes meshouge" – "je ne suis pas votre sugar") et les soi-disant proverbes indiens ("Wisdom is the province of the aged, but the heart of a child is pure"). Le point culminant de l'œuvre de Blake Edwards et sans doute le meilleur film avec Peter Sellers juste après le DOCTEUR FOLAMOUR de Kubrick.
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