Adapté de plusieurs histoires du plus célèbre des gaulois cette adaptation n est selon moi pas la meilleure. On retrouve cependant avec plaisir l ambiance du village et aussi l excellent doublage de Pierre Tornade et Roger Carel.
Certe c est pas le meilleur Asrerix que j ai pu regarder mais je prends quand meme un certain plaisir a voir et a revoir les aventures d Asterix et Obelix. Les meilleurs pour moi sont les 12 travaux d Asterix et Asterix et Cleopatre.
Bon film d'animation sur les aventures d'Astérix et Obélix (sans oublier Idéfix). Si l'humour ne répond pas toujours à l'appel, l'ambiance générale se fait ici plus sombre avec une approche du réalisateur plus personnelle. Cela en fait pour moi, une des meilleures adaptations du petit gaulois.
Je suis sidéré de voir des critiques si négatives pour ce film, en plus copiées-collées.
La réalisation technique est superbe pour l'époque et beaucoup de passages sont très drôles. Bah oui c'est sûr, si vous êtes adeptes de l'humour naz à la Jamel Debbouze, vous allez être déçus... Bref pour ma part je trouve que l'humour est présent partout et que cette adaptation reste fidèle à l'esprit "Goscinny". Ce qui n'est malheureusement pas le cas pour toutes celles qui ont suivi (sigh)...
4 étoiles sans problème donc, plus une pour l'exceptionnel Centurion :p
C'est quand même assez louche de mixer deux aventures d'Astérix à savoir "Le Devin" et "Le combat des chefs" pour finalement obtenir un film aussi indigeste, truffé de longueurs, de pures moments d'ennui et d'un humour assez transparent, même si deux ou trois gags veulent bien prêter à sourire. Sans oublier ce côte un peu (voire complètement) psychédélique de mecs sous crack très très glauque. Franchement quand on compare au "Astérix et Cléopatre" qui est la référence des aventures animées du célèbre gaulois, on est clairement à des années lumières de ce niveau-là. A oublier !
Basé sur deux albums, en occurrence Le Devin et Le combat des chefs. Cet Astérix est bien, délirant, mais a deux trois choses de spéciales, en effet le film se déroule toujours au même endroit, Paronamix semble limite shooté, et druide ou pas druide un mec dans cet état là, je m'inquièterais pour lui, et il y a également ce Devin qui à du faire peur à pas mal d'enfants.
Astérix et le Coup du menhir (1989) est un mélange de 2 BD: Le Combat des Chefs (celle où Panoramix reçoit le menhir sur la tête) et Le Devin (bien sur celle où apparait le devin Prolix). Tout ce qui fait le charme des aventures du petit gaulois à la moustache jaune est là: la chasse aux sangliers, les bagarres, les réflexions perpétuelles de Cétautomatix sur les poissons d'Ordralfabétix. Pas la meilleure adaptations des péripéties du petit gaulois, mais cela reste un film d'animation tout à fait convenable.
Le mélange entre le combat des chefs et le devin (qui font partie de mes albums préférés d'Astérix) est plutôt réussi. Je préfére quand même les douze travaux d'Astérix (où il y a beaucoup plus de gags, et Astérix et Cléopâtre (où il y a des chansons rigolotes). On passe quand même un bon moment devant ce dessin animé. C'est mon troisième épisode préféré.
Sixième adaptation animée pour le célèbre petit gaulois de René Goscinny et Albert Uderzo, combinant pour l'occasion les scénarios de deux albums, à savoir Le Devin et Le Combat des Chefs. A noter toutefois que de ce dernier, seule l'intrigue concernant la folie de Panoramix à été retenu, écartant ainsi celle du duel entre les chefs de village. Astérix et le coup du menhir se concentre ainsi sur le personnage manipulateur et véreux du devin et son influence sur les villageois, ainsi que sur l'inaptitude totale de Panoramix à préparer la potion magique, le pauvre ayant reçu un menhir sur la figure. Priver de leur druide et de leur précieux élixir, les villageois perdent confiance et tombent sous l'emprise du faux-devin qui profite de leur crédulité, sans parler des romains qui voient là une occasion en or de se débarrasser du petit village. C'est un climat assez froid, tendu et inquiétant qui règne dans le village de nos irréductibles gaulois, apparaissant même ici comme faibles, naïfs, sans-amour propre et désolidarisés. Une ambiance sombre et psychédélique assez déstabilisante et inhabituelle pour une aventure d'Astérix, qui sont d'ordinaire plus légères et bon enfant. La faute peut-être au choix des deux albums, car même si leur combinaison scénaristique se fait sans accroc, le long-métrage peine à trouver son rythme et ne rend pas vraiment justice à ses personnages principaux. A l'instar d'Astérix le Gaulois, l'intrigue se déroule uniquement dans le village gaulois et le camp romain voisin, et met en scène un Astérix et un Obélix presque amorphes et dénués d'humeur, loin de leurs virevoltantes aventures d'antan. Rajoutons aussi qu'il manque à cet adaptation l'humour potache et satirique propre à l'univers d'Astérix, et que l'on retrouve finalement trop peu ici. Toutefois, Astérix et le coup du menhir parvient à amuser à travers les délires de Panoramix et ses expériences sur un pauvre romain malchanceux, qui permettent au passage de se donner une vague idée de ce que peut donner la consommation de champignons hallucinogènes. Absurde au possible et drolatique. Faut dire aussi que le doublage de Panoramix, réalisé par Henri Labussière, est vraiment formidable, puisqu'il apporte à son personnage autant de sagesse que de folie et de bêtise. Toujours du côté des doubleurs, on retrouve Roger Carel et Pierre Tornade, qui prêtent une nouvelle fois leur voix à Astérix et Obélix, avec en prime celle de Marie-Anne Chazel pour Bonemine. On notera aussi que l'animation a gagné en fluidité, et les dessins sont réellement de qualité, avec des teintes assez sombres, s'accordant ainsi avec le ton du long-métrage. La BO est également réussit, avec une chanson-thème aux sonorités pop-rock efficaces, et d'autres très beaux thèmes, doux et pleins de charme. Il s'échappe même d'Astérix et le coup du menhir un peu de poésie, à l'image de la dernière scène où le légionnaire romain prend son envol et ainsi, sa liberté. Une adaptation qui se démarque clairement des précédentes donc, avec un univers plus sombres et sérieux qui risquerait de refroidir les puristes et inquiéter les enfants. Alors on adhère ou non, mais il faut quand même reconnaître à Philippe Grimond une certaine audace vis à vis de cette prise de liberté, dévoilant une réalisation finalement assez personnelle.