Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Nicolas THYS
Caméra à l'épaule, Per Fly compose un cinéma de l'âme et des corps tuméfiés, qu'un monde hostile à la nature humaine submerge. De dialogues décalés en affrontements passionnels, la mise en scène, intime, vivante et ponctuée de plans décadrés, propose un périple cruel où tout n'est que désillusion.
MCinéma.com
par Camille Brun
Avec toute l'accumulation de misères sociales du film, on n'est jamais loin du trop plein agaçant. Pourtant, Per Fly parvient à ne jamais y basculer. THE BENCH émeut et réussit parfaitement son pari de nous approcher de ces gens " couchés ", qui font son sujet.
Première
par Isabelle Danel
Ce que montre Per Fly, sans misérabilisme mais sans fard, c'est l'engrenage d'alcoolisme, de pauvreté et de colère. The Bench est le premier volet d'une trilogie sur les classes sociales au Danemark, qui regarde en face une réalité ni blanche ni noire, plutôt grise.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Flirtant avec la veine d'un Ken Loach, ce film brut et âpre vaut particulièrement pour son réalisme sans concession et son humanisme amer.
Télérama
par Pierre Murat
Au moins ne saurait-on lui nier la tendresse qu'il éprouve pour ses deux héros, le paumé magnifique et le fils de famille piégé, qu'il peint avec leurs contradictions et leurs ambiguïtés. Il sait aussi les entourer de jolis seconds rôles : dans The Bench, le copain clodo du héros, son souffre-douleur aux yeux de chien battu, droit sorti d'un film de Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pelisson
A travers une sobriété formelle proche du Dogme, la noirceur du récit transpire à l'écran. Elle flirte parfois avec le misérabilisme, mais touche aussi une vraie sincérité.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce sens de la mesure, ce dosage constant entre "la maison et le monde", constitue une belle alternative aux errements amoraux de Von Trier et Vinterberg. Mais du coup, tout cela manque un peu de sel et de piment. Le film n'a rien de mièvre, mais il a tendance à dispenser le pathos sans discernement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un film comportant d'autant moins de surprises qu'une double fatalité entache son programme : la loi du mélodrame et celle de la reproduction sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Caméra à l'épaule, Per Fly compose un cinéma de l'âme et des corps tuméfiés, qu'un monde hostile à la nature humaine submerge. De dialogues décalés en affrontements passionnels, la mise en scène, intime, vivante et ponctuée de plans décadrés, propose un périple cruel où tout n'est que désillusion.
MCinéma.com
Avec toute l'accumulation de misères sociales du film, on n'est jamais loin du trop plein agaçant. Pourtant, Per Fly parvient à ne jamais y basculer. THE BENCH émeut et réussit parfaitement son pari de nous approcher de ces gens " couchés ", qui font son sujet.
Première
Ce que montre Per Fly, sans misérabilisme mais sans fard, c'est l'engrenage d'alcoolisme, de pauvreté et de colère. The Bench est le premier volet d'une trilogie sur les classes sociales au Danemark, qui regarde en face une réalité ni blanche ni noire, plutôt grise.
TéléCinéObs
Flirtant avec la veine d'un Ken Loach, ce film brut et âpre vaut particulièrement pour son réalisme sans concession et son humanisme amer.
Télérama
Au moins ne saurait-on lui nier la tendresse qu'il éprouve pour ses deux héros, le paumé magnifique et le fils de famille piégé, qu'il peint avec leurs contradictions et leurs ambiguïtés. Il sait aussi les entourer de jolis seconds rôles : dans The Bench, le copain clodo du héros, son souffre-douleur aux yeux de chien battu, droit sorti d'un film de Ken Loach.
Zurban
A travers une sobriété formelle proche du Dogme, la noirceur du récit transpire à l'écran. Elle flirte parfois avec le misérabilisme, mais touche aussi une vraie sincérité.
Les Inrockuptibles
Ce sens de la mesure, ce dosage constant entre "la maison et le monde", constitue une belle alternative aux errements amoraux de Von Trier et Vinterberg. Mais du coup, tout cela manque un peu de sel et de piment. Le film n'a rien de mièvre, mais il a tendance à dispenser le pathos sans discernement.
Le Monde
(...) un film comportant d'autant moins de surprises qu'une double fatalité entache son programme : la loi du mélodrame et celle de la reproduction sociale.