Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gérard Lefort
Pour saluer l'excellence de Viva Laldjérie, l'idéal serait de lui décocher un youyou critique de 113 minutes.
Positif
par Eric Derobert
(...) une oeuvre qui ne cesse de se déployer, qui ne cesse de s'attarder sur les personnages secondaires (le générique comprend pas moins de 58 acteurs), qui tente le polar, tourne alternativement autour de la comédie et de la tragédie, et jouit de sa propre profusion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
par Philippe Piazzo
(...) Un film vif et tonique, comme secoué des soubresauts de l'énergie du désespoir.
L'Obs
par Nébia Bendjebbour
Un film émouvant dont l'héroïne est la femme algérienne d'aujourd'hui (...) Le plus étonnant est qu'il donne de l'espoir. Le talent de Nadir Moknèche, digne d'Almodovar, n'y est pas pour rien.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nadir Moknèche est un cinéaste claustrophile. Il fait de la ville d'Alger un autocuiseur perpétuellement au bord de l'explosion dans laquelle il agite ses personnages avec une lucidité à peine tempérée de compassion. Et, plus que ce qu'il montre, c'est la confirmation de son talent et de celui de ses interprètes qui peut amener à reprendre en choeur le titre de son film.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Viva Laldgérie est un film qui compte et qui touche. Parce qu'il contribue, avec une belle sensualité, à l'indispensable pluralité des représentants du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Grassin
Viva Laldjérie épouse le malaise diffus mais souvent comique d'une Algérie d'aujourd'hui en quête de repères éthiques ou politiques, ose s'attaquer à la représentation sexuelle et fait le portrait sensible de trois femmes (...) Le charme agit.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
Ce beau film pétri d'humanisme est en quelque sorte à l'Algérie ce que "Satin rouge" était à la Tunisie : une subtile exaltation de la liberté au féminin.
aVoir-aLire.com
par Marianne Spozio
Souhaitons longue vie créative à Nadir Moknèche pour poursuivre la courageuse et attachante chronique de son pays, continuer à nous dire que la femme est l'avenir de l'homme et à nous faire passer d'aussi belle et intelligente manière de l'autre côté du miroir déformant des idées toutes faites.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Dominique Widemann
Malgré un beau rythme qui s'allie à la musique, malgré le talent de Biyouna, comédienne de renom et, dans le civil, femme libre devant l'éternel, le film s'emploie un peu trop à la démonstration. Du dévoilement des marges d'une société sans repères, nulle vérité ne sort du puits tant les situations qui pourraient faire sources suivent un cours convenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Le décor constitue la plus grande réussite du film. Les horreurs que la cité endure (...) sont traitées avec tact. Le danger peut surgir de n'importe où. Difficile de se sentir libre, surtout pour une femme, tiraillée entre deux cultures. Le problème vient d'un scénario maladroit, impression renforcée par une mise en scène qui souffre de nombreuses références sans pour autant imposer un style.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Cette proximité avec les êtres et les lieux – Alger débarrassée du côté carte postale, montrée comme un dédale de ruelles et d'escaliers – compense les faiblesses d'un scénario parfois trop volontariste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Pour saluer l'excellence de Viva Laldjérie, l'idéal serait de lui décocher un youyou critique de 113 minutes.
Positif
(...) une oeuvre qui ne cesse de se déployer, qui ne cesse de s'attarder sur les personnages secondaires (le générique comprend pas moins de 58 acteurs), qui tente le polar, tourne alternativement autour de la comédie et de la tragédie, et jouit de sa propre profusion.
Aden
(...) Un film vif et tonique, comme secoué des soubresauts de l'énergie du désespoir.
L'Obs
Un film émouvant dont l'héroïne est la femme algérienne d'aujourd'hui (...) Le plus étonnant est qu'il donne de l'espoir. Le talent de Nadir Moknèche, digne d'Almodovar, n'y est pas pour rien.
Le Monde
Nadir Moknèche est un cinéaste claustrophile. Il fait de la ville d'Alger un autocuiseur perpétuellement au bord de l'explosion dans laquelle il agite ses personnages avec une lucidité à peine tempérée de compassion. Et, plus que ce qu'il montre, c'est la confirmation de son talent et de celui de ses interprètes qui peut amener à reprendre en choeur le titre de son film.
Les Inrockuptibles
Viva Laldgérie est un film qui compte et qui touche. Parce qu'il contribue, avec une belle sensualité, à l'indispensable pluralité des représentants du monde.
Première
Viva Laldjérie épouse le malaise diffus mais souvent comique d'une Algérie d'aujourd'hui en quête de repères éthiques ou politiques, ose s'attaquer à la représentation sexuelle et fait le portrait sensible de trois femmes (...) Le charme agit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce beau film pétri d'humanisme est en quelque sorte à l'Algérie ce que "Satin rouge" était à la Tunisie : une subtile exaltation de la liberté au féminin.
aVoir-aLire.com
Souhaitons longue vie créative à Nadir Moknèche pour poursuivre la courageuse et attachante chronique de son pays, continuer à nous dire que la femme est l'avenir de l'homme et à nous faire passer d'aussi belle et intelligente manière de l'autre côté du miroir déformant des idées toutes faites.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Malgré un beau rythme qui s'allie à la musique, malgré le talent de Biyouna, comédienne de renom et, dans le civil, femme libre devant l'éternel, le film s'emploie un peu trop à la démonstration. Du dévoilement des marges d'une société sans repères, nulle vérité ne sort du puits tant les situations qui pourraient faire sources suivent un cours convenu.
MCinéma.com
Le décor constitue la plus grande réussite du film. Les horreurs que la cité endure (...) sont traitées avec tact. Le danger peut surgir de n'importe où. Difficile de se sentir libre, surtout pour une femme, tiraillée entre deux cultures. Le problème vient d'un scénario maladroit, impression renforcée par une mise en scène qui souffre de nombreuses références sans pour autant imposer un style.
Télérama
Cette proximité avec les êtres et les lieux – Alger débarrassée du côté carte postale, montrée comme un dédale de ruelles et d'escaliers – compense les faiblesses d'un scénario parfois trop volontariste.