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Un visiteur
0,5
Publiée le 2 avril 2011
Bien moins captivant que le premier opus, je dirais même plus, extrêmement décevant. Visuellement on a du très bon, mais aussi du très médiocre, assez étonnant. Pour l’histoire, à trop vouloir philosopher sur l’ultra futurisme, çà empile les couches pour être toujours plus complexe et à la fin çà ne rime à rien, on sombre carrément dans le ridicule tellement çà traîne en longueur.
Une serie de 5 films cyberpunk S.F d'animation ultra complexes et exigeants , ce qui les rends impérissables... Aux commandes des 2 premiers, l'immense Mamoru Oshii, le pendant Sci Fi de Miyazaki, accompagné de la musique hallucinante de Kenji Kawai. La première fois, si on manque un peu d'expérience, il faut se contenter de l'ambiance, car l'intrigue est réellement tortueuse : des polars métaphysico-technologique teintés de philosophie existentialiste ( Asimov, le cerveau positronique, l'ame robot, le fantome dans la machine, l'immensité du web engendrant des formes de vie autonomes, l'intelligence artificielle, les cyborgs... ). Ca se corse encore plus dans les 3 suivants issus de la serie Stand alone complex avec, cette fois la musique de yoko kanno ( Cowboy bebop ). Finalement, des films pratiquant une forme de suranalyse, vieillissant particulièrement bien ou pas du tout... A voir du meme auteur, "Avalon" et le sublime "Skycrawlers".......... GLOBAL JAZZALIST sur ton moteur de recherche
Ne vous attendez pas à du DBZ, ça commence lentement, l'accroche se fait difficilement mais on remarque déjà que le soin apporté à l'esthétisme est proche de la perfection. Puis au fil du film, on se prend au jeu, les dialogues philosophiques de nos protagonistes, citations à l'appui, les longs plans séquences purement contemplatif où se mélange 2D et 3D sur fond de musique onirique sont somptueux et nous touche émotionnellement.
Le point faible du film, c'est son histoire, car elle est reléguée au second plan et même si le film suit une trame général, le scénario n'est en fin de compte pas la priorité, mais est-ce vraiment un point faible ? Je pense plutôt que l'auteur s'est servi de ce prétexte pour axer son film sur la beauté des dessins et des modèles 3D dont le mélange fournit des paysages cyberpunk complexes dont on prend un véritable plaisir à regarder, la mélancolie générale qui en ressort est vivement ressentie par nos tripes. L'oeuvre donne également une grosse part à la réflexion, de longues tirades où des auteurs comme Confucius et Descartes sont cités ouvrent notre esprit à certaines questions : qu'est-ce qui définit vraiment un humain si les machines peuvent penser et agir comme eux (voir même commettre des suicides) ? Comment l'humain cherche à ressembler à Dieu pour échapper à la mortalité ? Si il n'y a plus aucune différence sur le ressentissement entre les expériences passées, imaginaires et le présent, qu'est-ce qui définit le réel ?
Le film réalise un mélange unique entre une expérience sensorielle exceptionnelle grâce au graphisme et une réflexion bien plus poussée que dans certains films genre Matrix, seule l'histoire ne semble pas intéresser l'auteur lui-même car il ne facilite pas notre compréhension totale pour nous, mais cela fait partie de l'amtosphère général général du film qui demande un second visionnage afin de bien nous rendre compte de sa richesse. Selon moi, une parfaite représentation de ce que le cyberpunk doit être.
Le plus beau dessin animé qu'il m'ait été permis de voir. Tout est magique dans ce film d'animation. Même si l'effet de surprise est moins important au niveau du scénario (suite au premier film), ceci est compensé par un Design somptueux dans lequel s'incorpore à merveille les images de synthèses.(les moyens y étaient grâce à la boîte de production de Spielberg (dreamworks)) Le scénario reste tout de même très profond et nous dévoile une autre facette de l'univers de Ghost in the shell, une fois de plus très philosophique: il faudra le visionner trois fois (en moyenne) pour en comprendre les bases. Les musiques quant à elles collent parfaitement à ce type de film et créent une ambiance encore plus profonde. Il vous sera difficile de les évacuer de votre tête: elle sont signée par le talentueux compositeur contemporain "Kenji kawaii" Enfin, ce film a aussi le mérite de se clore sur un FINAL digne de ce nom.
Si vous avez aimé le premier film, je pense que ce second saura vous satisfaire grandement. Même si le meilleur reste le premier (culte pour son scénario visionnaire et sa technique de dessin révolutionnaire), j'ai préféré le second.
Un excellent film ! L'esthétique et la réalisation sont vraiment parfaite. Le scénario est prenant et amène à une réflexion sur les frontières entre l'homme et la machine à partir du moment où celle-ci acquiert une âme. La BO est évidemment excellente vu que c'est de Kenji Kawai =) Je l'ai trouvé meilleur que le premier, qui était peut-être un peu plus confus (ou alors était-ce moi qui n'était pas assez réceptif au moment du visionnage). Bref, un véitable chef-d'oeuvre, tant par rapport à l'esthétique du film que par rapport à sa profondeur philosophique et symbolique.
Suite du culte, mais daté "Ghost in the Shell", "Innocence" brille par une mise en scène exceptionnelle, une musique fabuleuse et des images d'une beauté hallucinante. Le scénario, loin d'être incompréhensible comme j'ai pu le lire plusieurs fois dans la presse, est très interessant. A voir absolument !
Le film n'a rien à voir avec le premier. J'ai préféré le premier. Il y a trop de blablas et pas assez d'actions dans Ghost in the shell 2. J'attribue un bon point au graphisme et à la musique.
Oshii joue les prolongations. Après nous en avoir mis plein les mirettes et plein le cerveau avec le premier opus de Ghost in the Shell, il revient avec Innocence. En 1995, GITS était une révolution au niveau de l'animation et de la réflexion. En 2004 c'est presque pareil. Un petit bijoue d'animation et de perfectionnisme: un mélange 2D et 3D qui fait pâlir tellement c'est beau, un scénar' qui tient la route (toujours librement inspiré de l'oeuvre de Masamune Shirow) un peu moins compliqué que GITS mais qui donne toujours à réflechir. En fait j'ai eu l'impression qu'Innocence est la continuation quasi directe de GITS. Dans le 1 on définissait l'humanité et les robot. Ici on se demande quelle est la frontière entre humanité et robotique, les humain sont-ils robotisés? les robots sont-ils humanisés? Pour le savoir, allez voir ce film exceptionnel. Un film rare qui marque et qui deviendra rapidement un film de référence. Sans oublier la superbe musique de Kenji Kawai, bien plus concrète et moins expérimentale que le 1. En 1 mot génial, mais pas tout à fait au niveau du 1
Pour moi la meilleure anime jamais faite. Pour ne pas dire le meilleur dessin animé en général. La consruction du scénario est originale et marche à merveille. Ca laisse rêveur. La beauté incarnée en dessin animé.
Innocence est avant tout à réserver aux fans de la série et aux personnes qui séclatent à explorer son caractère philosophique. Quant à moi, je préfère très largement laction à la réflexion et en dépit de ses indéniables qualités graphiques et techniques je reste très déçu par le film. En fait, pour être sur de bien tout comprendre au film, je pense quil est nécessaire de le revoir une 2ème voire même une 3ème fois ! Pour ceux qui nont pas apprécié le 1er film, je pense quil vaut mieux éviter cette seconde mouture car il est encore plus « abstrait » mais il a toutefois le mérite de prouver que les films danimation ont atteint un degré de réalisme égal à un film ordinaire. Pour ceux qui ne connaissent pas lunivers de GITS, il sera très difficile de ressortir de la séance an ayant compris toutes les subtilités du film. Au mieux, vous ne quitterez la salle quen ayant apprécié les qualités esthétiques du film.
Ensuite, pendant les dix premières minutes, on regrette un peu que ce ne soit pas du 100% dessin-animé comme le premier opus de GITS.
Mais devant la beauté esthétique des décors, et de la totalité du film, on oublie tout, on plonge, on se noie. Seules les lumières qui reviennent dans la salle de ciné nous sortent enfin de ce monde.
L'expérience la plus oniriqie jamais vécue au cinéma.
Une suite assez honnête et aussi belle que son prédescesseur. Il n'y a pas vraiment d'évolution si ce n'est que l'image est un peu plus fraîche et on trouve plaisir à examiner ces poupées sorti tout droit des photos de Hans Bellmer. Ceci dit, "Inosensu: Kôkaku kidôtai" souffre d'une surcharge de citation. Elles essaient de lever le niveau d'intelligence du film encore plus haut. Un traitement beaucoup plus fin aurait été le bienvenu. Cela dit, c'est une pièce à avoir et à apprécier de la même façon que "Kôkaku kidôtai". On ne s'ennuie pas.
Quel film prétentieux, j'ai tenu un quart d'heure avant de tomber dans un sommeil quasi profond. Je trouve l'animation peu interessante et les dialogues très pompeux. C'est aussi philosophique que des brèves de comptoir. Le scenario est complexe et on a l'impression de tourner les pages d'une BD (mauvaise) plutôt que d'être au cinema tant l'image est fixe.
Un poil plus compliqué que le 1er, ce 2ème volet maitrise tout à fait son sujet. La musique suit le même pas et le plaisir et toujours aussi intense. Cependant, le "Major" manques un peu dans cette suite.
Film qui fait réfléchir sur l'intelligence artificielle et la limite entre humanité et machine. L'histoire est un peu complexe, mais compréhensible, j'ai néanmoins un peu plus de mal avec la bande son...