Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Pierre Murat
Le seul mensonge du film, en fait, c'est son titre : elles ne sont pas minuscules, ces histoires. A chaque instant, au contraire, elles font affleurer l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) une miraculeuse élégance de regard et de coeur du cinéaste argentin Carlos Sorin, qui tient parfaitement la route pour suivre ce triple périple.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mais le film est plus encore que la somme de ces trois histoires. Sous l'immensité du ciel de Patagonie, Carlos Sorin fait résonner ces morceaux de destinées, jusqu'à produire une harmonie qui ne pouvait naître que de cet endroit-là.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
L'un des plus jolis films que l'on puisse voir en ces temps où l'on a bien besoin de croire en l'humanité !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Edouard Waintrop
Au final, une émouvante bouffée d'air patagon, tournée avec une majorité d'acteurs non professionnels par un cinéaste à la poursuite d'une carrière enfuie. Partout où il a été présenté, à Toulouse en mars 2002, aux Rencontres du cinéma d'Amérique latine alors qu'il était encore inachevé, ou au festival de Saint-Sébastien en septembre où il a remporté le prix spécial du jury, Historias Minimas a séduit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
La photo, simple et lumineuse comme de l'aquarelle, s'attache autant à la vérité des personnages (joués par des non-professionnels) qu'à la beauté des paysages déserts de la Patagonie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Mais ce sont les aspirations de toute la condition humaine qui palpitent ici, sans faire plus de bruit qu'un battement de coeur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
Historias mínimas ne repeint pas le monde en rose, mais évite tout cynisme. Il se dégage de ce portrait collectif du bout du monde une chaleureuse envie de mieux connaître les hommes, à défaut de toujours savoir les aimer.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça n'est jamais transcendant mais c'est picaresque et sensible de bout en bout, grâce à l'accumulation de petits détails vrais et de situations prêtant à sourire (l'histoire à rebondissements du gâteau d'anniversaire). Une jolie vue en coupe de la vie quotidienne en Argentine loin des grands centres urbains.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Altermondialiste à sa façon, Carlos Sorin est un cinéaste cohérent mais un peu trop naïf et doucereux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Ce manque d'équilibre nuit donc au film, mais la poésie et la sincérité qui se dégagent de l'oeuvre, sans parler du très beau visage du vieil homme, Antonio Benedictis, qui fut mécanicien toute sa vie, parviennent à combler ces lacunes.
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
On se dit alors que le cinéaste a su fuir l'esbroufe comme la peste et capter avec sa caméra minimas de belles historias pour donner lieu à un film résolument mineur mais assurément touchant.
Zurban
par Eric Quéméré
Le troisième film du réalisateur argentin de La película del rey raconte avec charme les petites histoires vécues de ces personnages un peu décalés.
Télérama
Le seul mensonge du film, en fait, c'est son titre : elles ne sont pas minuscules, ces histoires. A chaque instant, au contraire, elles font affleurer l'essentiel.
Le Figaroscope
(...) une miraculeuse élégance de regard et de coeur du cinéaste argentin Carlos Sorin, qui tient parfaitement la route pour suivre ce triple périple.
Le Monde
Mais le film est plus encore que la somme de ces trois histoires. Sous l'immensité du ciel de Patagonie, Carlos Sorin fait résonner ces morceaux de destinées, jusqu'à produire une harmonie qui ne pouvait naître que de cet endroit-là.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
L'un des plus jolis films que l'on puisse voir en ces temps où l'on a bien besoin de croire en l'humanité !
Libération
Au final, une émouvante bouffée d'air patagon, tournée avec une majorité d'acteurs non professionnels par un cinéaste à la poursuite d'une carrière enfuie. Partout où il a été présenté, à Toulouse en mars 2002, aux Rencontres du cinéma d'Amérique latine alors qu'il était encore inachevé, ou au festival de Saint-Sébastien en septembre où il a remporté le prix spécial du jury, Historias Minimas a séduit.
Première
La photo, simple et lumineuse comme de l'aquarelle, s'attache autant à la vérité des personnages (joués par des non-professionnels) qu'à la beauté des paysages déserts de la Patagonie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mais ce sont les aspirations de toute la condition humaine qui palpitent ici, sans faire plus de bruit qu'un battement de coeur.
Aden
Historias mínimas ne repeint pas le monde en rose, mais évite tout cynisme. Il se dégage de ce portrait collectif du bout du monde une chaleureuse envie de mieux connaître les hommes, à défaut de toujours savoir les aimer.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ça n'est jamais transcendant mais c'est picaresque et sensible de bout en bout, grâce à l'accumulation de petits détails vrais et de situations prêtant à sourire (l'histoire à rebondissements du gâteau d'anniversaire). Une jolie vue en coupe de la vie quotidienne en Argentine loin des grands centres urbains.
Les Inrockuptibles
Altermondialiste à sa façon, Carlos Sorin est un cinéaste cohérent mais un peu trop naïf et doucereux.
MCinéma.com
Ce manque d'équilibre nuit donc au film, mais la poésie et la sincérité qui se dégagent de l'oeuvre, sans parler du très beau visage du vieil homme, Antonio Benedictis, qui fut mécanicien toute sa vie, parviennent à combler ces lacunes.
Obejctif-Cinema.com
On se dit alors que le cinéaste a su fuir l'esbroufe comme la peste et capter avec sa caméra minimas de belles historias pour donner lieu à un film résolument mineur mais assurément touchant.
Zurban
Le troisième film du réalisateur argentin de La película del rey raconte avec charme les petites histoires vécues de ces personnages un peu décalés.