Innocence - Ghost in the Shell 2 : Critique presse
Innocence - Ghost in the Shell 2
Note moyenne
3,7
29 titres de presse
Chronic'art.com
Le Monde
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
TéléCinéObs
Télérama
aVoir-aLire.com
Ciné Live
Elle
Fluctuat.net
L'Express
L'Humanité
L'Humanité
Libération
Première
Zurban
Aden
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Point
MCinéma.com
Positif
Rolling Stone
Télérama
L'Ecran Fantastique
Studio Magazine
Variety
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Ghost in the shell est mort, vive Innocence, nouvelle mutation d'une oeuvre qui érige le perfectionnisme au rang des Beaux-Arts. Oshii pousse les manettes à fond : plus de poésie, de philo et de beauté graphique, la surenchère est certes aussi attendue qu'un vulgaire sequel hollywoodien. Sauf qu'ici, la perfection devient l'enjeu et le dispositif du film. (...) Pur chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean -François Rauger
le nouvel opus de Mamoru Oshii pourra être tenu non seulement comme une des oeuvres importantes de l'année, mais aussi comme une évolution passionnante du genre, un approfondissement esthétique autant qu'une évolution technique. (...) D'une beauté plastique par instants hypnotisante, le film de Mamoru Oshii est pourtant plus que cela, un envoûtement sensoriel doublé d'une méditation théorico-poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-François Rauger
D'une incomparable et inquiétante beauté plastique, les images d'Oshii mettent en scène le rapport de plus en plus distordu qui se joue entre les corps de cinéma et la manière dont ils se réfèrent forcément à une idée particulière de la notion d'humanité. (critique cannoise)
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Innocence dépasse en beauté, en audace et en intelligence le premier opus. (...) C'est par son incommensurable beauté contemplative, la brièveté et la violence de ses scènes d'action noyées dans un océan de mélancolie urbaine et de considérations existentialistes qu'Innocence frappe les esprits et ravit les sens.
Libération
par Philippe Azoury et Olivier Séguret
Cet alliage impressionnant entre, d'une part, un pessimisme philosophique ambitieux (humain trop humain ? Cyborg trop cyborg ?) et, de l'autre, une puissance émotive essentiellement iconographique, touchante, forme toute l'harmonie magique du délirant projet Innocence. (critique cannoise)
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
(...) une réflexion philosophique plus convaincante que dans "Matrix" et (...) un scénario beaucoup plus élaboré que celui de "I, Robot". Bref, un pur chef-d'oeuvre cyberpunk.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Un fulgurant cyberpolar d'animation nippon, nourri d'une vraie réflexion sur le virtuel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Innocence est un gros et grand bloc où toute la virtuosité de l'artiste est exploitée à très bon escient et sans parcimonie, au service d'un film beau et fascinant qui laisse dans une béatitude languide.
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Somptueux cybermanga (...). On ne comprend que couic, ou presque, à cette fable philosophique ultrapessimiste sur la déshumanisation entraînée par l'avancée technologique. (...) Demeure l'impression d'avoir été le témoin d'une ensorcelante prophétie articulée dans une langue étrangère.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Innocence déroute, à mi chemin entre une oeuvre professorale, voire dogmatique, et une géniale entreprise de recherche et de questionnement en action. (...) Par cette poésie du numérique, égrenée à un rythme contemplatif envoûtant, Innocence séduit.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
on se laisse aller à la beauté des visions, on admire le raffinement des décors quasi photographiques et l'écheveau de références : citations philosophiques et imagerie surréaliste
L'Humanité
par Michel Guilloux
Côté spectaculaire, on est servi par des décors en images virtuelles qui, d'entrée de jeu, sont tout bonnement vertigineux (...) S'il excelle dans la sphère des jeux vidéo, en adepte conséquent de science-fiction, Mamoru Oshii (...) utilise aussi son média pour pousser jusqu'à leur terme certaines données contemporaines (...) (critique cannoise)
Libération
par Michel ROUDEVITCH
En dépit de sa beauté formelle, sans minimiser la maîtrise architectonique de Ghost in the Shell 2 (...), sans nier non plus l'attrait de la grande séquence centrale d'un baroque funèbre de carnaval vénitien, Oshii abuse des effets spéciaux spectaculaires, des références multiples (...) et d'un déluge de dialogues philosophants. Mais le catalyseur de Jin-Roh et d'Avalon ne décevra pas pour autant les fidèles de ses grand-messes infographiques.
Première
par Gérard Delorme
Le film pose certaines questions (les robots souffrent-ils ? Sont-ils responsables ?) qui le rapprochent d'I, Robot. Dans ce domaine, les deux films ont le mérite commun de proposer une alternative à l'hypothèse archaïque selon laquelle les créatures sont nécessairement assujetties à leurs maîtres humains. La réponse d'Oshii est imprégnée d'un scepticisme pessimiste que compensent des paysages imaginaires somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Eric Quéméré
Les fans de mangas se plongeront avec délices dans ce thriller au scénario un brin elliptique, mais à la réalisation époustouflante. Oshii (...) a décidément l'art de créer, à l'intérieur d'un univers pourtant fort sombre, des séquences d'une incroyable poésie...
Aden
par Philippe Piazzo
La splendeur technique, avec ses effets spéciaux sophistiqués , et l'univers de science-fiction incoryable, (...) n'arrive pas à fasciner complètement pendant deux longues heures, à moins d'être un inconditionnel de manga.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par La rédaction
Pour les inconditionnels de manga, une suite un peu décevante.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Mélangeant, comme ce dernier, images numériques et animation traditionnelle, INNOCENCE est une déception à la hauteur de l'excitation qu'il suscitait. Restent, malgré tout, quelques jolis instants, notamment l'envoûtant générique de début. Bien peu pour satisfaire notre soif de découverte en animation, stimulée par des productions de plus en plus ambitieuses.
Positif
par Adrien Gombeaud
Les aficionados s'amuseront sans doute à trouver un sens à ce chapelet de références philosophiques. Les autres, plongés dans un bain chaud, goûteront au confort moelleux d'un fauteuil de cinéma en rêvant à autre chose.
Rolling Stone
par La Rédaction
Mamoru Oshii signe une suite magnifique visuellement mais qui se perd dans un obscur verbiage philosophico-humaniste. Dommage.
Télérama
par Aurélien Férenczi
Le ton étonne – notamment pour qui n'est pas lecteur de manga – par l'ambition de dialogues très écrits (...) L'intrigue patine un peu à mi-parcours, et il manque au final le vertige que provoquait Avalon (...) Mais Innocence est une proposition cinématographique et festivalière tout à fait singulière. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Stéphane Benaïm
Sans jamais parvenir à égaler son premier Ghost in the Shell, Mamoru Oshii s'autoparodie, prouvant ainsi les limites de son inspiration. Dansd cette caricature de monde futuriste, les humanoïdes ont définitivement remplacé l'Homme. Espérons que cette crise ne soit que passagère...
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Variety
par Derek Elley
Mamoru Oshii échoue à retrouver la magie de son classique de la japanime, Ghost in the shell. Bavard, répétitif, et explorant les mêmes contrées sans idée nouvelle, Innocence est une grosse déception. (critique cannoise)
Zurban
par Charlotte Lipinska
Totalement abscons, le scénario est un amalgame de concept futuro-politico-religieux autour d'un cyborg qui cherche ses traces d'humanité intérieure (...) L'image futuriste que Mamoru Oshii projette sur la cité est réussie (...) L'admiration esthétique n'est hélas que de courte durée : le verbiage technique achève de nous consumer. (critique cannoise)
Chronic'art.com
Ghost in the shell est mort, vive Innocence, nouvelle mutation d'une oeuvre qui érige le perfectionnisme au rang des Beaux-Arts. Oshii pousse les manettes à fond : plus de poésie, de philo et de beauté graphique, la surenchère est certes aussi attendue qu'un vulgaire sequel hollywoodien. Sauf qu'ici, la perfection devient l'enjeu et le dispositif du film. (...) Pur chef-d'oeuvre.
Le Monde
le nouvel opus de Mamoru Oshii pourra être tenu non seulement comme une des oeuvres importantes de l'année, mais aussi comme une évolution passionnante du genre, un approfondissement esthétique autant qu'une évolution technique. (...) D'une beauté plastique par instants hypnotisante, le film de Mamoru Oshii est pourtant plus que cela, un envoûtement sensoriel doublé d'une méditation théorico-poétique.
Le Monde
D'une incomparable et inquiétante beauté plastique, les images d'Oshii mettent en scène le rapport de plus en plus distordu qui se joue entre les corps de cinéma et la manière dont ils se réfèrent forcément à une idée particulière de la notion d'humanité. (critique cannoise)
Les Inrockuptibles
Innocence dépasse en beauté, en audace et en intelligence le premier opus. (...) C'est par son incommensurable beauté contemplative, la brièveté et la violence de ses scènes d'action noyées dans un océan de mélancolie urbaine et de considérations existentialistes qu'Innocence frappe les esprits et ravit les sens.
Libération
Cet alliage impressionnant entre, d'une part, un pessimisme philosophique ambitieux (humain trop humain ? Cyborg trop cyborg ?) et, de l'autre, une puissance émotive essentiellement iconographique, touchante, forme toute l'harmonie magique du délirant projet Innocence. (critique cannoise)
TéléCinéObs
(...) une réflexion philosophique plus convaincante que dans "Matrix" et (...) un scénario beaucoup plus élaboré que celui de "I, Robot". Bref, un pur chef-d'oeuvre cyberpunk.
Télérama
Un fulgurant cyberpolar d'animation nippon, nourri d'une vraie réflexion sur le virtuel.
aVoir-aLire.com
Innocence est un gros et grand bloc où toute la virtuosité de l'artiste est exploitée à très bon escient et sans parcimonie, au service d'un film beau et fascinant qui laisse dans une béatitude languide.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Somptueux cybermanga (...). On ne comprend que couic, ou presque, à cette fable philosophique ultrapessimiste sur la déshumanisation entraînée par l'avancée technologique. (...) Demeure l'impression d'avoir été le témoin d'une ensorcelante prophétie articulée dans une langue étrangère.
Fluctuat.net
Innocence déroute, à mi chemin entre une oeuvre professorale, voire dogmatique, et une géniale entreprise de recherche et de questionnement en action. (...) Par cette poésie du numérique, égrenée à un rythme contemplatif envoûtant, Innocence séduit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
on se laisse aller à la beauté des visions, on admire le raffinement des décors quasi photographiques et l'écheveau de références : citations philosophiques et imagerie surréaliste
L'Humanité
Côté spectaculaire, on est servi par des décors en images virtuelles qui, d'entrée de jeu, sont tout bonnement vertigineux (...) S'il excelle dans la sphère des jeux vidéo, en adepte conséquent de science-fiction, Mamoru Oshii (...) utilise aussi son média pour pousser jusqu'à leur terme certaines données contemporaines (...) (critique cannoise)
Libération
En dépit de sa beauté formelle, sans minimiser la maîtrise architectonique de Ghost in the Shell 2 (...), sans nier non plus l'attrait de la grande séquence centrale d'un baroque funèbre de carnaval vénitien, Oshii abuse des effets spéciaux spectaculaires, des références multiples (...) et d'un déluge de dialogues philosophants. Mais le catalyseur de Jin-Roh et d'Avalon ne décevra pas pour autant les fidèles de ses grand-messes infographiques.
Première
Le film pose certaines questions (les robots souffrent-ils ? Sont-ils responsables ?) qui le rapprochent d'I, Robot. Dans ce domaine, les deux films ont le mérite commun de proposer une alternative à l'hypothèse archaïque selon laquelle les créatures sont nécessairement assujetties à leurs maîtres humains. La réponse d'Oshii est imprégnée d'un scepticisme pessimiste que compensent des paysages imaginaires somptueux.
Zurban
Les fans de mangas se plongeront avec délices dans ce thriller au scénario un brin elliptique, mais à la réalisation époustouflante. Oshii (...) a décidément l'art de créer, à l'intérieur d'un univers pourtant fort sombre, des séquences d'une incroyable poésie...
Aden
La splendeur technique, avec ses effets spéciaux sophistiqués , et l'univers de science-fiction incoryable, (...) n'arrive pas à fasciner complètement pendant deux longues heures, à moins d'être un inconditionnel de manga.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Pour les inconditionnels de manga, une suite un peu décevante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Mélangeant, comme ce dernier, images numériques et animation traditionnelle, INNOCENCE est une déception à la hauteur de l'excitation qu'il suscitait. Restent, malgré tout, quelques jolis instants, notamment l'envoûtant générique de début. Bien peu pour satisfaire notre soif de découverte en animation, stimulée par des productions de plus en plus ambitieuses.
Positif
Les aficionados s'amuseront sans doute à trouver un sens à ce chapelet de références philosophiques. Les autres, plongés dans un bain chaud, goûteront au confort moelleux d'un fauteuil de cinéma en rêvant à autre chose.
Rolling Stone
Mamoru Oshii signe une suite magnifique visuellement mais qui se perd dans un obscur verbiage philosophico-humaniste. Dommage.
Télérama
Le ton étonne – notamment pour qui n'est pas lecteur de manga – par l'ambition de dialogues très écrits (...) L'intrigue patine un peu à mi-parcours, et il manque au final le vertige que provoquait Avalon (...) Mais Innocence est une proposition cinématographique et festivalière tout à fait singulière. (critique cannoise)
L'Ecran Fantastique
Sans jamais parvenir à égaler son premier Ghost in the Shell, Mamoru Oshii s'autoparodie, prouvant ainsi les limites de son inspiration. Dansd cette caricature de monde futuriste, les humanoïdes ont définitivement remplacé l'Homme. Espérons que cette crise ne soit que passagère...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Variety
Mamoru Oshii échoue à retrouver la magie de son classique de la japanime, Ghost in the shell. Bavard, répétitif, et explorant les mêmes contrées sans idée nouvelle, Innocence est une grosse déception. (critique cannoise)
Zurban
Totalement abscons, le scénario est un amalgame de concept futuro-politico-religieux autour d'un cyborg qui cherche ses traces d'humanité intérieure (...) L'image futuriste que Mamoru Oshii projette sur la cité est réussie (...) L'admiration esthétique n'est hélas que de courte durée : le verbiage technique achève de nous consumer. (critique cannoise)