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C'est un grand plaisir que de retrouver notre équipe de Ducks pour de nouvelles aventures.Les anciens sont toujours là,en ajoutant quelques nouveaux qui rajoutent tous leurs petite touche personnelle.Emilio Estevez toujours au poste,les Ducks continuent de voler ensemble et de nous faire toujours autant sourire.
Le meilleur volet de la trilogie. On se laisse prendre par les matchs et on oublie parfois que c'est un film. J'ai presque cru assister à une véritable compétition !
GyzmoCA
Le premier était de qualité, Disney se devait d'en faire une suite. Emilio Estevez reprend son rôle de talent du Hockey n'ayant pas eu la carrière qu'il mérite. Il doit revenir aux bases et à ce que fait l'essence du sport : Le plaisir.
Les matchs sont bien filmés et la compétition des ces mômes turbulents donnent souvent le sourire.
Cette suite reprend la même trame scénaristique que le premier, et donc perd en originalité.
Reste un bon film de comédie américaine pour un dimanche pluvieux :)
Les matchs sont bien filmés et la compétition des ces mômes turbulents donnent souvent le sourire.
Cette suite reprend la même trame scénaristique que le premier, et donc perd en originalité.
Reste un bon film de comédie américaine pour un dimanche pluvieux :)
Deux ans après le succès du premier film, voici une suite aux Petits champions cette fois-ci réalisée par Sam Weisman, réalisateur sur le petit écran faisant ici ses premiers pas au cinéma. Pour cette première séquelle, on prend les mêmes et on recommence : Emilio Estevez rempile dans le rôle du coach Gordon Bombay tandis que la plupart des gamins du premier opus reviennent aussi avec quelques centimètres de plus afin de renfiler les patins pour une nouvelle aventure. Seuls quelques gosses manquent à l'appel, remplacés par de nouveaux jeunes joueurs très charismatiques. Pour l'histoire, les valeurs américaines bien pensées sont toujours présentes, nos héros entrant désormais chez les grands en participant à l’International Goodwill Games où ils vont affronter la terrible équipe des Islandais menée par un patibulaire entraîneur (campé par l'imposant Carsten Norgaard). Et tandis que leur coach s'adonne aux joies du sponsoring et de la belle vie engendrée par les dollars que l'État lui paie, ses joueurs perdent quelque peu leurs repères, s'affrontant parfois entre eux. Le chaos, le sacrifice et la reconnaissance sont donc au centre de ce deuxième film tout aussi sympathique que son aîné. Nos jeunes têtes brûlées sont plus attachants que jamais et la mise en scène dynamique de Sam Weisman (accompagnée de beaucoup de gags et de bruitages parfois cartoonesques) arrivent à nous combler une fois de plus de joie, les valeurs et l'humour s'entrechoquant à merveille. Et si l'effet de surprise est certes passé, on ne regrette toutefois pas le spectacle, l'esprit du premier film et l'efficacité des matchs de hockey restant de marbre. En somme, une très bonne séquelle inattendue et plaisante qui marque surtout la fin de carrière pour ce bon vieux Emilio Estevez.
On cherche à surfer sur le succès du premier et en proposant même une surenchère, le tout perd un peu d'intérêt mais reste pas mal. A voir seulement si vous voulez vous faire la trilogie, sinon restez uniquement sur le premier film.
Roub E.
Non seulement cette suite est très mauvaise, mais elle est détestable de surcroît. Si le premier ne réinventait pas la roue en matière de personnage hautain qui retrouve les vraies valeurs de la vie par le sport en entraînant une équipe de jeunes; il était au moins bien exécuté et permettait de passer une heure et demie pas désagréable en famille. Dans cette suite non seulement il n’y a pas d’idées nouvelles mais on a l’impression d’avoir même le catalogue de tous les poncifs du genre. Les personnages sont stéréotypés jusqu’à la caricature, l’humour est lourdissime; j’ai passé une heure et demie à lever les yeux au ciel. De surcroît c’est affreusement laid et cerise sur le gâteau il tourne presque au film de propagande en nous montrant cette gentille équipe de gosses américains qui triomphe des ignobles islandais à qui il ne manque que des croix gammées sur le maillot pour définitivement passer pour des nazis sur patins.
LES ROIS DU PATIN. OK sur glace, pour vivre heureux, vivons caché. Cette suite n'aurait jamais du sortir des vestiaires. Ca patine, ça glisse, patin-couffin mais la rondelle ne fait pas le printemps. Jason Voorhees a adoré.
Ça ne vole pas très haut, mais bon il a fallu faire une suite au premier qui était super et trouver un bon scénario n'a du pas être facile mais bon cela reste un vrai plaisir de revoir la même équipe, des personnages auquel on s'est attaché, à voir pour regarder la saga mais le premier restera la référence de la saga.
Après avoir détesté la série de 2021 et trouvé correct le film de 1992 ; je regarde le deuxième film. Et je le trouve étonnamment bien et nettement meilleur que le premier. L’histoire est carrément plus prenante et je me suis plus senti concerné par la réalisation la trouvant plus immersive.
C’est indéniable : l’histoire est d’une simplicité sans nom, c’est très prévisible ; mais la narration est excellente rendant le récit intéressant.D’autant plus que les personnages sont intéressants ; ils ont chacun des choses à raconter et leur développement est plutôt suffisant. D’ailleurs, ils ont chacun leur moment de gloire ; aucun est mis en retrait. Le film rend intéressant un sujet qui m’est inconnu de manière simple, classique mais bonne.
La mise en scène est beaucoup plus immersive ; sur l’aspect sportif, je me suis plus senti concerné ; la caméra se balade sur le terrain, on se sent arbitre du match et en plein milieu de l’action. Sinon, il y a de belles idées de réalisation pour être plongé dans l’action, notamment les plans sur le palet. D’ailleurs, la musique du film est utilisée beaucoup plus judicieusement et donne une véritable beauté à l’image. En soi, l’image et le son sont complémentaires dans ce film.
Je conseille ce film plus que le premier opus ; c’est une belle découverte pour le sport et pour le hockey sur glace. L’histoire est simple mais efficace, tout comme la réalisation.
C’est indéniable : l’histoire est d’une simplicité sans nom, c’est très prévisible ; mais la narration est excellente rendant le récit intéressant.D’autant plus que les personnages sont intéressants ; ils ont chacun des choses à raconter et leur développement est plutôt suffisant. D’ailleurs, ils ont chacun leur moment de gloire ; aucun est mis en retrait. Le film rend intéressant un sujet qui m’est inconnu de manière simple, classique mais bonne.
La mise en scène est beaucoup plus immersive ; sur l’aspect sportif, je me suis plus senti concerné ; la caméra se balade sur le terrain, on se sent arbitre du match et en plein milieu de l’action. Sinon, il y a de belles idées de réalisation pour être plongé dans l’action, notamment les plans sur le palet. D’ailleurs, la musique du film est utilisée beaucoup plus judicieusement et donne une véritable beauté à l’image. En soi, l’image et le son sont complémentaires dans ce film.
Je conseille ce film plus que le premier opus ; c’est une belle découverte pour le sport et pour le hockey sur glace. L’histoire est simple mais efficace, tout comme la réalisation.
N'ayant pas vu le premier, je trouve que ce film est une petite comédie américaine bien sympa à régaler. Simple scénario d'un homme qui coach une équipe de Hockey sur glace pour gagner un championnat et ce n'était pas le but du réalisateur de créer un scénario original. Bon casting d'acteurs qui nous fait bien marrer. De l'humour comme on aime. Des match Hockey sur glace bien filmé avec des rebondissements de scénario. Le film nous fait passer de bon moments. Un enchaînement de scènes bien fluide. Des costumes et des décors à l'américaine. Un film à regarder en famille pendant une soirée en tranquillité.
Retrouver l'équipe des Ducks pour de nouvelles aventures dans « Les Petits Champions 2 » est un réel plaisir. Les personnages familiers sont toujours là, enrichis par quelques nouveaux venus qui apportent chacun leur touche personnelle. Emilio Estevez, fidèle au poste et toujours en recherche de charisme, incarne à nouveau un coach inspirant, menant les Ducks à triompher ensemble et à délivrer des moments toujours aussi réjouissants. Malgré quelques incohérences et un scénario prévisible, ce film reste un bon divertissement familial. Il est agréable de voir les liens se renforcer au sein de l'équipe et d'assister à leur progression, même si le film n'atteint pas la fraîcheur et l'originalité du premier. « Les Petits Champions 2 » est une suite divertissante qui, malgré ses défauts, parvient à capturer l'essence de ce qui a rendu le premier film si attachant. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
La suite est pareille,dans la série "on prend les mémes et on recommence" mais cette fois-ci en nationale.Toujours les mémes ingrédients et les mémes défauts,ce qui est incroyable c'est que beaucoup d'acteurs ont signé pour faire la suite et ca c'est sympathique.Et bien sur c'est toujours aussi prévisible
Magique tout simplement
Les petits champions 2 est une suite assez décevante. Gordon est de retour suite à son échec professionnel. Il va pas reprendre les Ducks mais l'équipe national USA. Sauf, l'incohérence Gordon reprends les joueurs des Ducks pour l'équipe national (chose impossible). Le divertissement est la .. mais sans plus. Dommage
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