Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un thriller à la Scarface, Mean Streets ou Les Affranchis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Le film de Nick Broomfield n'en est pas moins un passionnant documentaire, dont le point d'orgue est constitué par l'apparition de Suge Knight dans la cour d'un pénitencier fédéral. Elle est aussi soudaine et inoubliable que celle d'Orson Welles au milieu du Troisième Homme. La corpulence massive de Suge Knight, son regard menaçant, son phrasé lent et inhabituel en font une incarnation du mal à l'état pur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
A cause du nombre élevé des intervenants et des thèses évoquées, le documentaire est parfois difficile à suivre. Mais cela ne remet nullement en cause l'intérêt du travail de Nick Broomfield. Sans se laisser intimider, il pénètre dans le monde très fermé du hip hop américain et, par caméra interposée, y fait entrer pleinement le spectateur.
Première
par Gérard Delorme
(...) le résultat est un fascinant exemple de mise en scène où le mensonge est indissociable de la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Stéphane Brisset
Cette pertinence narrative nous incite progressivement à adhérer à la thèse du cinéaste, qui jette une drôle de lumière sur les moeurs de l'industrie du rap américain. Pas étonnant, peut-être, mais diablement bien raconté.
Aden
par Philippe Piazzo
Quelle est la part de vérité de ce documentariste habile à mettre en scène - et dont le seul véritable héros est finalement lui-même, quelque part entre Michael Moore (sans la générosité) et Pierre Carles (sans l'idéologie), attentif à mettre en avant son courage, son humour, son habileté à faire parler les gens et à leur soutirer des informations exclusives... Vite, une contre-expertise !
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Alain Grasset
Reste que les fans de Tupac et de Biggie seront déçus de ne pas retrouver assez d'images de leurs idoles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Laurent Rigoulet
Biggie et Tupac ne convainc pas par l'élucidation du mystère que le cinéaste croit tenir à portée de caméra, mais plutôt par l'impressionnant labyrinthe dans lequel il nous promène. Par moments, le documentaire ressemble à un thriller d'où se détachent la glaçante figure du producteur Suge Knight, genre de Scarface black, et celles de policiers corrompus qui ne croient qu'à la loi du gang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Baptiste Piégay
Entre Perry Mason et Michael Moore, on eût encore préféré que Broomfield se prenne pour Colombo.
Chronic'art.com
par Pierre Evil
Ceux qui chercheront ici une analyse de la véritable nature du gangsta-rap, ou de la place du hip-hop dans la société américaine, ou tout simplement un film, devront hélas se contenter d'une simple enquête de tabloïd mise en image.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Novaplanet.com
par Alex Masson
Argumentations aussi faibles que sa mise en scène, irrépressible mise en avant de sa personne, rien n'y fait, la réalité rattrappe inexorablement Broomfield qui finit toujours par capter malgré lui un édifiant air du temps.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Les Inrockuptibles
Un thriller à la Scarface, Mean Streets ou Les Affranchis.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le film de Nick Broomfield n'en est pas moins un passionnant documentaire, dont le point d'orgue est constitué par l'apparition de Suge Knight dans la cour d'un pénitencier fédéral. Elle est aussi soudaine et inoubliable que celle d'Orson Welles au milieu du Troisième Homme. La corpulence massive de Suge Knight, son regard menaçant, son phrasé lent et inhabituel en font une incarnation du mal à l'état pur.
MCinéma.com
A cause du nombre élevé des intervenants et des thèses évoquées, le documentaire est parfois difficile à suivre. Mais cela ne remet nullement en cause l'intérêt du travail de Nick Broomfield. Sans se laisser intimider, il pénètre dans le monde très fermé du hip hop américain et, par caméra interposée, y fait entrer pleinement le spectateur.
Première
(...) le résultat est un fascinant exemple de mise en scène où le mensonge est indissociable de la vérité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Cette pertinence narrative nous incite progressivement à adhérer à la thèse du cinéaste, qui jette une drôle de lumière sur les moeurs de l'industrie du rap américain. Pas étonnant, peut-être, mais diablement bien raconté.
Aden
Quelle est la part de vérité de ce documentariste habile à mettre en scène - et dont le seul véritable héros est finalement lui-même, quelque part entre Michael Moore (sans la générosité) et Pierre Carles (sans l'idéologie), attentif à mettre en avant son courage, son humour, son habileté à faire parler les gens et à leur soutirer des informations exclusives... Vite, une contre-expertise !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
Reste que les fans de Tupac et de Biggie seront déçus de ne pas retrouver assez d'images de leurs idoles.
Télérama
Biggie et Tupac ne convainc pas par l'élucidation du mystère que le cinéaste croit tenir à portée de caméra, mais plutôt par l'impressionnant labyrinthe dans lequel il nous promène. Par moments, le documentaire ressemble à un thriller d'où se détachent la glaçante figure du producteur Suge Knight, genre de Scarface black, et celles de policiers corrompus qui ne croient qu'à la loi du gang.
Cahiers du Cinéma
Entre Perry Mason et Michael Moore, on eût encore préféré que Broomfield se prenne pour Colombo.
Chronic'art.com
Ceux qui chercheront ici une analyse de la véritable nature du gangsta-rap, ou de la place du hip-hop dans la société américaine, ou tout simplement un film, devront hélas se contenter d'une simple enquête de tabloïd mise en image.
Novaplanet.com
Argumentations aussi faibles que sa mise en scène, irrépressible mise en avant de sa personne, rien n'y fait, la réalité rattrappe inexorablement Broomfield qui finit toujours par capter malgré lui un édifiant air du temps.