Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Parfois aussi impénétrable que le littoral granitique qui lui sert de décor, le film souffre sans doute d'un cruel manque d'émotions. Il est en revanche très convaincant sur un strict plan formel tant le cinéaste s'est parfaitement appliqué à confronter son (anti) héros à ses contraires. (...) Aurélien Recoing, acteur d'exception,(...) prouve une fois encore son immense talent face à un Jalil Lespert à fleur de peau (...). À lui seul, cet affrontement vaut le déplacement.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Très vite, il se fait jour que L'Ennemi naturel n'est pas un polar mais l'histoire d'une révolution mentale. (...) D'une actualité brûlante, L'Ennemi naturel interroge une justice qui confie à un seul homme le soin de "boucler" un dossier, sans se préoccuper des rapports éventuels (et obscurs) entre l'énigme à élucider et le profil psychologique de l'instructeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Christine Haas
Sur fond de polar, un très beau sujet sur le désir refoulé, la difficulté de s'accepter entièrement et le courage d'affronter l'inconnu. (...) Le choix de deux grands acteurs compense la direction encore hésitante de ce premier film. (...) L'oeuvre est touchante jusque dans ses maladresses.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
L'atmosphère sauvage et rude de la Bretagne de son enfance est bien rendue. Mais le récit se perd vite dans les vagues, se brise sur les rochers. L'enquête policière s'enlise. On se retrouve vite entre fantasmes et réalité. En pleine confusion de sentiments, de genres, d'histoire.
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Un premier film singulier mais pas tout à fait abouti, croisement esthétisant entre Chabrol et film X (...) Pariant à la fois sur le trouble physique et le salut décoratif, Pierre Erwan Guillaume perd sans doute sur les deux tableaux. L'ennemi naturel, malgré son incontestable bizarrerie, reste de l'ordre du coup d'essai.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Guillaume Tion
La sauce ne prend pas et il ne reste pas grand chose du film à la sortie de salle. La réalisation maladroite et la photo terne y sont certainement pour quelque chose. Du coup, les moments les plus forts restent les passages en creux, ceux dont le film ne traite pas, soit les non-dits concernant l'éducation de la victime. Dommage.
Positif
par Catherine Axelrad
Ce premier film, policier à l'intrigue à la fois insuffisante et convenue, agace par ses gros plans prétentieux, l'emploi du hors-champ et autres procédés relevant d'un ostensible souci d'originalité, et surtout l'omniprésence lourdaude de Jalil Lespert (...) De temps à autre, cependant (...), affleure sous cette histoire moins sordide qu'elle n'en a l'air une évocation iodée du paradis perdu de l'enfance, concrétisé par les lieux que le réalisateur sait filmer avec simplicité, comme il les aime.
Zurban
par Eric Quéméré
Malheureusement, ce conte cruel manque souvent d'incarnation, malgré la fraîcheur de Jalil Lespert et la puissance d'Aurélien Recoing.
Aden
par Philippe Piazzo
Dans ce premier long-métrage, toutes les intentions du scénario sont si maladroitement soulignées par la mise en scène qu'elles n'ont plus aucune portée. (...) L'accumulation produit un effet de distance qui ne laisse voir qu'un squelette théorique, parfois vaguement grotesque. Sur un canevas plein d'idées, manque le film, c'est-à-dire son incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Moins qu'une école, mais déjà une tendance. Baptisons là pour l'instant "semi-polar en milieu provincial et pulsionnel". (...) Profil bas de la mise en scène (...) Choix des acteurs, à ce qu'il semble, pour leur absence d'éclat (...). Propension surtout à prendre occasion de l'actuelle décentralisation des subventions et des tournages pour substituer, à l'ancien badinage rive gauche, le leitmotiv à peine plus folichon de la retrouvaille avec le rural qui sommeille en chacun de nous.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Problèmes du cinéma français, suite. (...) Faiblesse, étroitesse d'esprit, pauvre imaginaire de ce cinéma, qui se réfugie dans une série de fausses audaces (les fameux décalages) pour masquer son vide.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Gilles Renault
L'enquête policière au charme provincial fané s'estompe, pour laisser mûrir une joute psychologique qui achoppe sur le manque de nuance. Gauche, bien que déterminé, Jalil Lespert (...) manque de discernement pour exprimer le trouble que lui inspire le principal suspect. En face, Aurélien Recoing surjoue la brute charismatique en butte à l'incompréhension.
Ouest France
par La Rédaction
Une caméra complaisante ne suffit pas à masquer les vides d'un récit mou et ralenti qui donne beaucoup dans l'artifice.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Gaël Golhen
Lent, désincarné et mou (...), le film part à la dérive des obsessions du réalisateur. Le véritable ennemi ici, c'est l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le film hésite, vacille, se perd en inutiles conjectures existentielles et oublie en chemin une intrigue policière très prévisible.
Télérama
par Pierre Murat
Gros problème de ce faux polar, à partir du meurtre d'un adolescent : le simplisme des personnages. (...) L'affrontement prometteur entre le Bien (pas toujours bon) et le Mal (pas forcément mauvais) se résume vite, hélas, à une fascination homo qui, sur la fin, vire au grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
L'histoire ne décolle jamais, s'englue dans ses incohérences et une ode à la nature un peu appuyée, souvent grandiloquente.
L'Humanité
Parfois aussi impénétrable que le littoral granitique qui lui sert de décor, le film souffre sans doute d'un cruel manque d'émotions. Il est en revanche très convaincant sur un strict plan formel tant le cinéaste s'est parfaitement appliqué à confronter son (anti) héros à ses contraires. (...) Aurélien Recoing, acteur d'exception,(...) prouve une fois encore son immense talent face à un Jalil Lespert à fleur de peau (...). À lui seul, cet affrontement vaut le déplacement.
Le Monde
Très vite, il se fait jour que L'Ennemi naturel n'est pas un polar mais l'histoire d'une révolution mentale. (...) D'une actualité brûlante, L'Ennemi naturel interroge une justice qui confie à un seul homme le soin de "boucler" un dossier, sans se préoccuper des rapports éventuels (et obscurs) entre l'énigme à élucider et le profil psychologique de l'instructeur.
Paris Match
Sur fond de polar, un très beau sujet sur le désir refoulé, la difficulté de s'accepter entièrement et le courage d'affronter l'inconnu. (...) Le choix de deux grands acteurs compense la direction encore hésitante de ce premier film. (...) L'oeuvre est touchante jusque dans ses maladresses.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
L'atmosphère sauvage et rude de la Bretagne de son enfance est bien rendue. Mais le récit se perd vite dans les vagues, se brise sur les rochers. L'enquête policière s'enlise. On se retrouve vite entre fantasmes et réalité. En pleine confusion de sentiments, de genres, d'histoire.
Les Inrockuptibles
Un premier film singulier mais pas tout à fait abouti, croisement esthétisant entre Chabrol et film X (...) Pariant à la fois sur le trouble physique et le salut décoratif, Pierre Erwan Guillaume perd sans doute sur les deux tableaux. L'ennemi naturel, malgré son incontestable bizarrerie, reste de l'ordre du coup d'essai.
MCinéma.com
La sauce ne prend pas et il ne reste pas grand chose du film à la sortie de salle. La réalisation maladroite et la photo terne y sont certainement pour quelque chose. Du coup, les moments les plus forts restent les passages en creux, ceux dont le film ne traite pas, soit les non-dits concernant l'éducation de la victime. Dommage.
Positif
Ce premier film, policier à l'intrigue à la fois insuffisante et convenue, agace par ses gros plans prétentieux, l'emploi du hors-champ et autres procédés relevant d'un ostensible souci d'originalité, et surtout l'omniprésence lourdaude de Jalil Lespert (...) De temps à autre, cependant (...), affleure sous cette histoire moins sordide qu'elle n'en a l'air une évocation iodée du paradis perdu de l'enfance, concrétisé par les lieux que le réalisateur sait filmer avec simplicité, comme il les aime.
Zurban
Malheureusement, ce conte cruel manque souvent d'incarnation, malgré la fraîcheur de Jalil Lespert et la puissance d'Aurélien Recoing.
Aden
Dans ce premier long-métrage, toutes les intentions du scénario sont si maladroitement soulignées par la mise en scène qu'elles n'ont plus aucune portée. (...) L'accumulation produit un effet de distance qui ne laisse voir qu'un squelette théorique, parfois vaguement grotesque. Sur un canevas plein d'idées, manque le film, c'est-à-dire son incarnation.
Cahiers du Cinéma
Moins qu'une école, mais déjà une tendance. Baptisons là pour l'instant "semi-polar en milieu provincial et pulsionnel". (...) Profil bas de la mise en scène (...) Choix des acteurs, à ce qu'il semble, pour leur absence d'éclat (...). Propension surtout à prendre occasion de l'actuelle décentralisation des subventions et des tournages pour substituer, à l'ancien badinage rive gauche, le leitmotiv à peine plus folichon de la retrouvaille avec le rural qui sommeille en chacun de nous.
Chronic'art.com
Problèmes du cinéma français, suite. (...) Faiblesse, étroitesse d'esprit, pauvre imaginaire de ce cinéma, qui se réfugie dans une série de fausses audaces (les fameux décalages) pour masquer son vide.
Libération
L'enquête policière au charme provincial fané s'estompe, pour laisser mûrir une joute psychologique qui achoppe sur le manque de nuance. Gauche, bien que déterminé, Jalil Lespert (...) manque de discernement pour exprimer le trouble que lui inspire le principal suspect. En face, Aurélien Recoing surjoue la brute charismatique en butte à l'incompréhension.
Ouest France
Une caméra complaisante ne suffit pas à masquer les vides d'un récit mou et ralenti qui donne beaucoup dans l'artifice.
Première
Lent, désincarné et mou (...), le film part à la dérive des obsessions du réalisateur. Le véritable ennemi ici, c'est l'ennui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film hésite, vacille, se perd en inutiles conjectures existentielles et oublie en chemin une intrigue policière très prévisible.
Télérama
Gros problème de ce faux polar, à partir du meurtre d'un adolescent : le simplisme des personnages. (...) L'affrontement prometteur entre le Bien (pas toujours bon) et le Mal (pas forcément mauvais) se résume vite, hélas, à une fascination homo qui, sur la fin, vire au grotesque.
aVoir-aLire.com
L'histoire ne décolle jamais, s'englue dans ses incohérences et une ode à la nature un peu appuyée, souvent grandiloquente.