Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Positif
par Hubert Niogret
L'histoire de ce bourreau partagé enntre le devoir à accomplir et l'horreur qu'il ressent face à l'exécution annoncée montre le metteur en scène sous son meilleur jour : intense, sans concession, surprenant et totalement habité par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La maestria du film tient essentiellement dans cette façon de passer sans crier gare de la plus droite fiction (le narratif pur) vers une sorte de descriptif aqueux, incandescent, traversé de visions magnifiques (...). Le film de Gopalakrishnan est comme un volcan éteint : en son creux travaille une lave de trouble et de folie qui, à chaque instant, semble à même de resurgir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
(...) Le cinéaste pose la question éternelle des rapports entre loi et morale, et se demande, à l'instar de Rossellini : " Où est la liberté ? " Mais le film n'a rien d'une aride thèse illustrée. Les personnages sont incarnés, montrés dans leur vie quotidienne (...). Un film nuancé, humain, où le trouble va crescendo.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est un passionnant voyage, au sud de l'Inde, dans les années quarante, à une époque où les maharajas avaient encore droit de vie et de mort sur leurs sujets.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le Serviteur de Kali est d'une complexité d'autant plus étonnante que sa forme en paraît simple, paisible. C'est en fait un conte cruel où rien de ce qui doit rassurer n'est convoqué et où tout se dirige vers la réalisation d'une fatalité implacable, autant métaphysique que sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
D'abord récit classique du dilemne moral d'un bourreau dans le Kerala des années 40, Le Serviteur de Kali s'engage dans une voie plus intime, plus opaque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) Si le film de Adoor Gopalakrishnan apparaît comme un très efficace plaidoyer contre la peine de mort, il est aussi bien plus que cela. Bénéficiant d'un scénario riche et très bien construit, il aborde autant la culpabilité que le poids des traditions et de la famille. Et mené d'une main de maître, "Le Serviteur de Kali" fait son oeuvre sur le spectateur longtemps après la fin de la projection.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Didier Péron
Le film d'Adoor Gopa la krishnan, d'une grande élégance visuelle, montre la confrontation du bourreau avec sa culpabilité qu'il noie dans l'alcool, jusqu'à ce que, ultime tour de vis, le prince lui demande de tuer un nouveau condamné.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Cela se passe en 1941, et tel datage appelait certainement une forme en apparence aussi classique. Joli drapé qui dévoile à mi-course un récit dans le récit plus audacieux que prévu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
L'histoire de ce bourreau partagé enntre le devoir à accomplir et l'horreur qu'il ressent face à l'exécution annoncée montre le metteur en scène sous son meilleur jour : intense, sans concession, surprenant et totalement habité par son sujet.
Chronic'art.com
La maestria du film tient essentiellement dans cette façon de passer sans crier gare de la plus droite fiction (le narratif pur) vers une sorte de descriptif aqueux, incandescent, traversé de visions magnifiques (...). Le film de Gopalakrishnan est comme un volcan éteint : en son creux travaille une lave de trouble et de folie qui, à chaque instant, semble à même de resurgir.
L'Humanité
(...) Le cinéaste pose la question éternelle des rapports entre loi et morale, et se demande, à l'instar de Rossellini : " Où est la liberté ? " Mais le film n'a rien d'une aride thèse illustrée. Les personnages sont incarnés, montrés dans leur vie quotidienne (...). Un film nuancé, humain, où le trouble va crescendo.
Le Figaroscope
C'est un passionnant voyage, au sud de l'Inde, dans les années quarante, à une époque où les maharajas avaient encore droit de vie et de mort sur leurs sujets.
Le Monde
Le Serviteur de Kali est d'une complexité d'autant plus étonnante que sa forme en paraît simple, paisible. C'est en fait un conte cruel où rien de ce qui doit rassurer n'est convoqué et où tout se dirige vers la réalisation d'une fatalité implacable, autant métaphysique que sociale.
Les Inrockuptibles
D'abord récit classique du dilemne moral d'un bourreau dans le Kerala des années 40, Le Serviteur de Kali s'engage dans une voie plus intime, plus opaque.
MCinéma.com
(...) Si le film de Adoor Gopalakrishnan apparaît comme un très efficace plaidoyer contre la peine de mort, il est aussi bien plus que cela. Bénéficiant d'un scénario riche et très bien construit, il aborde autant la culpabilité que le poids des traditions et de la famille. Et mené d'une main de maître, "Le Serviteur de Kali" fait son oeuvre sur le spectateur longtemps après la fin de la projection.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Le film d'Adoor Gopa la krishnan, d'une grande élégance visuelle, montre la confrontation du bourreau avec sa culpabilité qu'il noie dans l'alcool, jusqu'à ce que, ultime tour de vis, le prince lui demande de tuer un nouveau condamné.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Cela se passe en 1941, et tel datage appelait certainement une forme en apparence aussi classique. Joli drapé qui dévoile à mi-course un récit dans le récit plus audacieux que prévu.