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Julien D
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2,5
Publiée le 8 mai 2014
Enorme succès à sa sortie en 1980, ce petit film d’horreur réalisé avec un budget modeste est devenu l’archétype même de ces filons commerciaux exploités jusqu’à l’épuisement. Simple slasher sans prétention, Vendredi 13 et le personnage de Jason Voorhees qu’il introduit (sans le montrer), continuent pourtant à susciter, près de 35 ans et une douzaine de films plus tard, l’admiration des amateurs de cinéma horrifique au même titre que les deux autres boggeymans légendaires, le Mickael Myers de Halloween et le Freddy Kruegger des Griffes de la nuit. Et pourtant aujourd’hui, ce premier volet de cette (trop) longue saga n’est plus qu’un navet incroyablement kitch, aussi mal filmé que mal joué et sans réel scénario. Et pourtant, la tension que réussit à maintenir la musique entêtante d’Harry Manfredini et le personnage dérangeant de la mère schizophrène peuvent encore faire leur effet sur les fans désireux de redécouvrir les origines d’une franchise qui n’a plus rien à offrir depuis belle lurette.
Quel dommage! Considéré comme l'une des références pour les puristes du cinéma horrifique, on se retrouve ici avec une oeuvre possédant des qualités indéniables mais qui restent largement dominés par un sentiment amer. Pourtant, le début semblait prometteur tant par l'idée de faire du tueur une personne invisible au spectateur que la pléiade de personnages représentant les habitants de Crystal Lake et qu'on peut considérer comme potentiellement suspect. Seulement l'idée s'arrête en bon chemin délaissant complètement cette idée que tout le monde peut être coupable pour se concentrer sur un groupe de jeunes idiots qui vont mourir un par un d'une façon totalement débiles et ce, toutes les 10 minutes. Un slasher ronflant qui entraîne avec lui une succession de clichés sans précédents. Tellement idiot que les personnages ne sont pas antipathiques aux yeux du spectateur ce qui entraîne en lui, ennuie. L'ennuie dure une bonne heure jusqu'à la course poursuite de fin dès plus ridicule.... Un bon point sur l'atmosphère est tout de même à signaler (le camp est isolée donnant lieu à une atmosphère angoissante) et sur l'apparition furtive de Jason.... Je m'attendais à plus pour un classique !
Le meilleur des Vendredi 13. La musique est très bonne. L'histoire l'est aussi. Surprenant et gore ! Mais bon les gamineries des jeunes sont un peu lassantes.
La seule scène qui aurait pu être intéressante est celle du strip-monopoly. Malheureusement elle est interrompue et en plus, je n'ai rien compris aux règles.
Ça commence plutôt bien, le réalisateur joue avec nous au jeu de "Qui c'est qui va y passer ?" et "Comment il va y passer". Et ça fonctionne plutôt bien pendant presque une heure, les acteurs n'ont pas grand-chose à faire, la caméra subjective et la petite zizique sont très efficace. Sauf que le scénariste a fait un mauvais choix en tuant tout le monde sauf une rescapée pendant la première heure. Reste donc pour la dernière demi-heure Alice (Adrienne King) qui est bien mignonne mais qui ne sait pas jouer et la méchante qui se dévoile (Betsy Palmer) et lui donne la réplique mais qui ne joue pas mieux. Cette dernière partie sombre dans le ridicule le plus grotesque..
Un discours sous-jacent et inconsient ultra puritain et misogyne, c'est ce qui fait de ce film un chef d'œuvre de son époque. Le dénouement est un des meilleurs de l'histoire du cinéma d'horreur, et les meurtres couleur rouge sang et qui sentent bon le latex de Tom Savini sont ultra jouissifs.
Ce film culte de l'épouvante a très très mal vieilli. Il faut dire que la qualité visuel et le montage de ce nanar est plutôt médiocre. Le scénario est creux et ne tient pas le spectateur en haleine. Les scènes de meurtres sont prévisibles et bien décevantes. Le suspense tourne à plat dû très certainement aux mauvais jeux des acteurs qui arrivent même à cligner des paupières alors qu'ils sont normalement morts. Les fans de la première heure comme moi seront déçus par la relecture du film 30 ans après et la nouvelle génération passera leur chemin.
Tout à été dit ou presque sur ce classique qui m'a agréablement surpris lorsque je l'ai vu .Les ingrédients sont là et la sauce prend jusqu'au final assez innatendu. Un must qui fait passer d'autres films du même genre pour de vieux plats réchauffés, du grand cinéma d'épouvante.
certain critique ce film tres mal croyant que psychose et le premier slasher de tous les temps helas le premier etant le voyeur qui est egalement un snuff movie le premier qui a existé vendredi 13 n'a jamais copié halloween sean s'est inspiré seulement ce film est un chef d'oeuvre qui su faire peur durant de nombreuse annee qui d'ailleur etait le film le plus rentable au monde il a su codifié le genre avec halloween et surtout massacre a la tronçonneuse rappelons que vendredi 13 est sorti en 1979 de base et non en 1980 le scenario est assez original la bande son restera sublime avec son celebre tchi tchi tchi tchi ha ha ha ha surtout que l'intrigue est douteuse lorsque que l'on pense que spoiler: jason est le tueur venu se venger tendis que c'est sa mere qui le venge alors qu'en realite jason est toujours vivant et voit sa mere se faire decapité la premiere fois que l'on fois le film on ne s'y attend pas psychose a su faire connaitre le genre slasher en inventant ses regles lors que en 1974 black chrismas et massacre a la tronconneuse commence a le codifier enfin pref a voir et a revoir ceci est un film culte est un des meilleur de sa lignée.
Bon le film a très mal vieilli, le doublage n'est pas terrible et décrédibilise un peu le jeu d'acteur, mais malgré ses points faibles, "Vendredi 13" reste encore assez efficace d'un point de vu angoisse et épouvante. A voir pour sa culture de cinéphile, mais en ce qui me concerne je préfère nettement les plus récents "Scream", ou "Souviens-toi l'été Dernier".
Le compte à rebours est lancé : 95 grosses minutes suffiront-elles à Sean S Cunningham (encore peu connu pour ses talents de réalisateur) pour ajouter à son tour sa planche de surf sanglante sur la vague slasherienne lancée par John Carpenter et sa nuit des masques, sorti deux ans plus tôt au succès montant crescendo ? On peut répondre oui sans avoir à se cacher derrière un masque de hockey - marque de fabrique que l'on découvrira par le plus grand des hasards deux opus plus tard, pour le futur boucher du maudit Crystal Lake. Progéniteur mais pas encore père officiel du grand colosse Jason Voorhees, qui se transforme en un regrettable Jacky dans la version française aussi mémorable qu'un épisode de Derrick, et ce n'est pas Judith Myers et son "Michel" prononcé deux ans auparavant dans Halloween qui nous contredira, Vendredi 13 premier du nom aura rapidement la réputation d'oeuvre classique du cinéma de genre mais malheureusement trop oubliable au fil du temps. Mettant en avant des personnages à l'histoire aussi captivante et intéressante que la vie d'un cafard (soulignons tout de même la présence de Kevin Bacon - premier rôle important de sa carrière) et voulant être gore sans se lancer dans le trash, Cunningham tira malgré lui sa révérence sur une spécialité particulière ; non pas la vue subjective déjà utilisée dans Halloween ou encore Black Christmas mais celle des meurtres hors-champs et la diversité des crimes. Variant les armes destructrices et particulièrement redoutables pour ne pas (encore) se baser sur un seul et même instrument de torture - le tout aussi cultissime Michael Myers fera de même par la suite - on se demande alors qui tue et pour quelle raison tout au long de cette escapade inquiétante accompagnée d'un thème musical angoissant signé Harry Manfredini. Culte aux yeux de certains, décevant et ennuyant pour d'autres, Friday the 13th bénéficiera tout de même d'un sacré coup de pouce du destin bien qu'aucune de ses suites ou presque atteindra un tel niveau d'angoisse et de suspense dans une ambiance aussi inquiétante et suspecte qu'une balade solitaire et nocturne dans une forêt avec pour seule compagnie : la peur.
Premier long-métrage d'une interminable saga, puisque onze autres opus s'enchaîneront par la suite, le premier "vrai film" de Sean S Cunningham entre dans l'ère nouvelle des slashers pour nous offrir un plaisir coupable. Bien qu'innovateur et pas inintéressant, les années futures en auront fait leur affaire et auront malheureusement laissé le temps le ronger petit bout par petit bout, mais pas entièrement, la faute aux moyens du bord des débuts des années 80. Retenons donc au delà de sa réputation de film culte, un vrai pilier de l'histoire montante du slasher moderne, voire de l'horreur tout court. Inévitable malgré tout.
A l’image de son tueur psychopathe, Jason Voorhees, voici le premier épisode d’une série increvable (dix films : un record !). En 1980, « Vendredi 13 » a remis au goût du jour le slasher en surfant sur le succès du « Halloween : La nuit des masques » de John Carpenter. Par rapport à ses ancêtres (notamment italiens) ou plus récemment aux « Scream » de Wes Craven qui allient humour et suspense ; la saga du tueur de Crystal Lake n’apporte rien de neuf. Pourtant, s’il ne fallait en voir qu’un seul ; je conseillerais sans hésitation ce premier volet. Contrairement aux films ultérieurs, les scènes gore ne sont pas coupées. On peut ainsi admirer le travail de maquillage de Tom Savini. En effet, les armes blanches (couteau, machette, flèche, hache…) causent beaucoup de dégâts dans le film (égorgement, éventration, décapitation…). La musique quasi-omniprésente est vraiment angoissante. L’utilisation de la caméra subjective qui épouse la vision du meurtrier apporte également beaucoup au film. Mais, c’est surtout la révélation finale concernant l’identité du tueur qui distingue ce film des suivants. Hélas, les protagonistes manquent d’épaisseur. Ce sont de simples pantins qui vont à l'abattoir. Le film s'avère répétitif et parfois ennuyant (la niaiserie des moniteurs, le temps passé à la recherche des disparus…). A noter l’un des premiers rôles au cinéma de Kevin Bacon qui connaît ici une mort affreuse. Enfin, j’ai sursauté avec le plan final au milieu du lac. Il y a beaucoup mieux dans le genre. Cependant, je conseille ce film aux amateurs ne serait-ce que pour gagner du temps, les suites étant un copier/coller de l’original.
Un film assez sympas avec de bonnes idéesspoiler: la scène où la mère maniac fait la voit de son fils terrifiant mais il est truffé de défaut et il est très naif