Clichés, clichés, clichés, (et qu'on ne me sorte pas que c'est dû à l'ancienneté de la production, et qu'à l'époque, ces stéréotypes n'en étaient pas encore, puisqu'il n'y a qu'à comparer avec le "Texas chainsaw massacre" de Tobe Hooper, bien plus vieux (1974), ou encore même le film de Dante "The Howling" (1980) qui n'est pas, certes, mais qui ressemble énormément à un slasher, bref, des films plus vieux et qui avaient déjà réussis à éviter le coup des jeunes amateurs de parties de baises alcoolisées, qu'on s'tapera tout le long de la saga "Vendredi 13" ou des prods américaines post-Scream de nos jours, et qui sont littéralement casse-couilles.Bref, je m'en vais fermer cette large parenthèse, enfin, avec comme conclusion : Quelle que soit l'époque, quelle que soit l'histoire, qui ne sait pas faire un bon slasher movie sans montrer des bières et des seins n'est pas un bon réalisateur.)Bon pour en revenir au film en lui-même, disons qu'on se fait chier pendant 1h20, ce qui sur 1h30, peut jouer, quelque part... Ben oui, je m'explique : lorsque Brenda va aux chiottes toute seule dans la cabane au fin-fond de la forêt, de nuit (ben elle a qu'a pisser de jour, c'est tout! en plus elle verra mieux....) sans avoir le réflexe de s'équiper d'une batte de base-ball ou d'une masse d'armes, et qu'entend du bruit, mais ouf, c'etait qu'un chat, alors qu'en fait non, c'était un gros couteau de cuisine fendant l'air et lui arrivant sur le coin de la gueule, bref, passer pas loin de 20 minutes pour assister à tout ça, ben ça t'donne quand même l'impression qu'on s'fout d'ta gueule quelquepart ! Pis faut savoir que le temps que ses potes (les survivants je parle, c'est à dire qu'on inclu pas dans leur groupe les connards qu'on passé leur nuit à baiser ou à s'bourrer la gueule, eux, on le sait qu'ils finiront pas entiers)trouvent son cadavre, bé, on va encore attendre 3/4 d'heures...Nan sans dec, la saga entière "Friday the 13th" est un moyen non assumé pour tourner des films de cul