Indiana Jones et la Dernière Croisade : Critique presse
Indiana Jones et la Dernière Croisade
Note moyenne
4,4
5 titres de presse
L'Obs
La Croix
Positif
Libération
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Obs
par Michel Pérez
La Dernière Croisade mat ainsi un frein à la frénésie et retrouve, en même temps que celui de l'humour, le sens d'une relative sobriété. 19/10/1989
La Croix
par Jean-Luc Macia
(…)cette fois, Spielberg a fait encore plus fort. Une géniale idée de scénario qui apporte son poids d'émotion (…): le propre papa d'Indiana (…) est entraîné dans l'aventure. 19/10/1989
Positif
par Laurent Vachaud
(…) le meilleur film de Spielberg et la plus brillante production de Lucas depuis un moment (…)N°344, octobre 1989
Libération
par Gérard Lefort
(…) la seule fenêtre ouverte dans ce produit parfaitement bouclé, c'est la présence (…) de Sean Connery. 18/10/1989
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Saada
Le plaisir qu'on peut prendre à Indiana Jones et la dernière croisade se situe donc en creux, dans les absences et les insuffisances du film, dans sa maturité paresseuse. N°424, octobre 1989
L'Obs
La Dernière Croisade mat ainsi un frein à la frénésie et retrouve, en même temps que celui de l'humour, le sens d'une relative sobriété. 19/10/1989
La Croix
(…)cette fois, Spielberg a fait encore plus fort. Une géniale idée de scénario qui apporte son poids d'émotion (…): le propre papa d'Indiana (…) est entraîné dans l'aventure. 19/10/1989
Positif
(…) le meilleur film de Spielberg et la plus brillante production de Lucas depuis un moment (…)N°344, octobre 1989
Libération
(…) la seule fenêtre ouverte dans ce produit parfaitement bouclé, c'est la présence (…) de Sean Connery. 18/10/1989
Cahiers du Cinéma
Le plaisir qu'on peut prendre à Indiana Jones et la dernière croisade se situe donc en creux, dans les absences et les insuffisances du film, dans sa maturité paresseuse. N°424, octobre 1989