Avec maestria le duo maestro réalisation qui mise en scène, la paire partenaire productive budget raisonnable, cinéma en noir et blanc comme d’habitude, nous délivre un excellent film de 1934 avec.......... Clark Gable monte sur scène présenter cette histoire commune.
Autant en emporte le vent des Oscars sur ses performances d’acteur du classique Hollywood, c’est la classe votre altesse.....! 1901-1960, la naissance, une vie et la mort d’une étoile montante pleine et puis éteinte, le carburant assez bien épuisé.
Vieille époque brouillard sur les rétros, le pare-brise essuie-glace le flou de son excellence pour la conduite à tenir sur la route lavée, ceinture de sécurité, anti-fatigue c’est beaucoup de repos, on verra par la suite du cheminement opposé et bifurcation fraternels.
C’est très agréable que la journée passe, continuons !! Allons-y...... voyons voir ce synopsis, deux amis d’enfance, l’intrigue démarre l’âge adulte, c’est génial et parti pour un tour de pellicule de film utilisée dans la salle de projection dans l’amphithéâtre américain.
L’un est gangster, l’autre est prosecutor district attorney, je vous laisse le soin...... les tribunaux des États-Unis d’Amérique, composés du personnel d’honneurs juges fédéraux procureurs mandate letters rogatory.
Tous au parquet système judiciaire de cette cour suprême haute décision congrès pro-constitutionnellement, à la barre des accusés, la défense de ses avocats, les témoins assistés et publics observateurs des réquisitoires.
La justice réfléchie avant le point crucial, la lourde peine de conséquence des actes commis sous l’excès de violence, les coups de feu qui fusent, les amis sont liés par l’intrigue en elle-même romance contraste, ce sont de bons acteurs, tragédien face à son destin.
En un instant magique rempli d’émotion brute douceur, les gangs ne prennent pas de gants, bad boys hein....... c’est pour cela : mélodrame de Manhattan, des petites histoires toutes simples chics et chouettes, qui fasse sa grandeur charme cinématographique.