Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un film ni américain, ni européen, ni asiatique : agréable parfum de changement d'autant qu'il ne prétend pas se faire l'ambassadeur des problèmes de son pays (...) Scorsésien (...) parce que cette communauté ne conçoit pas la loi comme extérieure (et qu') imposer la loi est l'enjeu interne de toute situation (...), Cadeau du ciel offre mille magnifiques exemples de cette règle.
Les films de ce genre manquent. Son impolitesse joyeuse et charnelle, sa violence de fond suffisent à faire de Cadeau du ciel une touchante anomalie dans le lisse paysage des sorties "world".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elégance clinquante des mâles et sensualité ruisselante de leurs compagnes pas toujours légitimes déversent sur ce "Cadeau du ciel" une énergie sexuelle presque animale. Dans l'Israel de Dover Kosashvili, les bombent n'explosent pas, elles s'éclatent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) Dover Kosashvili livre ici une comédie décapante (...) Ode à la jouissance, à la tolérance et au bonheur, Cadeau du ciel est un bijou à l'humour dévastateur dans lequel le cinéaste utilise délibérément des archétypes de polars pour mieux flirter avec la comédie romantique, l'étude de moeurs, voire avec l'érotisme (...)
(...) Une des grandes réussites de Cadeau du ciel tient à la manière dont son auteur (...) traite ses personnages (...) Pour autant qu'ils soient égoïstes, veules, frimeurs, menteurs, phallocrates, le sentimentalisme naïf et la force du désir brut qui les anime les rend éminemment attachants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) Sur le ton d'une comédie aussi débridée qu'effrayante de lucidité, le cinéaste nous plonge dans un monde simplifié, refusant l'hypocrisie de la société (...)
Au milieu d'une saison de blockbusters décevants, ce petit film inattendu de Dover Kosashvili pourrait bien se révéler l'une des bonnes surprises de l'été. Ici, les personnages vivent au présent, avec une vitalité incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Un projet de casse prétexte à une furieuse et jouissive sarabande (...) Et le spectacle est fascinant. Terrifiant (...) Le film est d'une crudité sexuelle effarante, d'une décontraction totale et d'un humour volontairement affreux et dévastateur (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mafieux échappés de la Fièvre du samedi soir, chemises en nylon affublées de cols pelles à tartes, grosses bagouzes, chaînes en or sur torses velus, tout y est. Sans oublier ces gags semblables à ceux des comédies italiennes des années 70. Délicieux.
(...) Cadeau du ciel est un fourre-tout mafieux géorgeo-israélien pas mal fourré (...) Ce divertissement au filmage d'aéroport "cut-cut" (...) touche ses limites avec sa psychologie et son script décousus, son sexisme sale (...)
La femme n'y a pas le beau rôle ni la bonne condition, même si au bout du compte elle s'en sort mieux que cette troupe de fanfarons plus ridicules que méchants. Un récit un peu foutoir, mais une tranche de vie tonique.
Une comédie israélienne mi-sociale, mi-potache (...) Kosashvili articule piteusement un récit mal fichu, pauvre en développements et dont les enjeux sont tout justes effleurés.
Le cinéaste refuse notamment de choisir la moindre thématique directrice (...). De plus, le traitement rigolard de thèmes aussi sensibles que le mariage forcé ou l'égalité des sexes sonne faux et creux. Un avion au plan de vol hasardeux, donc, et qui se crashe rapidement, faute de carburant.
Contrairement aux apparences, Cadeau du ciel n'est pas un film de casse. Un drôle d'ovni qui dans ses meilleurs moments fait penser à l'univers de Kusturica mais qui frôle trop souvent la vulgarité et les clichés tout en souffrant d'un scénario léger. Dommage.
Positif
Plonger dans un film de Dover Kasashvili (...) c'est se laisser happer par un monde grouillant de sensualité et de promiscuité.
Cahiers du Cinéma
Un film ni américain, ni européen, ni asiatique : agréable parfum de changement d'autant qu'il ne prétend pas se faire l'ambassadeur des problèmes de son pays (...) Scorsésien (...) parce que cette communauté ne conçoit pas la loi comme extérieure (et qu') imposer la loi est l'enjeu interne de toute situation (...), Cadeau du ciel offre mille magnifiques exemples de cette règle.
Chronic'art.com
Les films de ce genre manquent. Son impolitesse joyeuse et charnelle, sa violence de fond suffisent à faire de Cadeau du ciel une touchante anomalie dans le lisse paysage des sorties "world".
Elle
Elégance clinquante des mâles et sensualité ruisselante de leurs compagnes pas toujours légitimes déversent sur ce "Cadeau du ciel" une énergie sexuelle presque animale. Dans l'Israel de Dover Kosashvili, les bombent n'explosent pas, elles s'éclatent.
L'Humanité
(...) Dover Kosashvili livre ici une comédie décapante (...) Ode à la jouissance, à la tolérance et au bonheur, Cadeau du ciel est un bijou à l'humour dévastateur dans lequel le cinéaste utilise délibérément des archétypes de polars pour mieux flirter avec la comédie romantique, l'étude de moeurs, voire avec l'érotisme (...)
Le Monde
(...) Une des grandes réussites de Cadeau du ciel tient à la manière dont son auteur (...) traite ses personnages (...) Pour autant qu'ils soient égoïstes, veules, frimeurs, menteurs, phallocrates, le sentimentalisme naïf et la force du désir brut qui les anime les rend éminemment attachants.
Paris Match
(...) Sur le ton d'une comédie aussi débridée qu'effrayante de lucidité, le cinéaste nous plonge dans un monde simplifié, refusant l'hypocrisie de la société (...)
Première
Au milieu d'une saison de blockbusters décevants, ce petit film inattendu de Dover Kosashvili pourrait bien se révéler l'une des bonnes surprises de l'été. Ici, les personnages vivent au présent, avec une vitalité incroyable.
Score
A la faveur d'une caméra remarquablement vive, mobile et élégante, Kosashvili exprime une limpide vision de la vie (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
L'univers de Kosashvili est séduisant, dérangeant, réjouissant, et ses acteurs sont tous magnifiques. A découvrir.
Télérama
Un projet de casse prétexte à une furieuse et jouissive sarabande (...) Et le spectacle est fascinant. Terrifiant (...) Le film est d'une crudité sexuelle effarante, d'une décontraction totale et d'un humour volontairement affreux et dévastateur (...)
Zurban
Mafieux échappés de la Fièvre du samedi soir, chemises en nylon affublées de cols pelles à tartes, grosses bagouzes, chaînes en or sur torses velus, tout y est. Sans oublier ces gags semblables à ceux des comédies italiennes des années 70. Délicieux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) Cadeau du ciel est un fourre-tout mafieux géorgeo-israélien pas mal fourré (...) Ce divertissement au filmage d'aéroport "cut-cut" (...) touche ses limites avec sa psychologie et son script décousus, son sexisme sale (...)
Ouest France
La femme n'y a pas le beau rôle ni la bonne condition, même si au bout du compte elle s'en sort mieux que cette troupe de fanfarons plus ridicules que méchants. Un récit un peu foutoir, mais une tranche de vie tonique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Une comédie israélienne mi-sociale, mi-potache (...) Kosashvili articule piteusement un récit mal fichu, pauvre en développements et dont les enjeux sont tout justes effleurés.
MCinéma.com
Le cinéaste refuse notamment de choisir la moindre thématique directrice (...). De plus, le traitement rigolard de thèmes aussi sensibles que le mariage forcé ou l'égalité des sexes sonne faux et creux. Un avion au plan de vol hasardeux, donc, et qui se crashe rapidement, faute de carburant.
aVoir-aLire.com
Contrairement aux apparences, Cadeau du ciel n'est pas un film de casse. Un drôle d'ovni qui dans ses meilleurs moments fait penser à l'univers de Kusturica mais qui frôle trop souvent la vulgarité et les clichés tout en souffrant d'un scénario léger. Dommage.