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Maqroll
164 abonnés
1 123 critiques
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4,5
Publiée le 11 août 2010
Pour ce huitième film chez la Mutual, Charlot est tout d’abord serveur en brasserie. En salle et en cuisine, il enchaîne les fausses maladresses (les portes battantes, les cocktails…) qui se retournent inévitablement contre les clients ou ses collègues… La deuxième partie donne son titre au film en retenant l’attention et les mémoires : sur une patinoire attenante, Charlot montre une fois de plus ses dons d’acrobate et ridiculise ses adversaires sur la glace grâce à quelques figures de haute volée où l’adresse rivalise avec l’esthétique… Rencontrant alors la belle Edna (Éternelle Edna Purviance), il est invité à une soirée où il se fait passer pour un aristocrate (rappel de Charlot et le Comte)… Là, on patine encore et à la fin, malgré l’arrivée des policiers (échappés d’Easy Street ?), c’est toujours Charlot qui gagne et le gros méchant qui perd ! Même si le scénario n’est pas un modèle de construction et d’équilibre, c’est un film qui dégage une énergie phénoménale et la terrible envie de vivre de Chaplin, réjouissante et communicative.
Court métrage moyen de la part de Charlie Chaplin qui se met en scène lui-même, incarnant son personnage de Charlot. L'humour est moins présent que dans certains films de Chaplin, le scénario et l'intrigue principale sont un peu plus fouilli on a du mal à y voir un scénario clair. C'est en fait plus une série de gags à la suite qu'autre chose. Ce n'est pas déplaisant mais c'est dommage. La musique est néanmoins géniale et entrainante.
Un chef d'oeuvre. La patinoire est l'un de ses courts-métrages avec Charlot machiniste et the floorwalker ( le chef de rayon). Voir Charlie Chaplin patinait sur glace , c'est trop marrant. Ses grands films sont Le Dictateur ,Les Temps Modernes , Les Lumières de la ville avec Paulette Goddard.
Une suite de quiproquos très drôle : Charlot sème la zizanie le temps de quelques scènes virtuoses, que ce soit au restaurant ou à la patinoire. Le nombre important de personnages permet de maintenir un rythme élevé tout au long du film grâce à un montage alternant les scènes de chacun, jusqu'à la rencontre de tous lors de l’apothéose à la fête. Chaplin parvient encore une fois à faire rire avec dextérité et sans lourdeur, en n'utilisant que quelques plans fixes et un jeu d'acteur mémorable.
C’est à chaque fois un réel bonheur de visionner un court-métrage de Chaplin. Les gags sont très drôles et les protagonistes ont un sacré mérite. Les cascades qu’ils effectuent sont parfois dangereuses, et ils les pratiquent. Un très amusant court-métrage, même si ce n’est pas le meilleur.
Charlot Patine(The Rink) est un court métrage réalisé par Charles Chaplin en1916. Impayable en maitre d’hôtel Charles Chaplin réalise des prouesses : le gag du « shaker » n’est exécutable par aucun autre acteur ; son numéro de patin à roulette est tout aussi gracieux que performant. Le scénario très bien écrit nous délivre une collection de gags dont de nombreux se révèlent grandioses. Chaplin, fantastique comédien, est bien entouré par la jolie Edna Purviance et du pittoresque Eric Campbell dans le rôle de Mr Stout. Une comédie burlesque à voir ou à revoir.
Un des classiques impérissables de Chaplin dans sa période court-métrages. Idée géniale de mettre Charlot sur des patins. Cela permet de souligner encore mieux sa pantomine et son inimitable façon de se mouvoir à l'écran. La partie dans le restaurant est également irrésistible.
Parmi les douze films que Chaplin a écrit, produit et réalisé chez la Mutual Film Corporation figure "Charlot Patine" sorti en décembre 1916. D'une durée de quatorze minutes, celui-ci permet de voir notre héros dans le costume de celui qui le fera accéder à la célébrité, d'abord en serveur catastrophique puis reconverti en patineur virtuose. Un peu poussif comparé à d'autres, ce n'est pas le court-métrage le plus représentatif de la série Charlot.
Charlot Patine (1916) est un court-métrage d'une vingtaine de minutes, où Charles Chaplin met en scène Charlot dans toutes sortes de situations, dont celles où il est serveur et où il accumule les bourdes toutes plus importantes les unes que les autres (notamment la première séquence qui est mémorable, celle de l'addition). Le film prend une toute autre tournure lorsqu'il chausse ses patins, Charles Chaplin donne alors une toute autre dimension à son personnage aux côtés de Edna Purviance.
Une fois de plus Charlot fout un beau bordel, malgré cela ce n'est toujours pas génial, ça reste toujours bien maîtrisé, très bien foutu et sympathique mais niveau histoire c'est encore une fois un peu trop long.
13 955 abonnés
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3,5
Publiée le 19 juin 2024
Encore un court-mètrage très drôle de et avec Charlie Chaplin! Bien avant les cocktails de Tom Cruise et Bryan Brown, il y avait ceux de Charlot qui pousse même la conscience professionnelle jusqu'à prendre quelques risques au niveau des acrobaties! Telle la fameuse sèquence au « skating » qui doit le conduire à être sur des patins à roulettes! On n'a d'ailleurs l'impression qu'il a fait ça toute sa vie! Autre moment culte de "The Rink" (1916) : le service en salle! Bref aucun temps mort n'est à signaler dans ce classique du genre...
Aurait pu s'appeler "Charlot serveur" car la première partie n'a rien à voir avec le titre. Elle est d'ailleurs franchement amusante et les gags sont forts. L'autre partie rajoute un peu de danse. Sympa
Ce serait un bon court métrage car il y a vraiment de l'humour et un intérêt à voir du patinagespoiler: j'aime assez l'image où ils sont 4 face à la caméra en patins et se rendent compte chacun de leur mauvaise position surtout vis à vis d'Edna si ce n'était pas du burlesque assez inepte bourré des clichés surtout mauvais du genre. Une histoire peu compréhensible faite d'impostures et de mauvais coups. Au royaume de truanderie Charlot démontre une fois de plus qu'il est roi. Mais même si c'est Charlot qui a fait sa célébrité ce n'est pas ce qui fera de Charlie Chaplin une icône du cinéma car ces prémices ne sont pas celle d'un génial réalisateur mais d'un bouffon.
Un court-metrage de Charles Chaplin qui nous fait rêver et nous donne envie de patiner, Edna Purviance comme dans tous ses courts-métrage de Charlot: déteste le méchant et aime Charles Chaplin. Toujours victime d'une maladresse mais toujours incroyable.