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SmEuG
44 abonnés
248 critiques
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5,0
Publiée le 23 février 2009
Assez fidèle au livre, cette partiellement vielle production nous laisse pantois par son jeu d'acteur admirable et une adaptation réussie. Le réalisateur n'a pas choisi l'option de la facilité en mettant en scène cet ouvrage. Pari gagné!!
Cette adaptation du roman de Stefan Zweig repose, comme le livre, essentiellement sur le personnage parfaitement interprété par Curd Jurgens et est doublé d'une réflexion sur l'intolérance et la folie. A voir absolument.
La réalisation superbe de Gerd Oswald permet de nous plonger avec délice et angoisse dans l'abrutissante folie du joueur d'échec, issue de l'ignominie nazie. Le maniérisme de la réalisation, les références incessantes à l'échiquier ainsi que l'implication de Curd Jürgens font de ce film un tableau magnifique et cruel sur la douleur du vide intellectuel. Ce film est adapté de la nouvelle éponyme de Stefan Zweig, grand auteur allemand dont les livres furent bannies par le régime hitlérien et qui se suicida en 1942 au Brésil, consterné par les horreurs de la seconde guerre mondiale et la déchéance de son pays. Ce malaise face au nazisme est admirablement retranscrit dans le film, la tention y est latente, servie par un montage, une mise en scène et noir et blance magnifique. Le joueur d'échecs est un de ces films que l'on apprécie de bout en bout, ce, tant au point de vue scénaristique qu'artistique. A voir absolument
Ce que je vais écrire n’est pas vraiment une critique car, déjà je ne sait pas en faire et qui-plus-est je ne sait pas vraiment très bien écrire. Je veux tout simplement exprimer l’incompréhension que m’a donner ce film. La folie ma s’immergé, je ne suis pourtant pas fou mais pendant quelque instant j’ai cru l’être. J’ai du regardé deux fois d’affilée ce film pour au final ne jamais vraiment comprendre son sens et son but. Pourquoi ? Je ne comprend pas Mais… La perte de temps est peut-être la clé de la folie, ou du moins, dans ce film. La torture, l’isolement, l’insensibilité… Son les mots clé du roman qu’à écris Stefan Zweig sur la douleur psychologique endurée par l’es victime de la seconde guerre mondiale. Mais… Ce film est tiré de ce roman et pourtant, quelque chose m’échappe, je n’est pas l’impression que le sujet soit le même.