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JimBo Lebowski
402 abonnés
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2,0
Publiée le 24 juin 2014
Difficile de noter ce film, qui n'est intrinsèquement ni bon ni mauvais, juste le pionnier des navets-survivals , en 2014 en ayant assimilé tout les codes du genre il n'offre aucune surprise si ce n'est un twist assez inattendu et une réalisation parfois intéressante (bien que copiée collée sur celle de Carpenter pour "Halloween", notamment son intro en caméra subjective). Mais la dose de clichés est largement palpable et vu qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages le film devient au fur et à mesure assez immangeable, sans compter son esthétisme vieillot qui ne joue clairement pas en sa faveur. On pourra tout de même apprécier la présence au casting de Kevin Bacon qui signe là son troisième long métrage 4 ans avant "Footloose" qui le révélera, mais autant le dire il peine tout comme les autres à dégager quelque chose, malheureusement ... "Vendredi 13" reste tout de même d'un certain sens un classique de l'horreur mais qui a inévitablement perdu de sa puissance au fil des décennies et aura au passage engendré diverses suites et des navets complètement fauchés.
C'est avec des films comme « Vendredi 13 » qu'est née ma passion pour le cinéma en général et pour les films d'horreur en particulier. Sorti en 1981 sous la direction de Sean S. Cunningham (« Mutant Aquatique en Liberté »), ce film pause les bases du « slasher », tels qu'on le connaît aujourd'hui. Il accumule donc les morts violentes de jeunes femmes (la plupart du temps), hurlantes et gesticulantes à tout va et courant à moitié nues dans la campagne. C'est aussi la naissance du gore... les effets spéciaux sont encore balbutiants mais les efforts des techniciens sont louables et ils ne feront que s'améliorer avec le temps. L'ensemble est saupoudré d'une (pas toujours subtile) touche d’érotisme destinée à attirer un public plutôt adolescent. Ainsi les pauvres victimes sont souvent trucidées alors quelles se baignent en maillot de bain minimaliste, qu'elles se rendent aux toilettes en petite tenue ou carrément en pleine séance de « strip-poker »... si, si ! Bref, près de 40 ans après sa sortie, il faut bien reconnaître que ce premier « Vendredi 13 » (il y en aura de nombreux autres) a beaucoup vieilli, tant sur le fond que sur la forme. Pour autant, il s'en dégage une agréable touche de nostalgie qui en fait un indiscutable classique, que tout amateur se doit d'exhiber dans sa vidéothèque.
Si les suites ont imposé une figure majeure parmi les personnages de films d'horreur, ce premier opus, empruntant les sentiers du Halloween de Carpenter notamment, impressionnera surtout par ses projections d'hémoglobine plus que par ses qualités narratives relativement limitées, sans compter la musique de commande qui sonne comme un recyclage à mi-chemin entre Psychose et les Dents de la Mer, et un casting très peu exploité. Ça reste regardable même si ça ne surprend plus beaucoup.
Je viens de m’infliger « Vendredi 13 », premier du nom. Que dire d’un film mal dirigé, mal joué et censer faire « sursauter » si ce n’est que seuls les maquillages de Tom Savini et l’identité du responsable de la tuerie de Crystal Lake m’ont sorti de mon abattement devant ce classique du genre qui reprend tout aussi laborieusement les ficelles tendues deux ans plus tôt par John Carpenter avec « Halloween ».
Le premier volet d une série de 11 films. Le remake m a donne envie de revoir la série dont voici le premier. C est sur que l on sent le film à très petit budget et du début des années 1980, mais bon ça se regarde et ça donne du relief au film d horreur qui ont suivi dans les années 80/90. Un 3 étoiles pour l influence sur le cinema de genre.
1er d'une longue série, ce Vendredi 13 n'est ni meilleur ni pire que les autres. L'originalité pour l'époque est d'introduire la fameuse thématique du groupe de jeunes coincé au milieu de nulle part, qui ne doit ni faire acte de chair ni s'éloigner un peu trop loin sous peine de finir dans un bain de sang. Avec les années, il entre dans le domaine des classiques du cinéma d'horreur et est donc à voir pour impressionner en culture générale à une soirée (un peu d'humour ) au même titre qu'Halloween ou Freddy, les deux autres sagas d'horreur des 80's.
"Vendredi 13" fait partie, avec "Halloween" et bien plus tard "Scream", de ces slasher qui ont énormément influencer toute cette vague de "Teen Horror Movies" américain. C'est donc sans surprise que l'on retrouve tous les bons vieux clichés inhérents à ce style cinématographique que l'on excusera en raison de son rôle de précurseur. Cela n'en fait pas pour autant un film d'exception. Ne vous attendez pas à frissonner d'épouvante ni à claquer des dents; "Vendredi 13" conserve cependant un charme certain qu'entame à peine une fin trop baclée.
Un classique du genre qui ne manque pas d'originalité, qui plus est. La caméra adopte le point de vue du tueur et les pauvres animateurs de la colo se font décimer sans même s'en rendre compte. Il faut attendre les dernières minutes pour que l'ultime survivante découvre ce qu'il est advenu de ses camarades. Ce qui est fort, c'est que l'angoisse des personnages monte progressivement (principalement à cause des conditions météorologiques), mais celle du spectateur est bien présente.
Une référence dans le genre du film d'horreur, souvent copiée et parodiée, rarement égalée. En dépit de grosses incohérences scénaristiques, un slasher movie diablement efficace mais un peu moins inspiré que "Halloween" de John Carpenter ou "Massacre à la tronçonneuse" de Tobe Hooper. Un jeu d'acteurs déplorable, risible mais une mise en scène et un suspense qui rappelle énormément le savoir-faire d'Alfred Hitchcock. Un ensemble qui a pas mal vieilli mais qui reste très divertissant.
Elevé au rang de film culte peut être un peu rapidement, le tout premier "Vendredi 13" fait peine à voir aujourd'hui et dire qu'il a mal vieilli ressemble à un euphémisme. Sean Cunningham jouit d'une sacrée notoriété grâce à ce film, pourtant il suffit de regarder sa filmographie pour se rendre compte que c'est peut être un petit peu usurpé également ... Revenons en aux débuts d'une des plus importantes saga horrifique avec ce slasher de 1981 que l'on imaginerait volontier de 1971 et qui ne brille clairement pas par sa mise en scène, tout y est attendu, mal vendu et relativement ennuyeux. Il ne se passe pas grand chose durant un bon moment et les meurtres sont souvent hors cadre. Malgré tout les idées sont là et le scénario, surtout pour l'époque, est bien ficelé, en revanche, les acteurs sont très très moyens, idem pour Kevin Bacon, et le doublage, lui, est une véritable horreur, à tel point que l'on sourit plus que l'on s'effraie. C'est également l'unique opus dans lequel le mythique Jason n'apparait pas, ou devrais-je dire Jacky, triste résultat d'un doublage décidément plus que médiocre. Finalement, ce premier "Vendredi 13" n'a d'intérêt que parce qu'il est à l'origine de la saga, même si quelques mises à mort sortent du lot, ça reste un petit plaisir coupable dont il ne faut surtout pas abuser qui heureusement sera à l'origine de suites bien plus inspirées.
Un film élevé au rang de classique par beaucoup de personnes, je n'irai pas jusque-la, mais ce premier "Vendredi 13" est un bon premier film qui pose bien les bases de cette longue saga. Plus de 40 ans après sa sortie ce slasher a assez bien vieilli et reste toujours agréable à voir puisqu'il bouffe une grande partie des films du même genre qui sortent à notre époque.
La saga Vendredi 13 a acquis avec ses nombreux volets un statut important dans l’histoire du cinéma d’horreur, du à son méchant d’envergure qu’est Jason Voorhees. Ce premier volet s’avère pourtant extrêmement décevant : en effet, le film ne devient intéressant que durant ses 20 dernières minutes. Le reste est assez ennuyeux, consistant à des échanges entre de jeunes gens. On notera également les effets éculés et particulièrement le jeu exécrable de certains comédiens, particulièrement Mme Voorhees, qui a un potentiel incroyable dans ses mimiques mais qui en fait beaucoup trop. Une seule scène effraie réellement le spectateur. Une grande déception.
Un bon slasher pour l'époque. Le premier qui soit un peu gore. L'idée de départ n'est pas mauvaise bien au contraire et la réalisation sympa. On ne s'atend pas spécialement à ce dénouement, donc pour ma part je trouve que l'intrigue est bien menée. La où je suis déçu, c'est la débilité (et le mot est faible) avec laquelle les personnages agissent. Les acteurs ne sont pas extraordinaires certe, mais ils ne sont pas affreux non plus. Le problème ce sont les personnages.
Début d une longue série et le premier reste particulier pour la fin assez inattendue. Classique du slasher il a fait parti de la mythologie du genre . Bien sûr le temps a passé mais les recettes sont là et ça fonctionne à merveille.
Premier film d'une très longue série, ce dernier ne vole pas très haut durant la première heure! Déjà JASON est devenu JACKY en français: honteux!! On nous annonce dés le début une malédiction et on nous présente une colonie de vacances remplie de quelques moniteurs (dont Kevin Bacon, dans son premier rôle!). Sans grand frisson, ces derniers vont se faire assassiner les uns après les autres sans grande originalité. Comme son grand frère Halloween, le tueur reste mystérieux et la caméra prend souvent la place de ses yeux pour épier ses victimes. Le film écrit sa légende dans sa dernière partie où la légende de Jacky (Jason??) est expliquée et où l'identité du tueur peut être un minimum surprenante. L'ultime scène sur le lac est très bien pensée. Un film qui lance une légende mais qui n'est pas le meilleur dans le genre! Vendredi 13 un soir de pleine lune à Crystal Lake avec Jason dans les parages est pourtant né ici!