Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Il y avait une place à prendre dans le cinéma-vérité depuis la déféction définitive d'Amos Kollek. Avec All Night Bodega Félix Olivier a pris une belle option pour le titre.
Son film est fort. Les situations justes. Ses personnages peints avec réalisme et véracité. L'interprétation ausi est excellente. Tammy Trull tout particulièrement, qui fait pourtant là ses débuts à l'écran. Elle est vive, naturelle, sensible.
Felix Olivier dépeint avec rigueur et chaleur cet univers qui s'exprime en "spanglish" (...) La conclusion est tragique mais le réalisateur ménage une lueur d'espoir. Pour Venus, au bout de son parcours initiatique, il reste la porte entrouverte d'une bodega qui ne ferme jamais.
Une odyssée urbaine aux pièges multiples. Au coeur de ce film coup de poing, un visage- celui de la débutante Tammy Trull- tour à tour rageur, passionné et désabusé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Une forme très proche du documentaire, mais avec des comédiens visiblement pas assez bons pour qu'on oublie qu'ils le sont. Une seule exception : Tammy Trull, jeune Latino bluffante dans son rôle de rebelle paumée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Pour passer du documentaire, dont il est issu, à la fiction, le cinéaste s'est encombré d'un scénario convenu et n'a pas tout à fait su quoi faire de ses acteurs. On lui reconnaîtra le mérite de laisser à son interprète principale, Tammy Trull, qui joue une adolescente en perdition, assez de place pour révéler une présence intense.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le cinéaste réussit aussi à installer une ambiance urbaine assez fascinante et signe quelques très jolis plans de la ville. Malheureusement, quand il aborde la déchéance plus profonde du personnage, le film s'enlise. L'histoire finit par manquer de densité et l'on se sent de moins en moins impliqué. Dommage.
Tourné très vite, avec un petit budget et des "vrais gens" du bariio, cette fiction documentaire témoigne d'un regard de cinéaste et d'une humanité partagée.
L'histoire débute de façon tellement tiède que l'on est amené très vite à redouter le pire. Mais le rythme finit par s'accélérer, l'héroïne (étonnante Tammy Trull) gagne soudain en densité, et la spirale qui l'engloutit peu à peu dégage une force d'attraction peu commune. Jusuq'à une fin "suspendue" qui nous cisaille tout net.
Si All night bodega est sans aucun doute un film sincère qui parvient à éviter les clichés, on peut tout de même regretter la faiblesse du scénario, un peu trop attendu. Malgré tout, le message passe : il faut se garder de juger ceux qui tentent, coûte que coûte, de maintenir la tête hors de l'eau.
Cinéastes
Il y avait une place à prendre dans le cinéma-vérité depuis la déféction définitive d'Amos Kollek. Avec All Night Bodega Félix Olivier a pris une belle option pour le titre.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Son film est fort. Les situations justes. Ses personnages peints avec réalisme et véracité. L'interprétation ausi est excellente. Tammy Trull tout particulièrement, qui fait pourtant là ses débuts à l'écran. Elle est vive, naturelle, sensible.
Les Inrockuptibles
Si le style est parfois ampoulé, l'architecture des plans sublime l'excellent jeu des acteurs.
Libération
Felix Olivier dépeint avec rigueur et chaleur cet univers qui s'exprime en "spanglish" (...) La conclusion est tragique mais le réalisateur ménage une lueur d'espoir. Pour Venus, au bout de son parcours initiatique, il reste la porte entrouverte d'une bodega qui ne ferme jamais.
Première
Une odyssée urbaine aux pièges multiples. Au coeur de ce film coup de poing, un visage- celui de la débutante Tammy Trull- tour à tour rageur, passionné et désabusé.
Aden
Une forme très proche du documentaire, mais avec des comédiens visiblement pas assez bons pour qu'on oublie qu'ils le sont. Une seule exception : Tammy Trull, jeune Latino bluffante dans son rôle de rebelle paumée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Pour passer du documentaire, dont il est issu, à la fiction, le cinéaste s'est encombré d'un scénario convenu et n'a pas tout à fait su quoi faire de ses acteurs. On lui reconnaîtra le mérite de laisser à son interprète principale, Tammy Trull, qui joue une adolescente en perdition, assez de place pour révéler une présence intense.
MCinéma.com
Le cinéaste réussit aussi à installer une ambiance urbaine assez fascinante et signe quelques très jolis plans de la ville. Malheureusement, quand il aborde la déchéance plus profonde du personnage, le film s'enlise. L'histoire finit par manquer de densité et l'on se sent de moins en moins impliqué. Dommage.
Positif
Tourné très vite, avec un petit budget et des "vrais gens" du bariio, cette fiction documentaire témoigne d'un regard de cinéaste et d'une humanité partagée.
TéléCinéObs
L'histoire débute de façon tellement tiède que l'on est amené très vite à redouter le pire. Mais le rythme finit par s'accélérer, l'héroïne (étonnante Tammy Trull) gagne soudain en densité, et la spirale qui l'engloutit peu à peu dégage une force d'attraction peu commune. Jusuq'à une fin "suspendue" qui nous cisaille tout net.
aVoir-aLire.com
Si All night bodega est sans aucun doute un film sincère qui parvient à éviter les clichés, on peut tout de même regretter la faiblesse du scénario, un peu trop attendu. Malgré tout, le message passe : il faut se garder de juger ceux qui tentent, coûte que coûte, de maintenir la tête hors de l'eau.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com