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    Où est la maison de mon ami?
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    3,8
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    45 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 septembre 2015
    J'ai vu le film en VO et vraiment c'est nul, il y a au moins 50 minutes ou le personnage principal marche sans rien faire d'autres et puis ce gosse joue mal il est antipathique et en plus il louche mdr. Bref à ne surtout pas voir j'ai fais l'erreur de le voir et je me suis ennuyé du début à la fin:(
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 janvier 2016
    Un très beau film sur les relations entre adultes et enfants en Iran. On est touché par la volonté et le courage du petit Ahamd qui fait tout pour retrouver son ami afin de lui éviter des ennuis. Durant son périple, il aura à affronter la sévérité des adultes. Seule la musique est un peu pompeuse au bout d'une demi-heure.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    Drôle, tendre, divertissant, réaliste, bien joué, mignon tout plein : un chef d'œuvre absolu. Avec une très bonne B.O.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2016
    Naï-NaÏ Naï-NaÏ Naï-NaÏ Naï-NaÏ Naï... C'est sur ces dernières notes de musique que je quitte la chambre de mon frère. Le film se finit sur son ordinateur, mais je continue de pleurer. Mes cris déchirent encore l'appartement, et les mouchoirs sont répandus un peu partout. C'est fini, enfin. Cette épreuve d'une souffrance terrible, d'une tristesse incroyable, d'une intensité unique. Il faut retourner à la vie, voir des gens, bouger, sourire aussi. Ca va être dur. "Ou est la maison de mon ami" est une claque. Phénoménale et monumentale. Dans tous les sens du terme, cinématographique et physique. On n'en ressort pas indemne, si l'on est entré dans le film. Je ne parlerai pas de ceux pour qui ce n'était pas le cas. Bien que je puisse le comprendre, je ne suis absolument pas concerné donc je passerai toute la partie violence gratuite et facilités scénaristiques. "Ou est la maison de mon ami?" est une claque. Ou plutôt un point dans la tronche, si vous me permettez l'expression. Une bonne grosse frappe de votre plus grand ennemi qui vous projette au sol. Il vous faudra plusieurs heures pour pouvoir revenir à votre état normal. Des heures au plus bas, touché comme jamais vous n'avez été touché, l'esprit totalement détruit. La vie est moche, injuste, sale, noire, dure. On perd tout courage, tout espoir, toute foi en l'humanité. On perd tout. On est nu face à ce film, sans rien pour se protéger. Le film est nu devant nous, sans artifices. Juste des larmes et des coups. Grâce à quoi ? Grâce à Abbas Kiarostami et sa façon de filmer si spéciale. "Ou est la maison de mon ami?" ressemble à un documentaire et les acteurs du film ont énormément de liberté. Tout ça, c'est magnifique parce qu'il va toujours au bout de sa mise en scène, au bout des dialogues, au bout de ses idées, au bout de l'intrigue. Parfois il va trop loin peut-être. Mais il n'empêche qu'il va au bout, et rien que pour ça, je l'admire. Il ne se soucie pas du reste du monde, il se soucie de ses acteurs. Il se soucie de Ahmad Ahmadpoor, et ça se voit. Il est constamment mise en avant, tous ses talents sont à leur maximum, mais j'y reviendrai. Parlons d'abord de l'histoire. La plus horrible, la plus sadique, la plus injuste. Tout le monde s'acharne sur Ahmad, même les gentils s'y mettent. Il en ressort magnifiée, car en position de victime, on ne peut le trouver que plus majestueux. Ce que Ahmad donne aux gens est fabuleux, pourtant elle n'a pas grand chose. Lorsqu'il leur donne de l'amour, c'est vraiment beau. Alors je peux vous dire que plus on avance dans le film, plus c'est dur. Le moment est venu pour moi de parler de la performance de Ahmad Ahmadpoor. Il s'est directement placée grâce à ce film en première position de mes acteurs préférées. Un seul film, mais quel acteur. Après lui, même une Tahereh Ladanian de "Au travers des oliviers" ou un Bouzid Negnoug du "Gone du chaâba" vous paraitra fade. D'accord, le rôle donné par le réalisateur est plutôt intéressant pour faire une bonne performance, mais quand même. Comme je l'ai dit précédemment, Abbas Kiarostami laisse une grande liberté à ses acteurs. Je pense par exemple à la scène centrale du film ("Where is the friend's home?"). On ne peut que s'incliner devant Ahmadpoor lorsqu'on voit ces images. Et pourtant, Tahereh et Bouzid sont balèzes, croyez-moi. J'en suis presque à faire une thèse sur le fait qu'il n'est pas humain, mais au dessus de nous tous. C'est vous dire. La scène centrale du film, c'est d'ailleurs là où j'ai commencé à pleurer. Puis je n'ai pas arrêté pendant une heure et demie. Avec des hauts et des bas, mais surtout des bas. Des mouchoirs, des mouchoirs, quelques reniflements, des larmes qui coulent. Jusqu'ici rien de grave. Non non, je vous jure, rien de grave, c'est seulement des larmes. Ensuite, les cris sont venus. C'est là où tu te dis que les deux heures que tu viens de passer n'étaient rien. Vient donc la scène des retrouvailles à l'école, le moment où la montée de la tension est la plus visible. Mince, on le sent se rapprocher autant que Ahmad. Là, les larmes commencent à s'accompagner de petits sons de tristesse, et je décidé de ne plus me contrôler. Autant tout lâcher, c'est bientôt fini. Dix secondes avant la fin du film, mon cœur s'est arrêté de battre pendant un instant. Ça n'a duré qu'une milliseconde, qu'un seul battement. Mon cœur a simplement zappé un battement. Le vide intersidéral. L'impression de tomber d'une falaise, ce moment je m'en souviendrai toute ma vie. Abbas Kiarostami, tu me dois un battement de cœur. Je ne parlerai pas de l'évènement qui a causé ce vide absolu en moi, ceux qui ont vu le film savent de quoi je parle, de toute façon. C'est la seconde d'après que les cris sont sortis. Tellement de souffrance en moi, tellement de haine, j'ai tout laissé sortir d'un coup. C'était la chose la plus puissante de ma vie. Je ne sais pas si je vivrai ça un autre jour. L'heure suivant "Le Gone du Chaâba", par rapport à celle suivant "Ou est la maison de mon ami?", fade aussi. Les musiques sont également magnifiques, toutes sans exception. Le fait qu'elles commencent grâce à la vision de Ahmad du monde, les petits bruits des pas qui deviennent une mélodie, c'est véritablement génial. Chaque musique arrive au bon moment, exprime les bonnes choses. Tout est parfait. Et à cela s'ajoute la voix de Ahmad, que vous dire de plus. Un dieu, une voix qui va chercher au fond de vous pour extraire les sentiments les plus purs et puissants. Comme je n'ai plus la force de faire une conclusion parce que même le fait d'écrire une critique de "Ou est la maison de mon ami?" me rend tout patraque, je conclurai avec cette phrase de Philistine, que l'on peut retrouver dans la critique de Gizmo. Cette phrase, j'y pense en permanence depuis que je l'ai lue : "les pires moments de ma vie j'ai pas chialé autant que devant 'Ou est la maison de mon ami?'." Tout simplement.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 octobre 2015
    A se piser dessus de rire tellement c'est c, o et n. Un gars me vole mon cahier de maths, pourquoi pas aller lui rendre car on est solidaire. En plus il profite du fait d'avoir mon cahier pour faire des sales blagues. Je vais le poursuivre dans des scènes d'"action"s (car Moleté le califirait mieux) complètement stupides !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    953 abonnés 4 882 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2018
    Touchantes ces tribulations à travers la ville. La volonté de cet enfant qui doit écouter la parole de l’adulte partout en s’en défaire aussi vite pour accomplir le devoir qu’il s’est assigné. La fin est vraiment jolie.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 855 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2017
    J'avais vu "Et la vie continue", film qui consistait à retrouver l'acteur de "Où est la maison de mon ami ?" après un tremblement de terre en Iran. Et donc j'avais envie de voir le film où "tout à commencé" et je suis assez déçu.

    En fait je n'ai pas été touché par le film, certes c'est assez bien écrit, le prof qui ne comprend le point de vue des élèves, les parents qui ne comprennent pas ce que raconte leur gamin et qui esquivent avec des réponses toutes faites avec de refuser lorsque enfin ils ont compris après plusieurs longues minutes d'explications...

    Et tout ça, ça fonctionne vraiment bien. De plus j'ai trouvé ça assez fascinant d'être plongé de la sorte dans un Iran populaire, dans un Iran des villages, pendant la guerre Iran-Irak, de voir comment les gens vivaient, ce qu'il se passait, etc.

    Mais le film je ne le trouve pas passionnant. En fait je me suis pas mal ennuyé tout le long parce qu'il manquait un souffle de vie qui rendrait cette tranche de vie, cette quête presque absurde de rendre le cahier de son camarade de classe vraiment fascinante. Il manque peut-être des moments où le film se pose, laisse ses personnages respirer et les laisser un peu se développer sans qu'ils soient réduit à "je veux rapporter le cahier de mon ami".

    J'ai vu le film dans une copie pas terrible, mais je dois dire que même au niveau de la mise en scène, ce n'était pas non plus la folie, c'était certes très simple, mais je n'ai jamais senti de vie dans ces plans, de petites choses qui viennent habiter le cadre pour donner vie au film. J'ai trouvé assez morne et pas palpitant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 septembre 2015
    Un petit film... tout petit. Pour faire dans le politiquement correct, on va dire que je n'ai pas été touché. En plus les acteurs s'en sortent mal... Non le gros problème à mes yeux, c'est le scénario. Je veux bien pleurer devant des films mais uniquement quand il y a une certaine finesse, une certaine émotion... Mais là, ce n'est pas possible : c'est trop, trop, trop prévisible. Et puis il ne tient que sur un ticket de métro : un gamin tiens un cahier dans les mains et fait le tour de son village en disant bonjour à tous les gens qu'il croise.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2020
    Tourné en 1987 dans un village rural du nord de l’Iran, Où est la maison de mon ami ? contribua grandement à la renommée internationale d’Abbas Kiarostami. Et l’on comprend pourquoi, tant cette pépite reste un émerveillement intemporel, plus de 30 ans après sa sortie. L’histoire tient pourtant en quelques lignes. Ahmad, écolier de 8 ans, a embarqué par erreur le cahier de son camarade Mohammad après l’école. Ce dernier risque le renvoi s’il ne s’applique pas à faire ses devoirs le soir même dans son précieux cahier. S’embarquant dans des péripéties dont il ne mesure immédiatement pas toute la difficulté, Ahmad va tout faire pour trouver la maison de son ami avant la nuit tombée. Filmé à hauteur d’enfant, ce long-métrage est à la fois universel dans la simplicité de son histoire et en dit beaucoup sur la société iranienne villageoise de la fin des années 80. Ce conte initiatique qui oscille entre la légèreté la plus absolue et le cauchemar enfantin est aussi la chronique belle simple et émouvante d’une communauté, de ses logiques parfois absurdes mais toujours nobles, et de ses anciens qui comme c’est le cas partout, pensent que c’était mieux avant. Une mise en scène magistrale, d’une puissance inouïe, pour un chef-d’œuvre incontesté.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 décembre 2015
    J’avais quelques appréhensions à reprendre Kiarostami après une des séances les plus douloureuses de ma jeunesse, l’abominable, prétentieux et ennuyeux Goût de la cerise, le genre de films qui n’existent que le temps des festivals internationaux et qui sont souvent la meilleur raison de vouloir les éradiquer de la surface de la planète.

    Mais là, pour le coup, on m’avait promis quelque chose de plus léger, mes éclaireurs étaient presque tous dithyrambiques, ça dure 1h25, Adobati fait l’effort de me le refiler, je me surprends à lancer le film avec espoir et grande curiosité.

    Alors, c’est l’histoire d’un Petit Nicolas Iranien, d’ailleurs, il s’habille comme le nôtre, il a la même tête aussi, une gentille bouille de bambin et il va à l’école, même que pour éviter que son petit camarade se fasse gronder par le maître demain, faut qu’il lui rende son cahier dans la soirée, ce qui n’est pas simple quand on ne sait pas où il habite et quand tout le monde semble vouloir l’empêcher d’y parvenir.

    Petit conte trop didactique réalisé dans le cadre d’un institut étatique éducatif, le film aurait pu être charmant s’il n’était alourdi en permanence de défauts impardonnables.

    Tout d’abord, c’est gentil d’avoir pitié de l’état du cinéma perse, mais il n’empêche que la pellicule est laide, que la mise en scène est limitée et les cadrages parfois approximatifs. Et puis, les comédiens amateurs, c’est sympa, mais parfois ça se voit trop, ça fait tâche, certains gestes semblent tellement artificiels que j’en sortais presque de l’histoire… Même le gentil gosse à un moment, sa mignonne mine tristoune cesse d’émouvoir pour finir presque par agacer, tant le voir tirer la tronche du début à la fin du film commence à devenir un tantinet pesant.

    Il faut dire que le plus gros défaut du film, c’est son infinie lourdeur de ton. Les pérégrinations du gosse auraient pu être palpitantes, curieuses, émouvantes, révélatrices de mille et un détails de cette vie dans les provinces du Nord du pays que j’avoue mal connaître et que je suis content de découvrir. Malheureusement, pour nous faire comprendre l’incompréhension qui existe entre le gosse et les adultes et, plus généralement, le sentiment d’oppression qui domine parfois, Abbas le pas finaud ne connait qu’une seule astuce : faire répéter encore et encore tous les dialogues six ou sept fois entre les adultes et les enfants. Ca commence avec l’instituteur qui torture ainsi à la fois son élève et le spectateur et puis, ça ne cessera jamais jusqu’à la fin du film, gâchant toutes les scènes les unes après les autres après un artifice d’une grossièreté infinie et d’un résultat abrutissant.

    Alors, c’est dommage, derrière le côté trop calibré du film qui a l’air d’avoir, lui-aussi, déjà, été conçu pour émouvoir les bonnes consciences occidentales des festivals interchangeables, il y avait une belle histoire, et même une chouette idée, au milieu, à cause d’un pantalon, mais tout cela s’effondre presque à cause d’un détail pénible répété jusqu’à l’infini.

    C’est toujours très ennuyeux dans les films se prétendant proches du réel de tout gâcher par des artifices aussi grossiers, ça donne l’impression que le réalisateur se paye notre tête, qu’il nous raconte finalement des bêtises… Surtout, ça m’a désintéressé petit à petit de l’histoire, je n’ai pas pu profiter de la fin maladroite et un peu prévisible mais qui aurait dû être touchante malgré tout…

    N’empêche, ça restait infiniment plus supportable que le tombereau d’ennui cité en introduction…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 septembre 2015
    La petit qui est bon, les grands qui sont méchants ! Les enfants qui ne sont finalement pas drôles pour un sou, les méchants monsieurs eux n’ont plus ! Le gamin cliché, le village pas magique ! Voila, quand j’étais petit je trouvais déjà ce long métrage d’une nullité effroyable, et encore plus aujourd’hui ! Ça pue l’idéologie primitive chrétienne, le bien et le mal ! Bref à ne surtout pas donner aux enfants.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    Un très beau film sur les relations entre adultes et enfants en Iran. On est touché par la volonté et le courage du petit Ahamd qui fait tout pour retrouver son ami afin de lui éviter des ennuis. Durant son périple, il aura à affronter la sévérité des adultes. Seule la musique est un peu pompeuse au bout d'une demi-heure.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 octobre 2015
    J'ignore ce qu'il y a de pire avec ce film... le fait qu'il détruise gratuitement toutes nos références culturelles et historiques, ou le fait que la seule chose qui en ressorte soit au final: "Tout le monde peut être solidaire." Merci encore pour les "fines" blagues de pets et de slip qui ne cessent de relever le niveau....
    Loïck G.
    Loïck G.

    303 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Sur un tel film aux apparences banales, Kiarostami élève le propos enfantin aux portes d’une vérité encore mal définie dans sa résolution mais tout à fait réaliste pour dire que l’avenir de l’Iran appartient à sa jeunesse. Et non pas aux vieux caciques que son grand père représente dans un formatage hérité du passé, dont il n’a jamais pu se dépêtrer. Stressé par la nécessité de rendre un cahier à son copain, Ahmad son petit-fils va devoir braver des interdits, l’autorité des adultes et sa peur de gamin. Avant de s’affirmer tel qu’en lui-même au contact d’un grand-père de substitution qui va lui apprendre la sagesse et le conduire vers la solution idéale, une solution humaine. Belle leçon de la part d’un réalisateur qui à sa façon brave de la même manière les lois officiellement admises. AVIS BONUS Le point de vue très intéressant de Alain Bergala, suivi d'un petit exercice de cinéma et des commentaires du réalisateur
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2020
    La simplicité du cinéma de Kiarostami tient dans le regard de cet enfant, entre détermination et crainte, à la recherche de la maison du camarade dont il a malencontreusement embarqué le cahier. Les plans du gamin courant sur la route vierge de toute végétation, qui quitte Koker et monte, en une ascension progressive, vers le village de cet ami, portent l'essence de l’œuvre du réalisateur. Cerise sur le gâteau : la BO est très belle.
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