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    Vendredi 13
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    306 critiques spectateurs

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    J&B.
    J&B.

    3 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2020
    En me revisionnant tous les vendredi 13,après avoir terminé sur Jason X,10eme opus, je reviens sur ce premier épisode qui reste pour moi le meilleur. L'ambiance, le son, les protagonistes , tout colle avec ce film quand on se remet en mode années 80. Peut être un peu superficiel, des personnages pas assez développés, mais on en demandait pas plus pour passer un bon moment PopCorn a la main. Les suites ont parfois mis un peu de contenu, et portés Jason à la hauteur de son mythe, mais le final de ce 1er vendredi 13 reste parfait et inégalé dans la saga.
    Shelby77
    Shelby77

    164 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2020
    Un film élevé au rang de classique par beaucoup de personnes, je n'irai pas jusque-la, mais ce premier "Vendredi 13" est un bon premier film qui pose bien les bases de cette longue saga. Plus de 40 ans après sa sortie ce slasher a assez bien vieilli et reste toujours agréable à voir puisqu'il bouffe une grande partie des films du même genre qui sortent à notre époque.
    Jake S.
    Jake S.

    82 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2020
    Avec « Psychose » d’Hitchcock, « Halloween » de Carpenter ou encore « Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper, « Vendredi 13 » s’inscrit dans la lignée des films d’horreur des années 60-70 qui ont véritablement lancé le genre « slasher ». Sorti en 1980, il n’y a pas de doute sur le fait que le film (ré)utilise les mêmes méthodes que ces prédécesseurs : une musique étrangement ressemblante à celle de Bernard Herrmann (Psychose, 1960) et une caméra subjective dans la peau du tueur (Halloween, 1978). Le problème dans tout cela c’est que le film nous donne l’impression de maitriser un peu trop à 100% les clichés de l’horreur que l’on déteste tous aujourd’hui. Sûrement précurseur à son époque – même s’il copie en partie d’autres réalisations et créations antérieures – il n’en demeure pas moins prévisible et vieillissant (pour ne pas dire dépassé) au visionnage de nos jours. Les twists de fin sont malgré tout intéressants et certains gros plans et ralentis assez ambitieux. C’est parfois étrange (et assez « cheap » comme effet mais que voulez-vous on fait avec les moyens de l’époque) ou parfois dérangeant donc efficace pour nous angoisser.

    Véritable disciple de Wes Craven avec qui il a travaillé sur « La dernière maison sur la gauche » en 1972, Sean S. Cunningham a voulu rassembler bon nombre de références cinématographiques et horrifiques en un long-métrage, un peu à la manière d’un « Scream » (1997). Cependant, la différence entre les deux réside dans la créativité : « Scream » ne vieillit pas car il a renouvelé le genre et apporte une critique du genre slasher. Il est arrivé au moment opportun pour franchir un nouveau cap et relancer les films à serial-killer qui disparaissaient peu à peu. « Vendredi 13 » n’est quant à lui pas assez marquant dans son écriture et son scénario. Très pauvre en dialogue, assez monotone dans le mode opératoire des meurtres et rythmé par une musique stridente accompagnée de bruits de respirations (un peu comme dans « Cube », 1997), le résultat est vraiment mitigé. Peut-être que ce film devait effrayer en 1980... aujourd’hui c’est différent. D’ailleurs n’a-t-on pas dit de Shining qu’il « faisait peur au moment de sa sortie ». Bref, j’en ai fini des références à tout va ! « Vendredi 13 » a su profiter d’une véritable franchise et d'une réussite commerciale par la suite avec pas moins de 12 films dont un remake et des parallèles avec Freddy. Nul doute que le visionnage de l’original me suffira amplement.
    Elo-A-Vu
    Elo-A-Vu

    2 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2020
    Vendredi 13 ne m'a pas terrifié, mais aucun film d'horreur ne m'a terrifié donc je ne lui en veut pas ! Je trouve que pour un film d'horreur, c'est un classique et un plutôt un classique pas mal avec une histoire un peu plus développée que l'histoire cliché d'un esprit dans la maison dans laquelle le couple dysfonctionnel avec une belle ado emménage.
    Pour moi c'est un réel plus que ce soit l'histoire d'un tueur, parce que plus on est proche de la réalité (tueurs étant prouvés), plus ça peut faire peur je trouve (en général!).

    Même si l'histoire m'a emporté, je dois avouer que le synopsis est un peu cliché avec le sportif, la blonde, etc. Ca ne m'a pas non plus dérangé, mais ce n'est pas un film révolutionnaire.

    Il y a quand même quelques scènes sexuelles (et donc potentiellement gênantes si vous visionnez le film avec votre famille ou si cela vous dérange. Ce n'est pas hardcore du tout, mais c'est là).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2020
    La version de 1980 doit en rendre plus d'un nostalgique apparemment pour l'aimer à ce point. C'est très mal joué, très mal filmé et les musiques sont agaçantes a souhait. spoiler: Et le tueur s'il vous plait, une vieille folle pas crédible pour un sous... impressionnant j'ai eu très peur quand on découvre qui sais, ou pas.

    La version de 2009 est bien meilleure OUI désolé, au moins on ne s'ennuie pas au bout de 20 minutes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Bon désoler ces ma première critique au niveau film.

    Bon ce film j’ai du le voir une dizaine de fois, et pour être honnête j’ai adoré ce film, bon c’est un peu le cliché film d’horreur ou des filles sont nue et meurt...bref.
    Malgré ce mauvais point ce film est génial il me donne toujours des frissons et il est toujours aussi terrifiant il a certes vieilli de plusieurs années mais je trouve que cela lui a rajouter un côté nostalgique avec les crains qu’il peut ce rajouter dans le film J’AIME BEAUCOUP. Personnellement je suis un fan de film d’horreur avec des Tueur en série...Tout sa pour vous dire que je vous recommande ce film. À regarder avec ces amis ou seul pour avoir encore plus peur
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2020
    Pas un chef-d'oeuvre loin sans faut, juste un très bon slasher pour l'époque. Malgré la popularité de Jason Voorhees, il est ironique que de loin le meilleur film de la franchise soit celui-ci dans lequel il apparaît à peine, le premier de la saga. Bien qu'il n'ait pas particulièrement bien vieilli, ce film est engageant et plein de suspens. Malgré le fait que Jason soit un méchant d'horreur emblématique, les épisodes suivants (les films vendredi 13) ont généralement été assez terne par rapport à l'original. Si vous êtes un fan du genre, c'est certainement celui à regarder. Ne vous embêtez pas avec les suites, à moins que les récits inégaux ne soient votre truc....
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un film qui surf sur le succès d'Halloween sorti deux ans plus tôt. Il surf si bien sur ce succès qu'il va devenir l'un des fondements du slasher avec le film de Carpenter.
    Le film joue la carte du suspens plutôt que celle du gore et arrive à imposer une atmosphère anxiogène. C'est plutôt bien réalisé même si le film n'échappe pas à quelques clichés.
    Maxiime71
    Maxiime71

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2019
    Adorant les films d'horreur et Slashers, je n'avais encore vu que le remake de vendredi 13 à ce jour, je me suis donc lancé sur le premier.
    Bon je savais que le fameux tueur au masque n'était pas encore présent mais vu que c'est le premier je m'attendais à un chef d'oeuvre comme tous les premiers films de slasher.

    Et bien un peu déçu, le gros point faible du films est que c'est tiré sur la longueur. Beaucoup de scènes durent une éternité alors qu'il ne se se passe pas grand chose.
    L'histoire est beaucoup mieux inspiré comparé aux autres Slashers, mais le dénouement est vraiment long à attendre.
    Jérémie C-35
    Jérémie C-35

    1 abonné 129 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2019
    Vendredi 13 reste un film culte, même si il souffre d’un bon coup de vieux. Il fait partie des films qui ont donné au genre du slasher ses lettres de noblesse. Rythme du film un peu léger par moment. A voir au moins une fois juste pour sa culture personnelle.
    RealPrime
    RealPrime

    85 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2019
    Après Freddy Kruger, voilà une autre grande saga de l’horreur, en restant toujours dans les années 80. Et oui car à l’époque, les scénarios furent un poil meilleur qu'aujourd’hui, ou pas. Pour ce 1er volet, la musique elle est culte, aiguë, grinçante et donc flippante à souhait. Mais l’action elle n’est pas trop au rendez-vous. C’est quasiment le seul bémol de ce film, mais comme tout le monde le sait, il est compliqué de commencer une saga avec de l’action dès la première minute sans avoir un poil d’histoire. En même temps, beaucoup de saga commencent avec une action et un script dès le départ. Au niveau interprétation, culte également car les vieux films d’horreur montre, de manière très proche d’un clicher, les femmes dont le hurlement est presque mauvais et ces dernières ne font rien pour échapper à leur ravisseur. Un petit point très caractéristique des films de l’époque. Aujourd’hui, les femmes sont, heureusement, plus abiles et dégourdies, de quoi cesser tous clicher… Ou pas. Mais les quelques scènes d’horreurs sont franchement bien faites, spoiler: comme la mort d’un des acteurs dans son lit, ou celle de la jeune femme morte d’un coup de hache sur la face avant du crane.
    Après, sur Jason, personnage emblématique de la saga, il n’est pas du tous présent, ou du moins, on ne le voit pas, sauf sa mère schizophrène (maladie mentale qui, chez une personne, lui “permet� d’avoir en plus de sa propre personnalité, une seconde). Donc voilà, Jason absent du film mais pas sa mère, l’ayant presque perdue. spoiler: Par contre, la fin elle est bien faite et pourrait s’apparentée à une séquence culte du volet. Car en effet, elle monte l’arrivée, enfin, du criminel. Puis, pour réellement terminé ma critique, Vendredi 13 n’est certainement pas le film référence à voir un certains vendredi 13. Pas assez effrayant pour ce jour mythique des superstitions en tous genre.
    Shannon.D
    Shannon.D

    30 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2018
    Vendredi 13 fait partie des grands classiques de l'horreur, principalement grâce à Halloween dont il s'inspire un peu trop...En effet, pour ce premier film, les scènes qui rappellent Halloween sont nombreuses, notamment la scène d'ouverture quasiment similaire et l'idée du meurtrier dont on ne voit pas le visage. Ce dernier élément n'est d'ailleurs pas la meilleure chose que Vendredi 13 aurait pu pomper à Halloween, car dans ce film, la scène ne s'étend que quelques minutes permettant de rendre la découverte du visage du meurtrier vraiment choquante ( spoiler: un enfant de 6 ans, frère de la victime
    ), or dans vendredi 13, ça s'étend jusqu'à la fin, ce qui ne sert absolument à rien, car le meurtrier est inconnu du spectateur et des autres personnages de toute façon ( spoiler: d'autant que découvrir qu'il s'agit d'une femme n'est pas spécialement choquant
    ). Pour ce qui est du reste, les acteurs sont incroyablement mauvais, la mise en scène est ridicule ( spoiler: expression de terreur, zoom, fondu au blanc...Hurler !
    ), les personnages ne sont pas développer et leurs actions sont stupides ( spoiler: Rester planter comme un santon quand le tueur " une femme mûre de taille normale, pas un colosse de 2 mètres " brandi une hache devant eux
    ). Sans compter, que la fin " surprenante ", l'est d'avantage pour une personne de maintenant ayant vu les Vendredi 13 avec Jason et découvrant le premier après, que pour une personne voyant ce film pour la première fois. D'ailleurs, comme la plus part les films qui reposent essentiellement sur une fin " inattendue ", au deuxième visionnage, ce film perd déjà de sa saveur. En revanche, l'idée de la mère voulant venger son fils noyé est assez originale et la scène de fin est poignante et réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 décembre 2018
    Ce film est lent et cliché. Certe les meurtres sont violents à souhais mais le jeux d'acteur est
    franchement horrible. Et en plus spoiler: la mère de Jason, qui ce fait décapiter à la fin,
    j'ai jamais
    vu plus ridicule. C'est mal foutu, les acteurs sont nuls et c'est bouré de cliché. Mais les
    meurtres du film vont m'empêcher de mettre un 1/10 ou un 2/10. 3/10 mérité pour ce film d'aucune
    valeure.
    Oli B
    Oli B

    12 abonnés 618 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2018
    Evidemment , avec le recul , ce Vendredi 13 fait assez "film du pauvre" mais en 1980 il a initié une série de suites ou remake... Tous les critères obligatoires du genre sont réunis comme dans un catalogue : le bled paumé, la colo abandonnée , les morts survenus, la mise en garde des autochtones.... Ensuite vient l'orage et les différents incidents où chacun part de son coté pour se faire trucider... D'ailleurs les personnages sont assez insipides voire exaspérants et on est pas fâché de les voir disparaître. Le doublage français n'arrange rien puisque la mère nome son fils "Jacky" au lieu de Jason (le fameux) , et plus surprenant pour moi qui n'en avait pas vu avant : spoiler: Jason n’apparaît que furtivement puisque ce n'est pas lui le tueur
    dans cet opus, donc spoiler: il n'y a pas ce fameux masque emblématique
    . Fait bizarre : alors que "le tueur" avait montré force et acharnement pour décimer la troupe , avec la dernière personne c'est tarte dans la gueule contre poele à frire..... Bon tout est bien qui fini ...mal.... quand même.
    pierrot le flou
    pierrot le flou

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    Avec Halloween, John Carpenter intronisait le boogeyman, nouvelle figure iconique du serial killer très porté sur les meurtres avec outil tranchant, et surtout doté de cette particularité d’être (quasiment) indestructible. Poignardé, criblé de balles, défenestré, il reviendra pour de nouveaux massacres , un syndrome de la résurrection qui fera les beaux jours du cinéma d’exploitation des années 80 au même titre que celle de Freddy Krueger et donc de Jason Voorhes. Sean S. Cunningham s’est logiquement inspiré de son aîné pour bâtir la trame originelle de sa future franchise avec notamment des meurtres filmés en caméra suggestive à travers les yeux du tueur comme au début d’Halloween lors de l’assassinat de la petit sœur Meyer et son boy friend.
    Mais Vendredi 13 ne fait pas preuve des mêmes velléités artistiques susceptibles de l’envoyer au rayon des grands classiques du genre. La mise en scène est des plus minimaliste, le scénario on ne peut plus simpliste, et a l’évidence le

    réalisateur n’a qu’une seule idée en tête : montrer des meurtres avec une schématique bien huilée « on fornique, on s’isole, on est ado, on déguste ! ».
    Car son film est très marqué des défauts propres à une grande majorité des horror movie's de l’époque, avec des cadrages chaotiques qui frôlent l’amateurisme, des plans basiques et assez répétitifs, rien de bien inventif et sans grands effets de style, le fil rouge de la mécanique des meurtres s’avérant assez vite redondant (les deux premiers intervenant d’ailleurs avant le générique).
    Le budget étriqué de 500 000 dollars impliquant de drastiques économies, l’éclairage en est la première « victime » avec une lumière très discrète, mais ce qui va plutôt servir le film en apportant cette atmosphère de naturalisme, ces fameuses tonalités de faux documentaire très en vogue dans le cinéma d’exploitation de la décennie précédente. D’autant que Cunningham joue la carte de la désurbanisation en choisissant le décor rustique des cabines en bois d’un camp en pleine forêt. Une délocalisation propice a l’installation d’un climat angoissant que renforce cet isolement.

    Comme autre preuve de cette filiation aux 70’s, le plan d’intro du ciel avec une lune à peine voilée rappelle le générique du crocodile de la mort de Tobe Hooper. L’ambiance générale baigne d’ailleurs dans le red neck movie dont on retrouve les clichés du bled aux allures de ville fantôme avec chient errant, la pompe à essence, le bar peuplé d’autochtones aux regards inquiets face à « l’étrangère », les avertissements prodigués sur une légende urbaine…
    Le premier démarquage de Cunningham va s’opérer sur l’identité du tueur dévoilée seulement dans l’épilogue, en l’occurrence la mère revancharde du gamin handicapé mort noyé, alors qu’elle était la cuisinière du camp. Le personnage de Jason ne surgit que dans un ultime plan à « la Carrie au lac du diable », un twist ending avec lequel réalisateur et producteurs annoncent clairement la couleur : il n’est donc pas mort, et une franchise est bel et bien en train de naître!
    Le Boogeyman n’apparaîtra que dans le tueur du vendredi, et ce n’est qu’au troisième opus qu’il prendra sa légendaire apparence de grand gaillard caché sous un masque de hockeyeur, histoire de briser autre chose que la glace…
    Mais Cunningham va taper très fort là ou Carpenter jouait plutôt soft. Car dans Vendredi 13 on est aux antipodes de la suggestion, et quand ça fait mal, ça fait très très mal et surtout « on le voit », comme d’ailleurs quasiment jamais jusqu’alors: énucléation, égorgement, empalement, hache plantée en pleine tête…le tout filmé en gros plans! Des effets indissociables du succès du film, et que l’on doit à un grand artiste: Tom Savini, le maître es zombies (entre autre) de Romero !
    Avec des effets spéciaux artisanaux à base de latex et de sang gélifié, le maquilleur va offrir un véritable spectacle grand guignolesque de gore dégoulinant, et de corps amochés, dans une exposition frontale et criante de réalisme.
    Du coup Cunningham ne s’embarrasse pas dans la caractérisation des personnages. Ici pas de nounou dotée d’un instinct de survie surdéveloppé à la Laurie strode,mais juste des ados aux comportements primaires, insouciants, naïfs, voir stupides. De simples silhouettes cantonnées au statut de victimes expiatoires, de la chair à slasher.
    Au passage l’occasion pour le réalisateur de nous offrir une bonne tranche de Bacon (kevin) dans une de ses toute premières apparitions.

    A l’arrivée le film s’assume sans équivoque comme un bon gros schocker parfaitement calibré pour le public d’ado à qui il est destiné : de jeunes filles peu vêtues, pas farouches, des meurtres perpétrés avec du bon outillage, et bien saignants. De quoi laisser cours à nos (j’étais également ado à sa sortie) pulsions voyeuristes. Un Bis bien jouissif, sans prise de tête, tout l’intérêt résidant dans l’art et la manière dont vont être commis les meurtres suivants…et dans les formes des donzelles! C’est assurément cette singularité qui en fait sa marque de fabrique.

    Avec près de 300 meurtres à son actif (vous pouvez recompter)
    Jason Voorhes reste le serial killer le plus « efficace », et après 12 épisodes vendredi 13 la franchise la plus rentable du genre.
    Tiens au fait, aujourd’hui c’est vendredi 13…alors, on joue ??
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